« Conducteur de char romain » par Emmanuel Frémiet (1824-1910)

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  • « Conducteur de char romain » par Emmanuel Frémiet (1824-1910)

    3900,00

    Sculpture en bronze d’un saisissant réalisme, à patine brune nuancée représentant un conducteur de char romain casqué maîtrisant deux chevaux fougueux . Fonte d’édition ancienne de la fin du XIXème siècle, signée du sculpteur Frémiet, fonte de Charles More, sur une base de forme ovale.
    Historique :
    Oeuvres d’art exposées au salon de 1866 et acquises par le ministère de la Maison de l’Empereur et des Beaux-Arts, au Palais des Champs-Elysées à Paris.
    Cavalier romain (1866) statue en bronze par Emmanuel Frémiet, No 2779, présentée hors concours, acquise ou commandée par le ministère de la Maison de l’Empereur et des beaux-arts.

    Référence littéraire : Les bronzes du XIXe siècle Pierre Kjellberg cf. p 327 à 337

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  • « Jockey à Cheval N°1″De Pierre-Jules Mêne (1810-1879)

    5500,00

    Sculpture en bronze à patine brune très nuancée  de Pierre-Jules Mêne (1810-1879) intitulée « Jockey à Cheval N°1 » représentant le « Vainqueur du Derby ». Fonte d’édition ancienne, atelier Mêne-Cain, signature P. J. MÊNE sur la terrasse. Selon M.Guy Thibault, historien, concepteur du musée du Cheval de course, le cheval ayant servi de modèle à cette œuvre serait le lauréat du Derby d’Epsam de 1862, Caractacus. Modelé l’année de son envoie au Salon, il compte parmi les premières représentations sculptées de jockey à cheval au XIXè siècle lors du renouveau des courses sous le Second Empire.

    Historique : Paris, Salon de 1864, bronze n°2705 : Vainqueur du Derby
    Littérature : Poletti & Richarme, Pierre-Jules Mêne ; Catalogue raisonné, Paris, 2007 page 43,
    ill 30-Collection Ishana, épreuve authentique, atelier Mêne-Cain

    Provenance : Collection particulière du Sud de la France

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  • « La Belle Gallinara » de Charles Cordier (1827-1905)

    7500,00

    Grande sculpture en bronze de Charles Henri Joseph Cordier (1827-1905) intitulé « La Belle Gallinara ». Exécuté vers 1865, exemplaire d’édition en très petit nombre ou unique, rarissime. Cette sculpture représentant une jeune fille des environs de Rome est une variante de La Belle Gallinara avec un vase sur la tête comme une porteuse d’eau orientaliste. Le modèle du vase est vraiment proche (ou le même ?) que ceux sur les Femmes fellah allant puiser de l’eau au Nil. Rarissime exemplaire en bronze de la Belle Gallinara non répertorié dans le catalogue raisonné. Signature de Cordier sur la terrasse.

    Littérature : Catalogue raisonné, Charles Cordier (1827-1905), l’autre et l’ailleurs, éditions de La Martinière
    Note : sculpture visible page 48, 150 et p. 81  stand de Cordier à l’Exposition universelle de 1867
    Remerciement à Madame Laure de Margerie pour l’expertise de cette sculpture.

    Provenance : Collection privé du Sud de la France

     

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  • « Lion au Serpent N°3 » d’ Antoine Louis BARYE (1796-1875), École Française

    3500,00

    Sculpture en bronze à patine brune mordorée, représentant un lion combattant un serpent, signée Barye sur la terrasse, à l’arrière de l’animal, près du postérieur droit. La terrasse est agrémentée d’un profil, le travail de surface est nerveux, très libre, presque abstraite, ce qui signe la production des années romantique. Edition par A.Delafontaine, avec le cachet « AD » (surmonté d’une étoile)

    Modèle : 1833
    Historique : vente Barye, 1876, n° 651, modèle en bronze avec son plâtre; acquis par A.Delafontaine

    Litterature : Poletti & Richarme, Antoine Louis BARYE Catalogue raisonné, Paris, édition Gallimard, page 178
    Provenance : Collection privée

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  • Antonin Carlès (1851-1919) « La Jeunesse » Sculpture en Bronze Doré

    1600,00

    Épreuve en bronze doré représentant une jeune femme nue avec une fleur d’églantine à ses pieds. Signé sur la terrasse Antonin Carles et titré « La Jeunesse ». Marque de fondeur Siot-Decauville Fondeur, Paris et numéroté D347. Socle en marbre-onyx d’Algérie de couleur verte, toute petite réparation suite à un léger éclat sur un angle.

    Historique
    Le Plâtre acquis au Salon de 1883 (NO 3426) , placé en 1886 au dépot des marbres, a été déposé en 1889 au musée des Beaux-arts de Grenoble ; des réductions ont été éditées en marbre, en  biscuit par la manufacture de Sèvres en trois grandeurs, en bronze et bronze doré par Siot-Decauville en deux grandeurs; commande par l’état en 1883 ; statue commandée au Salon

    Expositions

    • Salon de la Société des artistes français (salon 103) – palais des Champs Elysées – France, Paris, 1885
    • Préfiguration du musée d’Orsay – Le Post-Impressionnisme – palais de Tokyo – musée d’Art et d’Essai – France, Paris, 1977 – 1986
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