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Jeune Pêcheur dansant la Tarentelle et Danseur au Tambourin, sculptures en Bronze de Francisque Joseph DURET (1804-1865)
Épreuves en bronze à patine brune représentant le Jeune Pêcheur dansant la Tarentelle et le Danseur au Tambourin, Signées en creux sur la base F.Duret et Delafontaine
. Ces deux sculptures évoquent le style « troubadour » chers aux romantiques et mettent en avant les souvenirs d’antiquité recueillis en Italie.
Duret a passé un contrat d’édition avec le fondeur Quesnel pour les œuvres suivantes :
Jeune pêcheur dansant la tarentelle, l’Improvisateur, Mercure inventant la lyre, Danseur napolitain.
Les droits d’édition relatifs à ce contrat précise C.B. Mettman (la petite sculpture d’édition 1944),
seront cédés par Quesnel à Delafontaine vers 1855.Référence littéraire : Les bronzes du XIXe siècle Pierre Kjellberg cf. p,304-305
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L.C. Sévin & F.Barbedienne, garniture de style néoclassique en onyx et émail
Garniture de cheminée comprenant une pendule et deux candélabres à quatre feux, réalisée en onyx, bronze doré, plaque émaillée, cabochons de marqueterie de pierre dure, et émaux champlevés polychromes. Le style de cette splendide garniture est caractéristique des plus belles réalisations de Ferdinand Barbedienne en collaboration avec le célèbre ornemaniste Louis Constant Sévin. Son répertoire décoratif y mêle avec beaucoup d’harmonie les motifs d’inspiration néoclassique, la combinaison du bronze et de l’émail est très colorée et sublime le marbre onyx d’Algérie. Signature sur le cadran de la pendule du fabricant, éditeur et fondeur F.Barbedienne Paris, Bd Poissonnière 30. La Maison Barbedienne lors de l’Exposition Universelle de Londres en 1862, est récompensée par trois médailles pour Excellence, en vedette et pionner à Londres pour sa technique de l’émail dit « cloisonné » de fonte sur les objets d’art.
Provenance : collection particulière
HISTOIRE : L’émail
Dés l’Exposition Universelle de Londres en 1851, puis de Paris en 1855, l’émail, dans la multiplicité de ses techniques et de ses effets polychromes, sort de l’oubli et connaît sous le Second Empire une réhabilitation dans les arts décoratifs parisiens. Il devient un domaine d’études des ornemanistes et de nombreuses personnalités artistiques. -
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Maison Christofle, jardinière de style Louis XV, époque Napoléon III
Jardinière ovale quadripode en bronze galvanique argenté de style Louis XV. De forme mouvementée à décor de cartouche entouré de fleuron, palmes de chêne, godrons et rubans croisés sur la base. Pieds en céleri. Signée de la Maison Christofle et numérotée.
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Paire de bougeoirs en émaux champlevés de Ferdinand Barbedienne (1810-1892)
Très belle paire de bougeoirs estampillés de la prestigieuse Maison BARBEDIENNE, fabricant, éditeur et fondeur. Ces deux bougeoirs sont réalisés en bronze doré et en émail champlevé avec de beaux effets polychromes, ils sont à décor de rinceaux et de feuillages, le fût tourné, est orné d’une boule aplatie et d’une corolle. Les bougeoirs présentés ici, d’aspect des exemples champlevés médiévaux, sont tout à fait représentatifs de cette renaissance de l’émail, véritable innovation technique de cette maison parisienne et d’une grande précision. Ces objets de luxe étaient destinés à un usage quotidien et décoraient les plus belles demeures. La Maison BARBEDIENNE accumulera les récompenses et sera présente à toutes les grandes Expositions Universelles du XIXème siècle.
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Paire de bougeoirs en émaux champlevés de la Maison Henry-Normant et Auguste Moreau, Ornemaniste
Paire de bougeoirs en émaux champlevés, bronze doré et argenté à décors de puttis, Paris vers 1870. Marques du fabricant en creux au revers des bronzes. Dorure et argenture d’époque.