Ecole Italienne du XVIIIème siècle, dans le goût de RAPHAEL

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  • Ecole Italienne du XVIIIème siècle, dans le goût de RAPHAEL

    Gouache sur papier dans son cadre en bois doré d’époque XVIIIème siècle, représentant la Vierge à l’Enfant avec saint Jean Baptiste. La composition est fluide et en forme pyramidale avec les personnages liés par des échanges de regards et de gestes. Très belle qualité d’exécution.

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  • Edouard DROUOT (1859-1945) « La nuit », grande épreuve en bronze symboliste

    Très grande épreuve symboliste en bronze représentant l’allégorie de la nuit par Edouard Drouot (1859-1945).  Sculpture à patine brune, signée sur la terrasse E.Drouot. La nuit est représentée comme une personnification féminine nue. Les yeux sont clos, ses cheveux sont longs, elle porte un croissant de lune dans ses bras avec des étoiles à ses pieds.

    Référence littéraire : Les bronzes du XIXe siècle Pierre Kjellberg cf. p291 à 295

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  • Épreuve unique en bronze de De Pierre-Jules Mêne (1810-1879), « Mazagran »

    7000,00

    Rarissime bronze de Pierre-Jules Mêne (1810-1879) représentant un sujet allégorique sur la défense de Mazagran, un exemple actuellement identifié. Sculpture en bas relief, transposition animalière symbolique qui évoque la bataille de Mazagran, qui eut lieu en 1840 dans l’ouest algérien. Mazagran était un petit hameau fortifié non loin de Mostaganem, où furent assiégés cent vingt trois chasseurs de l’armée française, les zéphyrs, qui durant trois jours et trois nuits, les 3,4 et 5 février 1840, repoussèrent les assauts de quinze mille homme issus de plus cent vingt tribus arabes placées sous les ordres d’Abd el-Kader. L’iconographie de ce bas relief  représente la France avec le coq, symbole de courage et de bravoure, à ses côtés, le drapeau qui protégeait les murs de Mazagran. Les loups et les félins dans la partie basse représentent les assaillants.
    Première référence, le bronze est refusé au Salon de 1841 et apparaît dans les archives comme refusée. La seconde référence est celle du catalogue de 1846 dans lequel est mentionnée sans indication de dimensions ni de prix. Il est mentionné dans le catalogue raisonné de Pierre Jules Mêne page 206, « Le bronze refusé au salon n’est pas identifié et a disparu, et nous nous interrogeons sur l’édition de ce bas-relief, car aucun tirage ne nous a été signalé »

    Édition
    Plâtre ; atelier P.J Mêne, 1846 : édité par l’artiste ?
    Bronze ; catalogue Mêne, 1846 : édité par l’artiste ? , Sujet allégorique sur la défense de Mazagran, sans prix

    Littérature : Poletti & Richarme, Pierre-Jules Mêne ; Catalogue raisonné, Paris, 2007 page 206
    Provenance : Collection privé du Sud de la France

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  • Garniture de Cheminée Néogothique par la Maison Blot et Drouard, Paris

    3500,00

    Rare garniture de cheminée de style néogothique composée d’une pendule et de deux candélabres symbolisant la fête de la bière. Cet ensemble est en régule polychrome, caractérisé  par un choix de modèle dirigé par le goût le plus éclairé. La netteté des détails et la pureté des lignes sont parfaites. La pendule est animée d’un moine hilarant tenant une aiguillère dans ses bras dans laquelle est insérée la mécanique. Les candélabres sont représentés par deux personnages festifs, brandissant des chopes de bière qui servent de support à une bougie.  Blot et Drouard, ont obtenu à l’Exposition universelle de 1867 la médaille d’argent, la plus haute récompense qui ait été accordée au zinc dart.

    Litérature : J. Meyer, Great Exhibitions London – Paris – New York – Philiadelphia, 1851 – 1900, Londres, 2006

     

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  • Grand bronze représentant « David vainqueur » de Marius Jean Antonin Mercié (1845-1916)

    Grand bronze représentant « David vainqueur » de Marius Jean Antonin Mercié (1845-1916) à patine médaille signé A.Mercié et F. Barbedienne Fondeur Paris N°391 avec le cachet « Réduction mécanique A. Collas ». Le héros de la bible est montré avec la tête de Goliath à ses pieds, comme le David de Donatello, il rengaine son épée. Le » David Vainqueur » de Marius Jean Antonin Mercié illustre la tendance au syncrétisme stylistique qui caractérise tout un courant d’artistes du XIXème siècle, qui, en rupture à la fois avec le néo-classicisme et le romantisme, se tournèrent vers le passé pour puiser leur inspiration.

     

    Historique :
    Le modèle en plâtre fut exposé au Salon de Paris en 1872 et à l’Exposition Universelle de Paris en 1900
    Un exemplaire en marbre fut exposé à l’Exposition Universelle de Paris en 1889.

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