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  • « Jockey à Cheval N°1″De Pierre-Jules Mêne (1810-1879)

    5500,00

    Sculpture en bronze à patine brune très nuancée  de Pierre-Jules Mêne (1810-1879) intitulée « Jockey à Cheval N°1 » représentant le « Vainqueur du Derby ». Fonte d’édition ancienne, atelier Mêne-Cain, signature P. J. MÊNE sur la terrasse. Selon M.Guy Thibault, historien, concepteur du musée du Cheval de course, le cheval ayant servi de modèle à cette œuvre serait le lauréat du Derby d’Epsam de 1862, Caractacus. Modelé l’année de son envoie au Salon, il compte parmi les premières représentations sculptées de jockey à cheval au XIXè siècle lors du renouveau des courses sous le Second Empire.

    Historique : Paris, Salon de 1864, bronze n°2705 : Vainqueur du Derby
    Littérature : Poletti & Richarme, Pierre-Jules Mêne ; Catalogue raisonné, Paris, 2007 page 43,
    ill 30-Collection Ishana, épreuve authentique, atelier Mêne-Cain

    Provenance : Collection particulière du Sud de la France

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  • « La Belle Gallinara » de Charles Cordier (1827-1905)

    7500,00

    Grande sculpture en bronze de Charles Henri Joseph Cordier (1827-1905) intitulé « La Belle Gallinara ». Exécuté vers 1865, exemplaire d’édition en très petit nombre ou unique, rarissime. Cette sculpture représentant une jeune fille des environs de Rome est une variante de La Belle Gallinara avec un vase sur la tête comme une porteuse d’eau orientaliste. Le modèle du vase est vraiment proche (ou le même ?) que ceux sur les Femmes fellah allant puiser de l’eau au Nil. Rarissime exemplaire en bronze de la Belle Gallinara non répertorié dans le catalogue raisonné. Signature de Cordier sur la terrasse.

    Littérature : Catalogue raisonné, Charles Cordier (1827-1905), l’autre et l’ailleurs, éditions de La Martinière
    Note : sculpture visible page 48, 150 et p. 81  stand de Cordier à l’Exposition universelle de 1867
    Remerciement à Madame Laure de Margerie pour l’expertise de cette sculpture.

    Provenance : Collection privé du Sud de la France

     

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  • « Le chanteur florentin » de Paul Dubois (1827-1905), école française

    3200,00

    Sculpture en bronze à patine médaille représentant le chanteur florentin du XVème siècle récompensé par une médaille d’honneur au Salon de 1865. Cette sculpture est de mouvement artistique classique, elle porte l’accent sur la silhouette gracieuse et élégante d’un jeune garçon aux formes lisses et épurées, contrastée avec la grande finesse du détail de l’habillement et des accessoires. Épreuve ancienne signée et datée sur la terrasse, P. Dubois 1865 et porte la marque du fondeur F.Barbedienne avec le cachet « Réduction mécanique A. Collas ».

    Le Chanteur Florentin
    Lieu de conservation : musée d’Orsay, Paris, France
    Historique 1865, commandé 1866, acquis après commande à partir de 1866 au musée du Louvre, dans les appartements du comte de Nieuwerkerke à partir de 1871, au musée du Luxembourg 1920, attribué au musée du Louvre (reversement du musée du Luxembourg) 1986, affecté au musée d’Orsay
    Expositions
    Exposition Universelle : Paris, France, 1867
    Exposition Universelle : Welt-Ausstellung 1873 in Wien, Vienne, Autriche, 1873
    Exposition Universelle : Paris, France, 1889

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  • « Lion au Serpent N°3 » d’ Antoine Louis BARYE (1796-1875), École Française

    3500,00

    Sculpture en bronze à patine brune mordorée, représentant un lion combattant un serpent, signée Barye sur la terrasse, à l’arrière de l’animal, près du postérieur droit. La terrasse est agrémentée d’un profil, le travail de surface est nerveux, très libre, presque abstraite, ce qui signe la production des années romantique. Edition par A.Delafontaine, avec le cachet « AD » (surmonté d’une étoile)

    Modèle : 1833
    Historique : vente Barye, 1876, n° 651, modèle en bronze avec son plâtre; acquis par A.Delafontaine

    Litterature : Poletti & Richarme, Antoine Louis BARYE Catalogue raisonné, Paris, édition Gallimard, page 178
    Provenance : Collection privée

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  • « Ocelot emportant un Héron », bronze d’Antoine Louis BARYE (1795-1875), école française

    4500,00

    Sculpture en bronze à patine brune nuancée de vert représentant un ocelot emportant un héron sur une terrasse naturaliste. Le chat tigre tient emprisonné dans ses griffes le héron qui balaie la terre de ses ailes et dont la mort est aussi prochaine que cruelle. Épreuve ancienne signée BARYE sur la terrasse, à l’arrière, près du postérieur gauche de l’ocelot, éditée et signée F.Barbedienne Fondeur. Tirage de très belle qualité, de fonte légère et fine avec une belle patine d’époque.

    Modèle : 1839
    Historique : vente Barye, 1876, n° 590 (modèle en bronze avec son plâtre), 500 F; acquis par Goupil pour être édité par F.Barbedienne

    Litterature : Poletti & Richarme, Antoine Louis BARYE Catalogue raisonné, Paris, édition Gallimard, page 241

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