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  • Important miroir de Venise en verre gravé, fin XIXe siècle

    2900,00

    Miroir ovale dans un cadre rectangulaire, surmonté d’un fronton ajouré, formé de plaques à décor gravé et assemblées. Travail de gravure sur verre à décors de fleurs dans les réserves, miroir ovale biseauté, cabochons et fronton travaillés à la roue, Venise XIXe siècle . Parfait état.

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  • SOLD OUT

    Important Vase de Daum, époque Art Déco

    Important vase d’époque Art Déco de la maison Daum en cristal de couleur ambré dégagé à l’acide. Le décors est géométrique, dérivé du thème naturaliste et de couleur monochrome, ce vase est un exemple de conception nouvelle et de décoration typique de l’Art Déco. La simplicité de la forme et la sobriété de la couleur est la première préoccupation des pièces avant-gardistes à cette époque. Signature à la pointe en bas Daum Nancy France avec la croix de Lorraine. Très bon état.

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  • Importante paire de vases en marbre montés bronze, Maison Millet Paris

    25000,00

    Vases en marbre Cipolin surmontés de candélabres à trois lumières, dernier quart du XIXème siècle. Vases balustre avec une riche monture en bronze doré à décors de végétaux. Travail de grande qualité, caractéristique de la maison Millet à Paris. Le marbre Cipolin est une variété de marbre utilisée par les Romains. A la fin du règne de Louis XVI, on constate un véritable engouement pour ce type de minéraux possédant d’épaisses nervures ondulées vert, tendant au bleuté et traversé par d’épaisses couches de mica blanches. On sait le succès qu’eurent ainsi le porphyre d’Egypte, les marbres d’Italie, le jaspe, l’agate, la malachite, le lapis-lazuli, ou bien sur le cipolin dans la fabrication d’objets montés.

    Le gout pour le passé, et particulièrement pour le XVIIIe siècle, a eu une influence déterminante sur la production artistique de l’époque, et tout particulièrement dans le domaine de l’ameublement où il a entraîné les commandes de copies et d’oeuvres de style, ce qui a conduit au recours systématique à un élément fondamental du processus de fabrication qui sera de la création artistique, avec une empreinte propre à chaque ateliers de ces grands fabricants du XIXème siècle.

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  • SOLD OUT

    Importante pendule « Les deux Parques » de Ferdinand Barbedienne (1810-1892) et Louis-Constant Sévin (1821-1888)

    Importante pendule en bronze à patine médaille, surmontée deux femmes drapées à l’Antique représentant Les Deux Parques, qui selon la mythologie romaine, sont associées aux divinités du destin. Attitude identique des personnages, Aphrodite et Dioné, rythmées par une infinie variété de drapés. Qualité des rendus des modelés due à la très belle fonte du bronze effectuée par Barbedienne, qui comptait parmi les meilleurs ateliers européens au XIXe siècle. Sculpture signée F. Barbedienne, fondeur  et caché « réduction mécanique A. Collas ».  La base est en marbre noir de Belgique enrichie de décors en bronze néoclassique. Piètement balustre terminé en toupie. Le cadran en laiton à chiffres romains. Les motifs de la base sont remarquables, elles sont l’interprétation de l’ornemaniste Louis-Constant Sévin (1821-1888), qui donne ici à voir sa parfaite connaissance des sujets antiques, traitement des décors avec une rigueur néoclassique du plus bel effet.

    Provenance : collection particulière

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  • Importante pendule en bronze doré et porcelaine d’Imari, d’époque XIXème

    5500,00

    Grande pendule formée d’un vase couvert  de forme ovoïde en porcelaine d’Imari, ère Meiji période historique du Japon entre 1868 et 1912. Riche monture en bronze ciselé et doré à décor d’animaux fantastiques, chien de Fô à l’amortissement qui symbolise la richesse. Cette pendule est caractéristique d’une pratique en vogue à la fin du XIXe siècle, issue du goût alors très prononcé pour l’Extrême-Orient, destinées à prendre place dans les intérieurs les plus somptueux.

    HISTOIRE
    Le Japon s’ouvre au monde extérieur en 1868, les artistes japonais influencèrent fortement les artistes européens. Cet emballement pour le japonisme commence alors avec des collectionneurs parisiens et des connaisseurs qui apprécient la qualité et l’élégance de ces objets d’art.

    Le japonisme, qui n’a cessé de croître dans la deuxième moitié des années 1870, atteint son apogée à l’Exposition Universelle de Paris en 1878, où le Japon est exceptionnellement bien représenté. Les critiques d’art européens, et surtout français, considèrent le Japon comme un paradis inviolé et c’est cette approche qu’ils livrent au public.

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