Paire de fauteuils à la reine de style régence, époque XIXème siècle

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  • Paire de fauteuils à la reine de style régence, époque XIXème siècle

    Paire de larges fauteuils d’apparat à dossier plat en bois sculpté et doré, ancienne garniture au petit point à décor polychrome de bouquets de fleurs et de personnages. Usures à la tapisserie, petits accidents et manques à la dorure.

    La qualité des assemblages et la virtuosité de la sculpture sont ici au service d’une architecture savante magnifiée par le travail du peintre doreur et du tapissier. Cette paire de fauteuils est un chef-d’œuvre de composition et de sculpture, ils illustrent aussi bien ce qu’était le style parisien destiné à l’exportation, où l’on voulait montrer à l’excès le savoir-faire et la maestria française

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  • Paire de sculptures à l’Antique représentant Atalante et Hippomène, XIXème siècle

    Paire de sculptures en bronze à patine brune inspirées de la mythologie grecque montées chacune avec une base en onyx, forment un groupe dynamique. L’envolée du drapé dans leurs dos comme l’ampleur de leurs enjambées suggèrent la rapidité de la course.

    HISTOIRE
    Dans la mythologie grecque, Atalante a des performances physiques hors du commun pour une femme. Son père souhaitant la marier, elle ne voulut prendre pour époux que celui qui pourrait la battre à la course, ceux qui échoueraient seraient mis à mort. De nombreux prétendants moururent ainsi, jusqu’à ce que se présente Hippomène, qui aidé d’Aphrodite, laissa tomber trois pommes d’or, provenant du jardin des Hespérides, données par la déesse dans sa course, curieuse, la jeune fille s’arrêta pour les ramasser, et fut ainsi devancée à l’arrivée.

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  • Pendule d’Arthur Waagen (1833-1898), « Time is Money »

    Imposante et rare pendule en métal patiné couleur bronze d‘Arthur Waagen (1833-1898), titrée dans un cartouche « Time is Money ». La pendule est composée d’une jeune femme souriante décorée de pièces de monnaies et de cornes d’abondance. Ce proverbe « Time is money » est présent dans l’œuvre de Benjamin Franklin, paru dans le livre de 1748 de George Fisher, The American Instructor, dans lequel Franklin a écrit : « N’oubliez pas que le temps, c’est de l’argent ». Mécanique en état de marche, ressort de la sonnerie a réparer.

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  • Pendule de Lemerle-Charpentier à Paris « L’Amour Menaçant »

    Pendule d’époque XIXe siècle en marbre rouge griotte et sommée du groupe en bronze argenté intitulée « L’Amour Menaçant » d’après Etienne-Maurice Falconet. Pendule signée Lemerle-Charpentier à Paris composée d’une colonne cannelée portant un cadran rond à chiffres romains dorés sur fond de marbre, et une ornementation de bronzes dorés. Cette sculpture représente Cupidon, un ange ailé qui symbolise le dieu de l’Amour, assis sur un tertre et à l’air très malicieux. Son index droit est porté à sa bouche, il réclame le silence pendant qu’il extrait de son autre main une flèche de son carquois pour rendre amoureuse la personne qu’elle va atteindre.
    Le marbre commandé par Madame de Pompadour en 1757 pour les jardins de l’Hôtel d’Evreux, actuel Palais de l’Elysée, est aujourd’hui conservé au Musée du Louvre.

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  • Pendule de style Louis XV attribuée à Léon Messagé (1842-1901)

    Exceptionnelle pendule de style Louis XV  en bronze doré réalisée par le sculpteur et ornemaniste, Léon Messagé (1842-1901). Cette pendule adopte les formes du XVIIIè siècle. En effet, les arabesques, ainsi que le vocabulaire ornemental, sont caractéristiques du style rocaille. Le décor est d’une grande richesse, fait de courbes très mouvementées. La partie inférieure est quant à elle consacrée au thème marin avec des coquilles et deux dauphins de chaque côté, mascaron d’homme barbu, motifs fréquemment utilisés par Léon Messagé. Un putto ailé à l’arc et au carquois trône au sommet de l’horloge. Le cadran de l’horloge est signé « Emile Colin & Cie et  Paris 29, rue Sévigné », maison avec qui Messagé, mais aussi Linke, travaillèrent. Notre pendule est le fruit de la collaboration avec la Maison Colin et Léon Méssagé qui fit de cette esthétique originale sa signature. Bien que cette pendule ne soit pas signée par Léon Méssagé, il ne fait aucun doute sur son attribution. Dans son Cahier des dessins et croquis Style Louis XV, publié en 1890, Rue Sédaine à Paris, on retrouve deux dessins de pendules, très proches de celle que nous vous présentons ici. Dans l’ouvrage de Christopher Payne consacré à François Linke, une pendule extrêmement similaire à celle-ci est illustrée page 93. On retrouve le même vocabulaire ornemental, la même composition d’ensemble couronnée par un putto et un travail similaire de la sculpture.

    Bibliographie
    Christopher Payne, François Linke, 1855 – 1946, La Belle Époque du meuble français. Club des collectionneurs d’antiquités, Woodbridge, Royaume-Uni 2003, p. 71–95

    Provenance : Collection privée

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