Pendule de style Louis XV attribuée à Léon Messagé (1842-1901)

Expositions universelles

Affichage de 26–30 sur 33 résultats

  • SOLD OUT

    Pendule de style Louis XV attribuée à Léon Messagé (1842-1901)

    Exceptionnelle pendule de style Louis XV  en bronze doré réalisée par le sculpteur et ornemaniste, Léon Messagé (1842-1901). Cette pendule adopte les formes du XVIIIè siècle. En effet, les arabesques, ainsi que le vocabulaire ornemental, sont caractéristiques du style rocaille. Le décor est d’une grande richesse, fait de courbes très mouvementées. La partie inférieure est quant à elle consacrée au thème marin avec des coquilles et deux dauphins de chaque côté, mascaron d’homme barbu, motifs fréquemment utilisés par Léon Messagé. Un putto ailé à l’arc et au carquois trône au sommet de l’horloge. Le cadran de l’horloge est signé « Emile Colin & Cie et  Paris 29, rue Sévigné », maison avec qui Messagé, mais aussi Linke, travaillèrent. Notre pendule est le fruit de la collaboration avec la Maison Colin et Léon Méssagé qui fit de cette esthétique originale sa signature. Bien que cette pendule ne soit pas signée par Léon Méssagé, il ne fait aucun doute sur son attribution. Dans son Cahier des dessins et croquis Style Louis XV, publié en 1890, Rue Sédaine à Paris, on retrouve deux dessins de pendules, très proches de celle que nous vous présentons ici. Dans l’ouvrage de Christopher Payne consacré à François Linke, une pendule extrêmement similaire à celle-ci est illustrée page 93. On retrouve le même vocabulaire ornemental, la même composition d’ensemble couronnée par un putto et un travail similaire de la sculpture.

    Bibliographie
    Christopher Payne, François Linke, 1855 – 1946, La Belle Époque du meuble français. Club des collectionneurs d’antiquités, Woodbridge, Royaume-Uni 2003, p. 71–95

    Provenance : Collection privée

    Vue Rapide
  • SOLD OUT

    Porteur d’eau Tunisien par Jean Didier Debut (1824-1893)

    Bronze à patine polychrome représentant un porteur d’eau oriental, tenant une urne à chaque main. Sculpture signée sur la base Debut et portant le cachet de l’Exposition Universelle de 1889. Base rectangulaire avec un cartouche portant l’inscription « Porteur d’eau Tunisien par Debut – 1er Prix de Rome »

    Historique : Sculpture présentée à l’exposition Universelle de Paris en 1889
    Bibliographie : Pierre Kjellberg – Les bronzes du XIXème siècle, les éditions de l’amateur, Paris 1989, page 266

    Vue Rapide
  • Sculpture en bronze « Danseur de saltarelle » de Justin Chrysostôme Sanson (1833 – 1910)

    2300,00

    Belle sculpture en bronze à patine médaille représentant un jeune éphèbe munit d’un tambourin dansant une danse joyeuse nommée « La Saltarelle ». L’esprit du génie baroque florentin du XVIe siècle est rendu avec éclat et virtuosité. Sanson restitue dans cette sculpture, la grâce, le naturel, le mouvement et la légèreté de la danse. Signature du sculpteur sur le bord du socle : J. Sanson.
    Fonte d’atelier d’époque, légère usure de la patine et manque deux  petites cymbalettes sur le tambourin.

    Historique et provenance :
    1867, acquis par l’Etat
    Attribué au musée du Louvre
    Jusqu’en 1876, au musée du Luxembourg
    Déposé au musée national du château de Fontainebleau
    1986, affecté au musée d’Orsay, Paris

    Exposition :
    Exposition Universelle – Champ-de-Mars – France, Paris, 1867
    Exposition Universelle – Autriche, Vienne, 1873

    Vue Rapide
  • Sculpture en bronze d’Eugène Robert (1831-1912), intitulée « Le Réveil du Printemps »

    3800,00

    Sculpture en bronze à patine médaille représentant un chérubin avec des oiseaux, assis sur un nuage orné de fleurs, symbolisant « Le réveil du  Printemps ». Fonte d’édition ancienne, signature sur la terrasse Eug.Robert. Très belle qualité de ciselure, légère usure de la patine.

    Provenance : Collection privée

    Vue Rapide
  • Sculpture en bronze, « Berger et Sylvain » de Léopold Steiner (1853-1899)

    5500,00

    Très belle et grande épreuve en bronze de Léopold Steiner (1853-1899), à patine brune nuancée, représentant un berger barbu qui porte à bout de bras un Sylvain, petite divinité protectrice des bois et des champs. Cette sculpture d’inspiration néo-classique, puise ses origines dans la mythologie romaine. Signature sur la terrasse L.Steiner et cachet de fondeur Thiébaut Frères à Paris

    Historique : 1884 : Steiner obtient une bourse de voyage grâce au modèle en plâtre de Berger et sylvain
    1885 : 15 janvier, l’Etat commande sa réalisation en bronze à Eugène Gonon pour 5 500 F.
    1893 : 29 mars, arrêté d’attribution au musée du Luxembourg, placé sur la terrasse (inventorié  LUX 117 et RF 4081).
    1931 : envoi au dépôt des marbres.
    1931 : juin dépôt à Briançon
    1986 : affecté au musée d’Orsay, Paris.
    2016 : retour définitif de dépôt, réserves du musée d’Orsay
    Description : H. 2,45 ; L. 1 ; P. 0,8 m
    Expositions : 1887, Paris, Salon (SAF), n° 4506
    Oeuvres en rapport : 1881 : 15 octobre commande du plâtre par l’Etat 1884, Paris, Salon, n° 3916 1889, Paris, Exposition universelle, n° 2153 ; musée de Semur-en-Auxois Réductions éditées en bronze par Thiébaut en deux tailles
    Source : Fonds Debuisson
    Documentation du musée d’Orsay, dossier LUX 117-RF 4081
    Bibliographie : 1901, Inventaire Général des richesses d’art de la France. Paris monuments civils, T. III, p. 404
    1921, Lami, Stanislas, Dictionnaire des sculpteurs de l’Ecole française au dix-neuvième siècle, quatre volumes, t. IV, p. 275

    Vue Rapide