Groupe en bronze « Oursons Jouant » de Peter Victor (1840-1918)

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    Groupe en bronze « Oursons Jouant » de Peter Victor (1840-1918)

    Groupe en bronze doré représentant deux jeunes oursons jouant sur un base au naturel, signé du sculpteur V.Peter et portant le cachet de la maison Susse Frères editeurs à Paris. Cette sculpture est réalisée selon la technique de la fonte au sable, justesse des proportions, effets de profondeur et précision de la ciselure sont à l’honneur. Le choix pertinent du marbre rouge Levanto conjugué avec la dorure du bronze en font une sculpture somptueuse.
    Localisation : Les oursons – sulpture en bronze de Victor Peter (1848-1918) Dans le Parc Saint-Lambert, XVéme arrondissement de Paris.
    Belfort : Chambre interdépartementale d’Agriculture : Jeunes ours jouant, dit aussi Les Oursons, vers 1901, groupe en marbre gris. Le plâtre est exposé au Salon de 1900.

    Bibliographie : Pierre Kjelberg, les bronzes du XIXe siècle, les Editions de l’Amateur, Paris 1989, page 538-539

     

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  • Immense pendule en régule d’Albert-Ernest Carrier-Belleuse (1824-1887)

    12000,00

    Sculpture néo-classique en régule à patine noire nuancée représentant une femme vêtue dans un drapé à l’antique et supportant une pendule à bout de bras. Cadran en émail blanc indiquant les heures en chiffres romains. Signature de l’artiste A.Carrier dans un plis de la robe. Socle en bois doré mouluré d’époque et mécanique d’origine.

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  • Important bronze « Chant de l’alouette » de Hippolyte MOREAU (1832-1927)

    5000,00

    Sculpture en bronze à patine brune figurant une jeune fille, assise sur un tronc d’arbre abritant à ses pieds un nid d’oisillons. Reposant sur une base circulaire ornée d’un cartouche intitulé  » Chant de l’alouette – Hippolyte Moreau – Médaille au Salon ». Signé sur la terrasse Hippolyte Moreau, fonte ancienne, édition des ateliers de l’artiste.

    Référence littéraire : Les bronzes du XIXe siècle Pierre Kjellberg cf. p 508, 509

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  • Importante paire de vases en marbre montés bronze, Maison Millet Paris

    25000,00

    Vases en marbre Cipolin surmontés de candélabres à trois lumières, dernier quart du XIXème siècle. Vases balustre avec une riche monture en bronze doré à décors de végétaux. Travail de grande qualité, caractéristique de la maison Millet à Paris. Le marbre Cipolin est une variété de marbre utilisée par les Romains. A la fin du règne de Louis XVI, on constate un véritable engouement pour ce type de minéraux possédant d’épaisses nervures ondulées vert, tendant au bleuté et traversé par d’épaisses couches de mica blanches. On sait le succès qu’eurent ainsi le porphyre d’Egypte, les marbres d’Italie, le jaspe, l’agate, la malachite, le lapis-lazuli, ou bien sur le cipolin dans la fabrication d’objets montés.

    Le gout pour le passé, et particulièrement pour le XVIIIe siècle, a eu une influence déterminante sur la production artistique de l’époque, et tout particulièrement dans le domaine de l’ameublement où il a entraîné les commandes de copies et d’oeuvres de style, ce qui a conduit au recours systématique à un élément fondamental du processus de fabrication qui sera de la création artistique, avec une empreinte propre à chaque ateliers de ces grands fabricants du XIXème siècle.

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    Importante pendule « Les deux Parques » de Ferdinand Barbedienne (1810-1892) et Louis-Constant Sévin (1821-1888)

    Importante pendule en bronze à patine médaille, surmontée deux femmes drapées à l’Antique représentant Les Deux Parques, qui selon la mythologie romaine, sont associées aux divinités du destin. Attitude identique des personnages, Aphrodite et Dioné, rythmées par une infinie variété de drapés. Qualité des rendus des modelés due à la très belle fonte du bronze effectuée par Barbedienne, qui comptait parmi les meilleurs ateliers européens au XIXe siècle. Sculpture signée F. Barbedienne, fondeur  et caché « réduction mécanique A. Collas ».  La base est en marbre noir de Belgique enrichie de décors en bronze néoclassique. Piètement balustre terminé en toupie. Le cadran en laiton à chiffres romains. Les motifs de la base sont remarquables, elles sont l’interprétation de l’ornemaniste Louis-Constant Sévin (1821-1888), qui donne ici à voir sa parfaite connaissance des sujets antiques, traitement des décors avec une rigueur néoclassique du plus bel effet.

    Provenance : collection particulière

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