Importante pendule « Les deux Parques » de Ferdinand Barbedienne (1810-1892) et Louis-Constant Sévin (1821-1888)

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  • Importante pendule « Les deux Parques » de Ferdinand Barbedienne (1810-1892) et Louis-Constant Sévin (1821-1888)

    Importante pendule en bronze à patine médaille, surmontée deux femmes drapées à l’Antique représentant Les Deux Parques, qui selon la mythologie romaine, sont associées aux divinités du destin. Attitude identique des personnages, Aphrodite et Dioné, rythmées par une infinie variété de drapés. Qualité des rendus des modelés due à la très belle fonte du bronze effectuée par Barbedienne, qui comptait parmi les meilleurs ateliers européens au XIXe siècle. Sculpture signée F. Barbedienne, fondeur  et caché « réduction mécanique A. Collas ».  La base est en marbre noir de Belgique enrichie de décors en bronze néoclassique. Piètement balustre terminé en toupie. Le cadran en laiton à chiffres romains. Les motifs de la base sont remarquables, elles sont l’interprétation de l’ornemaniste Louis-Constant Sévin (1821-1888), qui donne ici à voir sa parfaite connaissance des sujets antiques, traitement des décors avec une rigueur néoclassique du plus bel effet.

    Provenance : collection particulière

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  • Importante sculpture « Le chanteur florentin » de Paul Dubois (1827-1905), école française

    5000,00

    Importante sculpture en bronze à patine médaille représentant le chanteur florentin du XVème siècle récompensé par une médaille d’honneur au Salon de 1865. Cette sculpture est de mouvement artistique classique, elle porte l’accent sur la silhouette gracieuse et élégante d’un jeune garçon aux formes lisses et épurées, contrastée avec la grande finesse du détail de l’habillement et des accessoires. Épreuve ancienne signée et datée sur la terrasse, P. Dubois 1865 et porte la marque du fondeur F.Barbedienne avec le cachet « Réduction mécanique A. Collas »

    Histoire

    Le Chanteur Florentin
    Lieu de conservation : musée d’Orsay, Paris, France
    Historique 1865, commandé 1866, acquis après commande à partir de 1866 au musée du Louvre, dans les appartements du comte de Nieuwerkerke à partir de 1871, au musée du Luxembourg 1920, attribué au musée du Louvre (reversement du musée du Luxembourg) 1986, affecté au musée d’Orsay
    Expositions Exposition Universelle : Paris, France, 1867
    Exposition Universelle : Welt-Ausstellung 1873 in Wien, Vienne, Autriche, 1873
    Exposition Universelle : Paris, France, 1889

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  • Japon époque Meiji (1868-1912), Important Okimono en bronze

    Important Okimono en bronze de patine brune, représentant un paysan assis en tailleur, préparant sa pipe qu’il tient dans une main, son tabako-ire dans l’autre. Vraisemblablement une école de Tokyo, finesse du travail, lègèreté de la fonte, précision des détails et expression du visage de très belle facture. Signature de l’artiste sur la jambe arrière du paysan.

    Provenance : collection privée

    HISTOIRE
    C’est à partir de de 1873, lors de l’Exposition Orientale des Champs-Elysées, organisée par Cernuschi, présente au public Parisien des sculptures en bronze rapportées de son voyage en Chine et au Japon et l’impact des collectionneurs privés est foudroyant . Il fallut attendre l’Exposition Universelle de 1878 pour que Paris pût se faire une idée du gout Japonais. Hayashi fut, dés lors, avec Bing, le plus intelligent intermédiaire entre le Japon et Paris; ce sont eux qui nous révèlent l’art véritable du Japon, qui formèrent notre goût et on les retrouve à l’origine de toutes nos belles collections, dont celles des écrivains Edmont de Goncourt et Emile Zola ou des peintres comme James Mc Neill Whistler et Edgar Degas.

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  • L.C. Sévin & F.Barbedienne, garniture de style néoclassique en onyx et émail

    Garniture de cheminée comprenant une pendule et deux candélabres à quatre feux, réalisée en onyx, bronze doré, plaque émaillée, cabochons de marqueterie de pierre dure, et émaux champlevés polychromes. Le style de cette splendide garniture est caractéristique des plus belles réalisations de Ferdinand Barbedienne en collaboration avec le célèbre ornemaniste Louis Constant Sévin. Son répertoire décoratif y mêle avec beaucoup d’harmonie les motifs d’inspiration néoclassique, la combinaison du bronze et de l’émail est très colorée et sublime le marbre onyx d’Algérie. Signature sur le cadran de la pendule du fabricant, éditeur et fondeur F.Barbedienne Paris, Bd Poissonnière 30. La Maison Barbedienne lors de l’Exposition Universelle de Londres en 1862, est récompensée par trois médailles pour Excellence, en vedette et pionner à Londres pour sa technique de l’émail dit « cloisonné » de fonte sur les objets d’art.

    Provenance : collection particulière

    HISTOIRE : L’émail
    Dés l’Exposition Universelle de Londres en 1851, puis de Paris en 1855, l’émail, dans la multiplicité de ses techniques et de ses effets polychromes, sort de l’oubli et connaît sous le Second Empire une réhabilitation dans les arts décoratifs parisiens. Il devient un domaine d’études des ornemanistes et de nombreuses personnalités artistiques.

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  • Orfèvre TETARD FRÈRES – Paire de Candélabres en Argent Massif Époque 1930

    4200,00

    Paire de candélabres bas de style Louis XIV, en argent massif d’époque Art Déco, à quatre bras de lumière plus une lumière centrale. Époque 1930, argent 1er titre, poinçon minerve et poinçon d’orfèvre TETARD Frères.

    Famille d’orfèvres et maison d’orfèvrerie française à Paris, réputée aux XIXe siècle et XXe siècle, une des dernières françaises consacrées à la production d’argent massif et de vermeil, sans décliner de produit en métal argenté. Située dans le quartier du Marais, 4 rue Béranger, au moins entre 1881 et 1978 puis aussi pour l’atelier 12 rue Portefoin, et le siège social 4 rue Montesquieu

    Œuvres: Paris, Musée d’Orsay, service à thé dessiné par Jean Tétard, 1930, en or, argent, ivoire, OAO 1290.1 à 5 (vu aux salon d’automne 1930 et exposition coloniale internationale de 1931 à Paris).
    Expositions :
    1889, Paris, Exposition Universelle, Exposition Universelle Internationale de 1889 à Paris. Catalogue Général Officiel. Tome troisième. Groupe III. Mobilier et accessoires. Classes 17 à 29, Lille, 1889. A. Picard, (dir.), Exposition Universelle Internationale de 1889 à Paris. Rapports du jury international. Groupe III. Mobilier et accessoires. Classes 17 à 29, Paris, 1891, vol. 12.
    1925, Paris, exposition internationale des arts décoratifs et industriels.
    1931, Paris, exposition coloniale internationale.
    1936, Milan, VIe exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes.
    1936, XXVIe salon des artistes décorateurs.
    1991, Rueil-Malmaison, La mesure du temps: dans les collections du Musée de Malmaison(Raingo).

    Bibliographie : Jared Goss, French Art Deco, New York, 2014.

     

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