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  • Cheval de trait harnaché de Théodore GECHTER (1796-1844)

    Cheval de trait harnaché de Théodore GECHTER (1796-1844)

    1400,00

    Épreuve ancienne en bronze réalisée selon la technique de la fonte au sable, à patine brune représentant un cheval de trait harnaché. Signature de T. Gechter sur la terrasse et daté 1842. Sculpture en bronze à thème d’effigie équestre de grande qualité, finesse de la ciselure, quantité de détails et d’ornements, mouvements fougueux, caractéristique de ce sculpteur romantique qui affectionnait particulièrement le modelé des chevaux. Fonte d’époque, atelier du bronzier et fondeur-statuaire Jean-François-Théodore Gechter (1841-1844).

    Musées
    Le Musée de Versailles conserve de lui : Buste de maréchal de Saint André.
    Le Musée de Bordeaux : Soldat avec son fusil, 43 cm
    Paris, Arts décoratifs : Louis Philippe 1er debout, 41 cm
    Paris, Louvre : La mort de Tancrède, bronze argenté, 16,5 x 41 cm

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  • CHINE XIXème siècle, Coupe en porcelaine de Canton

    CHINE XIXème siècle, Coupe en porcelaine de Canton

    1000,00

    Coupe en porcelaine polychrome à décor de scènes animées dans des réserves agrémentée d’une monture en bronze. Décor d’oiseaux, papillons, pivoines et scènes d’intérieur de palais. Base ajourée, piétement tripode à décor de tête de lion. Quelques usures à la dorure, porcelaine en parfait état.

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  • Commode de style transition d'après le modèle de Riesener, exécutée à la fin du XIXe siecle

    Commode de style transition d’après le modèle de Riesener, exécutée à la fin du XIXe siecle

    9000,00

    Grande commode à ressaut central de style transition Louis XV – Louis XVI, ouvrant en façade par deux rangs de tiroirs sans traverse apparente et un troisième rang comportant trois tiroirs se révèle en ceinture par un secret (bouton-poussoir). Bâti de chêne, marqueterie sur fond d’acajou à motif de fleurettes en sycomore de forme géométrique, l’ensemble est enrichi d’un décor de bronzes ciselés et dorés à ornementation d’entrelacs feuillagés, de fleurons, d’anneaux de tirage perlés, de chutes de feuilles d’acanthe. Elle repose sur quatre pieds cambrés terminés par un léger enroulement. Un plateau en marbre brèche de Saint-Maximin coiffe l’ensemble. Commode de grande qualité, bronzes finement ciselés, fabrication parisienne de la fin du XIXème siècle. Quelques petits accidents au placage, dorure usée pour les bronzes, deux petits éclats de marbre à l’arrière de chaque côté.

    Provenance : Collection particulière

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  • Coupe à décor d'Émaux Champlevés, attribuée à Eugène CORNU (1827- 1899)
    SOLD OUT

    Coupe à décor d’Émaux Champlevés, attribuée à Eugène CORNU (1827- 1899)

    Coupe en Marbre-Onyx d’Algérie, monture en bronze doré et émaux polychromes. Décoré d’un large bandeau de bronze doré orné d’un décor floral en émaux champlevés aux dominantes bleues. Coupe reposant sur une base tripode de style Louis XIV en bronze doré à décor de masque d’hommes barbus et de pieds griffes. Cette coupe est un modèle attribué au dessinateur-créateur et fabricant Eugène Cornu.

     

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  • Coupe de style Néo-Grec de Ferdinand Barbedienne (1810-1892) et Louis-Constant Sévin (1821-1888)

    Coupe de style Néo-Grec de Ferdinand Barbedienne (1810-1892) et Louis-Constant Sévin (1821-1888)

    Coupe dite à l’étrusque en Marbre-Onyx d’Algérie, monture en bronze doré à décors d’émaux champlevés à la manière des arabesques Byzantines provenant des manuscrits Grecs et Romains. Coupe sur piédouche reposant sur un socle carré. Elle est décorée de motifs à l’Antique en bronze ciselé et doré avec deux anses représentant des masques de barbus. Signée du fabricant, éditeur et fondeur F.BARBEDIENNE et attribué au dessinateur-ornemaniste Louis-Constant Sévin. Cette coupe est présentée et créé par la Maison Barbedienne lors de l’Exposition Universelle de Londres en 1862, récompensée par trois médailles pour Excellence, en vedette et pionner à Londres pour sa technique de l’émail dit « cloisonné » de fonte sur les objets d’art.

    HISTOIRE
    L’émail
    Dés l’Exposition Universelle de Londres en 1851, puis de Paris en 1855, l’émail, dans la multiplicité de ses techniques et de ses effets polychromes, sort de l’oubli et connaît sous le Second Empire une réhabilitation dans les arts décoratifs parisiens. Il devient un domaine d’études des ornemanistes et de nombreuses personnalités artistiques.
    Le Marbre-Onyx
    Rapport du comitée du Jury internationnal dans le catalogue à l’Exposition Universelle de Londres en 1862, Section Française, N° 2871
    « Le marbre-Onyx est la seule pierre fine, nous n’osons dire précieuse, que puisse largement employer l’industrie moderne, sans s’arrêter au prix de revient, celle qui obeit le mieux aux caprices de l’artiste, celle qui s’allie le plus harmonieusement au bronze; ce l’émail aux jeux de la lumière sur les cristaux et dans les glaces. Les maîtres miroitiers de Florence et de Venise ne produisent pas d’oeuvre supérieure comme effet, à la glace à biseau, entourée de son large cadre ovale rehaussé d’or qu’expose la Compagnie ».

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