« Chanson d’Amour » de Costantino Barbella

marbre

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  • « Chanson d’Amour » de Costantino Barbella

    Très rare sculpture en bronze selon la technique de la cire perdue de Costantino BARBELLA (1852-1925) représentant deux jeunes femmes italienne chantant une chanson d’amour. Ce groupe en bronze à patine médaille est époustouflant de réalisme et de qualité de ciselure, signé sur la base C. Barbella, situé à Rome et portant le chiffre 23 dans un petit cartouche. Base en roche serpentinite appelé marbre rouge Levanto.

    Littérature : Exposition rétrospective de Costantino Barbella, Rome, 15 Décembre, 1934-6 Janvier, 1935, par Antonio Munoz, Rome, le Foreign Correspondents Club, 1934

    Provenance : Collection privée

    Liste des musées présentant des œuvres de l’artiste
    Musée d’ Art Costantino Barbella, Chieti
    Musée de la bataille, Ortona
    Musée Michelangiolesco, Caprese Michelangelo
    Galleria Nazionale d’Arte Moderna, Rome
    Musée national de Capodimonte, Naples

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  • Encrier de bureau représentant « Le penseur » d’ Emile-Louis Picault (1833-1915)

    1100,00

    Important encrier de bureau en bronze à patine polychrome sur un contre socle en marbre vert de mer. Bronze allégorique titré et signé sur la terrasse. Le jeune homme est assis sur un rocher en compagnie d’un aigle, et tient un livre marqué : « C’est sur les hauts sommets que le penseur médite ». Le jeune homme avec son attrait héroïque est captivée par une expression pensive et semble faire face à une décision difficile. Fonte d’édition ancienne avec marque de fondeur BD en creux au revers. Le récipient pour les accessoires de l’écriture comme la plume se loge dans une terrasse en marbre évidée, les godets destinés à l’encre sont en bronze doré et ciselé à décors de feuillages.

    Bibliographie : Harold Berman , Bronzes Sculptors and Founders , 1800-1930 , Abage Publishers , Chicago 1974
    Pierre Kjellberg , les bronzes du XIXe siècle , les Editions de l’Amateur , Paris 1989

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  • Énorme pendule de cheminée époque fin XIXème siècle

    Pendule de cheminée en marbre noir de Belgique surmontée d’un important groupe en bronze à patine médaille représentant un palefrenier retenant un cheval, dit « Cheval de Marly », d’après Guillaume Coustou (1677-1746). Le cheval est puissant , il a une encolure large et il montre tous les signes de l’affolement et de la colère : corps cabré, tête nerveuse, bouche hennissante, naseaux et yeux dilatés, crinière agitée. Cette sculpture représente une interprétation de la nature primitive et une lutte entre deux forces sauvages, un cheval indompté et un homme nu, aux muscles d’athlète bandés par l’effort. Mécanique d’époque en état de marche. Petits éclats sur le marbre noir de Belgique.

    HISTOIRE
    Les Chevaux de Marly sont deux groupes sculptés représentant des chevaux cabrés et leurs palefreniers. En marbre de Carrare, ils ont été exécutés entre 1743 et 1745 par Guillaume Coustou. Il furent commandés par le roi Louis XV pour orner l’abreuvoir situé à l’entrée du parc du château de Marly, afin de remplacer deux sculptures d’Antoine Coysevox, Mercure et la Renommée à Cheval sur Pégase. En 1794, à l’initiative du peintre David, ils sont transférés place de la Concorde à Paris et sont érigés sur de hauts piédestaux à l’entrée des Champs-Élysées. En 1984 elles sont transférées au musée du Louvre dans une ancienne cour de l’aile Richelieu transformée en patio, appelée la cour Marly.

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  • Grande horloge de Jean-François-Théodore Gechter (1796-1844) « Charles le Téméraire »

    Horloge d’époque 1840, en bronze doré et marbre noir de Belgique, surmontée d’un groupe en bronze de Jean-François-Théodore Gechter. Base en marbre de M.Mudesse à Paris, marbrier, 6 rue Losses du Temples, il obtient le 24 Septembre 1839 un brevet pour le placage du marbre sur bois et sur métal. Groupe en bronze à thème de combat, représentant « Charles le Téméraire » sur son cheval terrassant un ennemi, sculpture à patine brune nuancée. Bronze de très grande qualité, finesse de la ciselure, quantité de détails et d’ornements, mouvements fougueux, caractéristiques de ce sculpteur romantique qui affectionnait particulièrement ce genre de composition où un cavalier cherche à terrasser un autre cavalier désarçonné. A signaler, une petite réparation sur le marbre, quasiment invisible.

    Bibliographie : Pierre Kjelberg, les bronzes du XIXe siècle, les Editions de l’Amateur, Paris 1989, pages 355, 356
    Provenance : colection privée

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  • Importante paire de vases en marbre montés bronze, Maison Millet Paris

    25000,00

    Vases en marbre Cipolin surmontés de candélabres à trois lumières, dernier quart du XIXème siècle. Vases balustre avec une riche monture en bronze doré à décors de végétaux. Travail de grande qualité, caractéristique de la maison Millet à Paris. Le marbre Cipolin est une variété de marbre utilisée par les Romains. A la fin du règne de Louis XVI, on constate un véritable engouement pour ce type de minéraux possédant d’épaisses nervures ondulées vert, tendant au bleuté et traversé par d’épaisses couches de mica blanches. On sait le succès qu’eurent ainsi le porphyre d’Egypte, les marbres d’Italie, le jaspe, l’agate, la malachite, le lapis-lazuli, ou bien sur le cipolin dans la fabrication d’objets montés.

    Le gout pour le passé, et particulièrement pour le XVIIIe siècle, a eu une influence déterminante sur la production artistique de l’époque, et tout particulièrement dans le domaine de l’ameublement où il a entraîné les commandes de copies et d’oeuvres de style, ce qui a conduit au recours systématique à un élément fondamental du processus de fabrication qui sera de la création artistique, avec une empreinte propre à chaque ateliers de ces grands fabricants du XIXème siècle.

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