« Le chanteur florentin » de Paul Dubois (1827-1905), école française

Expositions universelles

Affichage de 6–10 sur 34 résultats

  • « Le chanteur florentin » de Paul Dubois (1827-1905), école française

    3200,00

    Sculpture en bronze à patine médaille représentant le chanteur florentin du XVème siècle récompensé par une médaille d’honneur au Salon de 1865. Cette sculpture est de mouvement artistique classique, elle porte l’accent sur la silhouette gracieuse et élégante d’un jeune garçon aux formes lisses et épurées, contrastée avec la grande finesse du détail de l’habillement et des accessoires. Épreuve ancienne signée et datée sur la terrasse, P. Dubois 1865 et porte la marque du fondeur F.Barbedienne avec le cachet « Réduction mécanique A. Collas ».

    Le Chanteur Florentin
    Lieu de conservation : musée d’Orsay, Paris, France
    Historique 1865, commandé 1866, acquis après commande à partir de 1866 au musée du Louvre, dans les appartements du comte de Nieuwerkerke à partir de 1871, au musée du Luxembourg 1920, attribué au musée du Louvre (reversement du musée du Luxembourg) 1986, affecté au musée d’Orsay
    Expositions
    Exposition Universelle : Paris, France, 1867
    Exposition Universelle : Welt-Ausstellung 1873 in Wien, Vienne, Autriche, 1873
    Exposition Universelle : Paris, France, 1889

    Vue Rapide
  • Bernhard BLOCH (1836-1909), terre cuite grandeur nature d’un petit garçon d’Afrique du Nord

    12000,00

    Rarissime et très grande terre cuite polychrome à décor d’un jeune garçon assis à califourchon sur une chaise en bambou et vannerie, numéroté et monogrammé dans le dos. Cette sculpture est une prouesse de technicité et ne se trouvent qu’exceptionnellement dans cette dimension, l’éditeur ayant surtout produit des petits sujets.

    Bibliographie : Terres cuites orientaliste et africanistes, Stéphane Richemond, 1860-1940, les éditions de l’Amateur
    Provenance : collection privée

    Vue Rapide
  • Bronze de Jean Antoine INJALBERT (1845-1933), « L’enfant Rieur »

    Sculpture en bronze représentant un enfant rieur et espiègle à patine brune, sur un piedouche à bague. en marbre rouge griotte. Épreuve de trois-quarts face, la tête tournée vers la gauche, signée à l’épaule Injalbert, avec cachet de fondeur Siot-Decauville Paris.

    Bibliographie : Pierre Kjellberg – Les bronzes du XIXème siècle, les éditions de l’amateur, Paris 1989, page 385-386

    Provenance : Collection particulière Rhône-Alpes

    Vue Rapide
  • Charles Georges FERVILLE-SUAN (1847-1925), vase mythologique

    4500,00

    Important vase en bronze mythologique de la fin du XIXè siècle de Charles Georges FERVILLE-SUAN (1847-1925), représentant Eurydice, nymphe des arbres. De forme bombé à patine brune et dorée et décor en ronde bosse. Signé Ferville Suan et sur la base Salon des beaux-arts. Patine et ciselure de grande qualité.

    Bibliographie : E.Bénézit ; Dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs, Paris, Éditions Gründ, 1976

    Vue Rapide
  • Coupe de style Néo-Grec de Ferdinand Barbedienne (1810-1892) et Louis-Constant Sévin (1821-1888)

    Coupe dite à l’étrusque en Marbre-Onyx d’Algérie, monture en bronze doré à décors d’émaux champlevés à la manière des arabesques Byzantines provenant des manuscrits Grecs et Romains. Coupe sur piédouche reposant sur un socle carré. Elle est décorée de motifs à l’Antique en bronze ciselé et doré avec deux anses représentant des masques de barbus. Signée du fabricant, éditeur et fondeur F.BARBEDIENNE et attribué au dessinateur-ornemaniste Louis-Constant Sévin. Cette coupe est présentée et créé par la Maison Barbedienne lors de l’Exposition Universelle de Londres en 1862, récompensée par trois médailles pour Excellence, en vedette et pionner à Londres pour sa technique de l’émail dit « cloisonné » de fonte sur les objets d’art.

    HISTOIRE
    L’émail
    Dés l’Exposition Universelle de Londres en 1851, puis de Paris en 1855, l’émail, dans la multiplicité de ses techniques et de ses effets polychromes, sort de l’oubli et connaît sous le Second Empire une réhabilitation dans les arts décoratifs parisiens. Il devient un domaine d’études des ornemanistes et de nombreuses personnalités artistiques.
    Le Marbre-Onyx
    Rapport du comitée du Jury internationnal dans le catalogue à l’Exposition Universelle de Londres en 1862, Section Française, N° 2871
    « Le marbre-Onyx est la seule pierre fine, nous n’osons dire précieuse, que puisse largement employer l’industrie moderne, sans s’arrêter au prix de revient, celle qui obeit le mieux aux caprices de l’artiste, celle qui s’allie le plus harmonieusement au bronze; ce l’émail aux jeux de la lumière sur les cristaux et dans les glaces. Les maîtres miroitiers de Florence et de Venise ne produisent pas d’oeuvre supérieure comme effet, à la glace à biseau, entourée de son large cadre ovale rehaussé d’or qu’expose la Compagnie ».

    Vue Rapide
X