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  • Coupe en onyx-marbre d’Algérie et bronze doré, de style néo-grec

    850,00

    Coupe sur piédouche à deux anses en marbre onyx d’Algérie et monture en bronze doré, agrémentée de motifs à l’Antique avec une base à pieds griffe. Cette coupe est remarquable à plusieurs titres. Il s’agit tout d’abord d’un magnifique objet de la production de bronzes d’art dont Paris est dans la seconde moitié du XIXe siècle la capitale incontestée. Il convient sur cette pièce de noter l’exceptionnelle qualité de la dorure au mercure. Cette coupe est un exemple caractéristique de production de cette union de l’art et de l’industrie tant recherchée à cette époque.

    HISTOIRE
    Sous le Second Empire, ce style que l’on qualifiait indifféremment de néo-grec, , de néo-pompéien ou encore d’estruco-grec se manifesta surtout dans le domaine de la porcelaine et dans celui des arts du métal, et tout particulièrement sur les bronzes d’ameublement.

     

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  • SOLD OUT

    Important Vase de Daum, époque Art Déco

    Important vase d’époque Art Déco de la maison Daum en cristal de couleur ambré dégagé à l’acide. Le décors est géométrique, dérivé du thème naturaliste et de couleur monochrome, ce vase est un exemple de conception nouvelle et de décoration typique de l’Art Déco. La simplicité de la forme et la sobriété de la couleur est la première préoccupation des pièces avant-gardistes à cette époque. Signature à la pointe en bas Daum Nancy France avec la croix de Lorraine. Très bon état.

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  • Importante sculpture en bronze de Charles Octave Levy (1820-1899), « Salomé »

    4800,00

    Grande sculpture orientaliste en bronze à patine  brune nuancée représentant Salomé, fille d’Hérodiade et d’Hérode fils d’Hérode (appelé Philippe dans les évangiles). Personnage de tentatrice sensuelle qui inspire les artistes du XIXème et XXème siècle. Signé Ch.Levy  sur la terrasse, titré dans un cartouche sur le devant « SALOMÉ PAR CH. LEVY (Sc)»

    Bibliographie : Pierre Kjellberg – Les bronzes du XIXème siècle, les éditions de l’amateur, Paris 1989, page 439 & 440

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  • D’Aste Giuseppe (1881-1945), Groupe en bronze doré  » Fête au village »

    2500,00

    Groupe en bronze doré composé de cinq petits enfants hollandais et de leurs mère sur le chemin de la fête au village. Base naturaliste portant la signature du sculpteur.

    Bibliographie : Anne Pingeot, Antoinette Le Normand-Romain et Laure de Margerie
    Catalogue sommaire illustré des sculptures, Musée d’Orsay, Paris, 1986

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  • SOLD OUT

    Vase en émail de limoges époque XIXe siècle, monture en argent

    Vase en émail de limoges intitulé « Pureté » représentant une jeune fille dans un décors de roses luxuriant. Monture en argent de style rocaille, poinçon tête de chien. On atteint içi dans l’exécution de cet émail peint, l’excellence. Objet d’art délicat, de grande qualité technique, maîtrise des coloris et de sa facture, en parfait état.

    A la fin du XIXe siècle, la valeur marchande l’œuvre émaillée semble dépendre d’un critère absolu : la compétence technique de l’émailleur. Elle se mesure, pour le public et la critique, notamment à la quantité de travail qu’elle paraît avoir nécessitée. Elle s’apprécie également dans une illusoire fidélité de l’œuvre copiée, souvent d’après des maîtres anciens ou dans des créations personnelles. En raison de la mise en œuvre de technique jugées complexes, proches de la mythification, l’objet fini aboutit à un prix de vente accessible seulement à une parte de la population.

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  • Imposante sculpture d’après Antoine-Denis CHAUDET Paris, (1763 – 1810) L’Amour prenant un papillon

    12500,00

    Imposante sculpture d’après Antoine-Denis CHAUDET (1763-1810) « L’Amour prenant un papillon », sujet en bronze à patine vert-brun sur une base de marbre portor agrémenté de quatre petits pieds en bronze dit pattes de lions et de deux bas-reliefs en bronze doré figurant des amours musiciens . Modèle d’époque conservé au Musée du Louvres depuis 1817 d’après le modèle en plâtre de 1802, époque fin XIXème siècle. Fonte posthume de très grande qualité, cachet de la Maison Colin à Paris, fondeur-éditeur.

    Littérature : Alcouffe, Daniel ; Amiet, Pierre ; Baratte, François, Louvre : Guide des collections, Paris, Réunion des musées nationaux, 1989, p. 324, n° 335

    Historique : Salon de 1817, Paris
    Marbre terminé par Pierre Cartellier (1757-1831). Salon de 1817, n° 805 (modèle en plâtre au Salon de 1802, n° 409). Acquis de la veuve du sculpteur par le ministère de la Maison du roi, et placé le 20 juin 1817 au Grand Trianon à Versailles. Entré au Louvre en 1847.

    Provenance : collection privée

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  • Coupe de style Néo-Grec de Ferdinand Barbedienne (1810-1892) et Louis-Constant Sévin (1821-1888)

    Coupe dite à l’étrusque en Marbre-Onyx d’Algérie, monture en bronze doré à décors d’émaux champlevés à la manière des arabesques Byzantines provenant des manuscrits Grecs et Romains. Coupe sur piédouche reposant sur un socle carré. Elle est décorée de motifs à l’Antique en bronze ciselé et doré avec deux anses représentant des masques de barbus. Signée du fabricant, éditeur et fondeur F.BARBEDIENNE et attribué au dessinateur-ornemaniste Louis-Constant Sévin. Cette coupe est présentée et créé par la Maison Barbedienne lors de l’Exposition Universelle de Londres en 1862, récompensée par trois médailles pour Excellence, en vedette et pionner à Londres pour sa technique de l’émail dit « cloisonné » de fonte sur les objets d’art.

    HISTOIRE
    L’émail
    Dés l’Exposition Universelle de Londres en 1851, puis de Paris en 1855, l’émail, dans la multiplicité de ses techniques et de ses effets polychromes, sort de l’oubli et connaît sous le Second Empire une réhabilitation dans les arts décoratifs parisiens. Il devient un domaine d’études des ornemanistes et de nombreuses personnalités artistiques.
    Le Marbre-Onyx
    Rapport du comitée du Jury internationnal dans le catalogue à l’Exposition Universelle de Londres en 1862, Section Française, N° 2871
    « Le marbre-Onyx est la seule pierre fine, nous n’osons dire précieuse, que puisse largement employer l’industrie moderne, sans s’arrêter au prix de revient, celle qui obeit le mieux aux caprices de l’artiste, celle qui s’allie le plus harmonieusement au bronze; ce l’émail aux jeux de la lumière sur les cristaux et dans les glaces. Les maîtres miroitiers de Florence et de Venise ne produisent pas d’oeuvre supérieure comme effet, à la glace à biseau, entourée de son large cadre ovale rehaussé d’or qu’expose la Compagnie ».

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  • Bernhard BLOCH (1836-1909), terre cuite grandeur nature d’un petit garçon d’Afrique du Nord

    12000,00

    Rarissime et très grande terre cuite polychrome à décor d’un jeune garçon assis à califourchon sur une chaise en bambou et vannerie, numéroté et monogrammé dans le dos. Cette sculpture est une prouesse de technicité et ne se trouvent qu’exceptionnellement dans cette dimension, l’éditeur ayant surtout produit des petits sujets.

    Bibliographie : Terres cuites orientaliste et africanistes, Stéphane Richemond, 1860-1940, les éditions de l’Amateur
    Provenance : collection privée

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  • Immense pendule en régule d’Albert-Ernest Carrier-Belleuse (1824-1887)

    12000,00

    Sculpture néo-classique en régule à patine noire nuancée représentant une femme vêtue dans un drapé à l’antique et supportant une pendule à bout de bras. Cadran en émail blanc indiquant les heures en chiffres romains. Signature de l’artiste A.Carrier dans un plis de la robe. Socle en bois doré mouluré d’époque et mécanique d’origine.

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  • Pendule à l’Antique en bronze d’époque Napoléon III

    4500,00

    Rare pendule de cheminée en bronze doré et patiné, à décor de ruines antiques, bustes et colonnes corinthiennes, époque XIXème siècle. Mécanique d’origine et en état de marche.

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  • « Conducteur de char romain » par Emmanuel Frémiet (1824-1910)

    3900,00

    Sculpture en bronze d’un saisissant réalisme, à patine brune nuancée représentant un conducteur de char romain casqué maîtrisant deux chevaux fougueux . Fonte d’édition ancienne de la fin du XIXème siècle, signée du sculpteur Frémiet, fonte de Charles More, sur une base de forme ovale.
    Historique :
    Oeuvres d’art exposées au salon de 1866 et acquises par le ministère de la Maison de l’Empereur et des Beaux-Arts, au Palais des Champs-Elysées à Paris.
    Cavalier romain (1866) statue en bronze par Emmanuel Frémiet, No 2779, présentée hors concours, acquise ou commandée par le ministère de la Maison de l’Empereur et des beaux-arts.

    Référence littéraire : Les bronzes du XIXe siècle Pierre Kjellberg cf. p 327 à 337

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  • Grande paire de candélabres en bronze doré de style Louis XIV

    3500,00

    Importante paire de candélabres en bronze doré et marbre de style Louis XIV. Chacun est composé de neuf bras de lumière à décors de bustes féminins. Base carré en marbre rouge griotte. Très belle qualité de ciselure, dorure en bon état.

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  • Paire de bougeoirs en bronze argenté de style Louis XIV

    450,00

    Paire de bougeoirs de style Louis XIV à pans coupés en bronze argenté d’époque XIXe siècle. Ils sont signés Adam, localisation inconnu, bon état d’usage.

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  • SOLD OUT

    Grande sculpture en bronze « Prise de corsaire » de Emmanuel VILLANIS (1858-1914), école française

    Belle et grande épreuve en bronze à patine polychrome reposant sur une base rectangulaire naturaliste. Fonte ancienne signée sur la terrasse « E. Villanis » et intitulée « Prise de corsaire », portant le cachet « Société des bronzes de Paris » numéroté « 4025 » Cette belle sculpture d’Emmanuel Villanis, très marquée par l’esprit Art Nouveau, est représentée par une jeune et sensuelle prisonnière Orientale dite prise de corsaire, avec un air doux, légèrement absente et rêveuse.

    Bibliographie : Pierre Kjelberg, les bronzes du XIXe siècle, les Editions de l’Amateur, Paris 1989, page 641 à 644

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  • SOLD OUT

    Pendule en bronze doré de Robert & Courvoisier, « Protection maternelle »

    Rare pendule à poser d’époque Consulat en bronze doré représentant la « Protection maternelle ». La pendule de forme borne est surmontée d’une femme agenouillée qui protège des jeunes enfants dans un drapé. Le cadran est signé Robert & Courvoisier. Vendu en l’état, mécanique à restaurer. Dorure au mercure d’époque, dans un bel état de conservation.

    Robert & Courvoisier (La Chaud de Fonds, Suisse) sont des maîtres horlogers suisses. L’entreprise a été fondée en 1795.

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  • Friedrich Goldscheider, très grande sculpture orientaliste grandeur nature

    15000,00

    Statue grandeur nature en terre cuite polychrome représentant un garçon nord-africain. Le garçon est représenté debout devant une table de style marocain et tenant une bougie dans les mains, la base est estampée du numéro 1297/ 9/20 et porte la signature de Friedrich Goldscheider à Vienne. Haut du pied droit avec une légère restauration sans gravité, de la taille d’un petit cheveux.

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  • Guéridon en bronze époque Napoléon III de style gothique Violet-le-duc

    3500,00

    Beau guéridon en bronze doré et patiné de style gothique, large plateau circulaire en partie ajouré, sculpté en bas-relief de rinceaux et mascarons centré d’un écu sous heaume de profil. Le piètement est de forme tripode, mouvementé à décor d’enroulements, dragons et pieds griffes, la tablette d’entretoise est sommée d’une urne. Travail de qualité d’époque Napoléon III.

    ATTENTION
    Le prix ci-dessous ne comprend pas la livraison car l’objet est trop encombrant ou trop lourd pour être expédié par La Poste.
    Nous vous invitons à nous contacter pour obtenir un devis.

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  • Émile Colin & Cie, d’après le modèle créé par Frédéric-Eugène Piat (1827-1903), figures modelées par Léopold Steiner (1853-1899)

    3500,00

    Encrier « l’amour fraternel » d’ Émile Colin & Cie, d’après le modèle créé par Frédéric-Eugène Piat (1827-1903), figures modelées par Léopold Steiner (1853-1899).  Difficile à trouver en raison de sa nature unique, cet encrier résulte d’une recherche savante des détails et d’un fini merveilleux d’ exécution. Cet objet est caractéristique de l’historicisme et de l’électisme stylistique qui dominent le goût public et les arts décoratifs de cet époque. Cette œuvre appartient à la série des objets de petites dimensions que composa Eugène Piat pour la maison Colin. La collaboration entre Piat et la maison Colin se déploie notamment à l’occasion de l’Exposition universelle de 1889, on peut aisément imaginer que c’est dans cette période artistiquement féconde que le modèle de notre encrier fut créé.

    Provenance : collection particulière

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  • Importante sculpture « Le chanteur florentin » de Paul Dubois (1827-1905), école française

    5000,00

    Importante sculpture en bronze à patine médaille représentant le chanteur florentin du XVème siècle récompensé par une médaille d’honneur au Salon de 1865. Cette sculpture est de mouvement artistique classique, elle porte l’accent sur la silhouette gracieuse et élégante d’un jeune garçon aux formes lisses et épurées, contrastée avec la grande finesse du détail de l’habillement et des accessoires. Épreuve ancienne signée et datée sur la terrasse, P. Dubois 1865 et porte la marque du fondeur F.Barbedienne avec le cachet « Réduction mécanique A. Collas »

    Histoire

    Le Chanteur Florentin
    Lieu de conservation : musée d’Orsay, Paris, France
    Historique 1865, commandé 1866, acquis après commande à partir de 1866 au musée du Louvre, dans les appartements du comte de Nieuwerkerke à partir de 1871, au musée du Luxembourg 1920, attribué au musée du Louvre (reversement du musée du Luxembourg) 1986, affecté au musée d’Orsay
    Expositions Exposition Universelle : Paris, France, 1867
    Exposition Universelle : Welt-Ausstellung 1873 in Wien, Vienne, Autriche, 1873
    Exposition Universelle : Paris, France, 1889

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  • SOLD OUT

    Sculpture Art Déco « Diane chasseresse » en bronze de G.DAVERNY

    Importante sculpture d’époque Art Déco, en bronze argenté et patiné, représentant Diane Chassesresse avec des oiseaux de paradis à ses côtés. La silhouette athlétique et mince, ses cheveux tirés en arrière, elle porte des vêtements simples comme pour souligner sa nature dynamique. Groupe reposant sur une base à gradin en marbre Portor. Signature du sculpteur français G.Daverny avec l’annotation des fondeurs Editions Reveyrolis Paris et poinçonné Bronze.

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  • Sculpture en bronze d’Eugène Robert (1831-1912), intitulée « Le Réveil du Printemps »

    3800,00

    Sculpture en bronze à patine médaille représentant un chérubin avec des oiseaux, assis sur un nuage orné de fleurs, symbolisant « Le réveil du  Printemps ». Fonte d’édition ancienne, signature sur la terrasse Eug.Robert. Très belle qualité de ciselure, légère usure de la patine.

    Provenance : Collection privée

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  • SOLD OUT

    Importante pendule « Les deux Parques » de Ferdinand Barbedienne (1810-1892) et Louis-Constant Sévin (1821-1888)

    Importante pendule en bronze à patine médaille, surmontée deux femmes drapées à l’Antique représentant Les Deux Parques, qui selon la mythologie romaine, sont associées aux divinités du destin. Attitude identique des personnages, Aphrodite et Dioné, rythmées par une infinie variété de drapés. Qualité des rendus des modelés due à la très belle fonte du bronze effectuée par Barbedienne, qui comptait parmi les meilleurs ateliers européens au XIXe siècle. Sculpture signée F. Barbedienne, fondeur  et caché « réduction mécanique A. Collas ».  La base est en marbre noir de Belgique enrichie de décors en bronze néoclassique. Piètement balustre terminé en toupie. Le cadran en laiton à chiffres romains. Les motifs de la base sont remarquables, elles sont l’interprétation de l’ornemaniste Louis-Constant Sévin (1821-1888), qui donne ici à voir sa parfaite connaissance des sujets antiques, traitement des décors avec une rigueur néoclassique du plus bel effet.

    Provenance : collection particulière

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  • SOLD OUT

    Vase de Daum à décor de Crocus

    Vase ovoïde épaulé sur pied douche et col ourlé en verre multicouche soufflé-moulé et fond martelé. Décor de crocus bordeaux à différents stades de floraison, gravés en camée à l’acide et finement ciselés sur fond clair et givré entièrement martelé à petites facettes. Signature sous le pied  gravée Daum Nancy avec la croix de Lorraine. Parfait état.

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  • « La Belle Gallinara » de Charles Cordier (1827-1905)

    7500,00

    Grande sculpture en bronze de Charles Henri Joseph Cordier (1827-1905) intitulé « La Belle Gallinara ». Exécuté vers 1865, exemplaire d’édition en très petit nombre ou unique, rarissime. Cette sculpture représentant une jeune fille des environs de Rome est une variante de La Belle Gallinara avec un vase sur la tête comme une porteuse d’eau orientaliste. Le modèle du vase est vraiment proche (ou le même ?) que ceux sur les Femmes fellah allant puiser de l’eau au Nil. Rarissime exemplaire en bronze de la Belle Gallinara non répertorié dans le catalogue raisonné. Signature de Cordier sur la terrasse.

    Littérature : Catalogue raisonné, Charles Cordier (1827-1905), l’autre et l’ailleurs, éditions de La Martinière
    Note : sculpture visible page 48, 150 et p. 81  stand de Cordier à l’Exposition universelle de 1867
    Remerciement à Madame Laure de Margerie pour l’expertise de cette sculpture.

    Provenance : Collection privé du Sud de la France

     

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  • « Jockey à Cheval N°1″De Pierre-Jules Mêne (1810-1879)

    5500,00

    Sculpture en bronze à patine brune très nuancée  de Pierre-Jules Mêne (1810-1879) intitulée « Jockey à Cheval N°1 » représentant le « Vainqueur du Derby ». Fonte d’édition ancienne, atelier Mêne-Cain, signature P. J. MÊNE sur la terrasse. Selon M.Guy Thibault, historien, concepteur du musée du Cheval de course, le cheval ayant servi de modèle à cette œuvre serait le lauréat du Derby d’Epsam de 1862, Caractacus. Modelé l’année de son envoie au Salon, il compte parmi les premières représentations sculptées de jockey à cheval au XIXè siècle lors du renouveau des courses sous le Second Empire.

    Historique : Paris, Salon de 1864, bronze n°2705 : Vainqueur du Derby
    Littérature : Poletti & Richarme, Pierre-Jules Mêne ; Catalogue raisonné, Paris, 2007 page 43,
    ill 30-Collection Ishana, épreuve authentique, atelier Mêne-Cain

    Provenance : Collection particulière du Sud de la France

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  • SOLD OUT

    Imposant Baromètre en bronze de Style Louis XIV, époque fin XIXe

    Imposant baromètre d’applique en bronze de style Louis XIV, époque fin XIXe siècle à l’effigie du « Roi- Soleil » représenté dans un carouche entouré de chérubins. Cadran à fond noir, aiguille ajourée indique l’état du temps atmosphérique figurant sur des cartouches d’émail, allant de Grande Pluie à Beau Fixe. Inscrit dans un cartouche en émail « Baromètre suiv. Torricelli ». En bronze finement ciselé, le mécanisme est supporté par une cordelière à pompons et par un ruban en passementerie.

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  • « Lion au Serpent N°3 » d’ Antoine Louis BARYE (1796-1875), École Française

    3500,00

    Sculpture en bronze à patine brune mordorée, représentant un lion combattant un serpent, signée Barye sur la terrasse, à l’arrière de l’animal, près du postérieur droit. La terrasse est agrémentée d’un profil, le travail de surface est nerveux, très libre, presque abstraite, ce qui signe la production des années romantique. Edition par A.Delafontaine, avec le cachet « AD » (surmonté d’une étoile)

    Modèle : 1833
    Historique : vente Barye, 1876, n° 651, modèle en bronze avec son plâtre; acquis par A.Delafontaine

    Litterature : Poletti & Richarme, Antoine Louis BARYE Catalogue raisonné, Paris, édition Gallimard, page 178
    Provenance : Collection privée

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  • Importante paire de vases en marbre montés bronze, Maison Millet Paris

    25000,00

    Vases en marbre Cipolin surmontés de candélabres à trois lumières, dernier quart du XIXème siècle. Vases balustre avec une riche monture en bronze doré à décors de végétaux. Travail de grande qualité, caractéristique de la maison Millet à Paris. Le marbre Cipolin est une variété de marbre utilisée par les Romains. A la fin du règne de Louis XVI, on constate un véritable engouement pour ce type de minéraux possédant d’épaisses nervures ondulées vert, tendant au bleuté et traversé par d’épaisses couches de mica blanches. On sait le succès qu’eurent ainsi le porphyre d’Egypte, les marbres d’Italie, le jaspe, l’agate, la malachite, le lapis-lazuli, ou bien sur le cipolin dans la fabrication d’objets montés.

    Le gout pour le passé, et particulièrement pour le XVIIIe siècle, a eu une influence déterminante sur la production artistique de l’époque, et tout particulièrement dans le domaine de l’ameublement où il a entraîné les commandes de copies et d’oeuvres de style, ce qui a conduit au recours systématique à un élément fondamental du processus de fabrication qui sera de la création artistique, avec une empreinte propre à chaque ateliers de ces grands fabricants du XIXème siècle.

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  • Sculpture en cristal de Bohême Art déco par Curt Schlevogt (1869-1959)

    750,00

    Sujet en cristal de Bohême représentant un nu féminin, sur une base en marbre noir de Belgique d’époque Art Déco. Normalement il est apposé une étiquette de la fabrique qui a disparu avec le temps, mais cette pièce a été identifiée selon des documents d’archive, comme des catalogues de vente ou d’autres sources littéraires.  Cette sculpture a été fabriquée par Curt Schlevogt en Bohême dans les années 1930.

     

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  • Ferdinand Barbedienne ( 1810 -1892), importante paire de candélabres Orientaliste

    3800,00

    Candélabres en bronze d’inspiration orientale à cinq bras de lumières à double patine brune et dorée . Le fût cylindrique est sculpté de fleurs et les bras de lumière sont ornés de frises de perles et d’arabesques. Signature de F. Barbedienne sur la base.

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  • Table pagode Japonisante attribué à la société parisienne d’inspiration extrême-orientale, Daï-Nippon

    3800,00

    Table pagode d’inspiration japonisante en bois naturel teinté acajou à décors de frise de bois ajouré, d’éléments de panneaux Japonais période Meiji (1868-1912) en marqueterie géométrique faite de bois divers. Piétement quadripode à ressauts animés de têtes d’éléphants avec leurs défenses en nacre. Le plateau inférieur supporte une tablette asymétrique découvrant un tiroir avec un motif de tortue en bronze doré pour l’ouvrir. La tortue en bronze doré employée comme bouton de tiroir semble être un symbole iconographique très caractéristique des productions de la Daï-Nippon. Cette table japonisante s’inscrit bien dans le registre de la production de cette société parisienne, avec son décor, le réemploi des panneaux Japonais prélevés sur des meubles en provenance du Tonkin, selon une pratique qui lui était alors familière, en lui changeant son utilité première.

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  • Charles Georges FERVILLE-SUAN (1847-1925), vase mythologique

    4500,00

    Important vase en bronze mythologique de la fin du XIXè siècle de Charles Georges FERVILLE-SUAN (1847-1925), représentant Eurydice, nymphe des arbres. De forme bombé à patine brune et dorée et décor en ronde bosse. Signé Ferville Suan et sur la base Salon des beaux-arts. Patine et ciselure de grande qualité.

    Bibliographie : E.Bénézit ; Dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs, Paris, Éditions Gründ, 1976

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  • Épreuve unique en bronze de De Pierre-Jules Mêne (1810-1879), « Mazagran »

    7000,00

    Rarissime bronze de Pierre-Jules Mêne (1810-1879) représentant un sujet allégorique sur la défense de Mazagran, un exemple actuellement identifié. Sculpture en bas relief, transposition animalière symbolique qui évoque la bataille de Mazagran, qui eut lieu en 1840 dans l’ouest algérien. Mazagran était un petit hameau fortifié non loin de Mostaganem, où furent assiégés cent vingt trois chasseurs de l’armée française, les zéphyrs, qui durant trois jours et trois nuits, les 3,4 et 5 février 1840, repoussèrent les assauts de quinze mille homme issus de plus cent vingt tribus arabes placées sous les ordres d’Abd el-Kader. L’iconographie de ce bas relief  représente la France avec le coq, symbole de courage et de bravoure, à ses côtés, le drapeau qui protégeait les murs de Mazagran. Les loups et les félins dans la partie basse représentent les assaillants.
    Première référence, le bronze est refusé au Salon de 1841 et apparaît dans les archives comme refusée. La seconde référence est celle du catalogue de 1846 dans lequel est mentionnée sans indication de dimensions ni de prix. Il est mentionné dans le catalogue raisonné de Pierre Jules Mêne page 206, « Le bronze refusé au salon n’est pas identifié et a disparu, et nous nous interrogeons sur l’édition de ce bas-relief, car aucun tirage ne nous a été signalé »

    Édition
    Plâtre ; atelier P.J Mêne, 1846 : édité par l’artiste ?
    Bronze ; catalogue Mêne, 1846 : édité par l’artiste ? , Sujet allégorique sur la défense de Mazagran, sans prix

    Littérature : Poletti & Richarme, Pierre-Jules Mêne ; Catalogue raisonné, Paris, 2007 page 206
    Provenance : Collection privé du Sud de la France

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  • SOLD OUT

    Porteur d’eau Tunisien par Jean Didier Debut (1824-1893)

    Bronze à patine polychrome représentant un porteur d’eau oriental, tenant une urne à chaque main. Sculpture signée sur la base Debut et portant le cachet de l’Exposition Universelle de 1889. Base rectangulaire avec un cartouche portant l’inscription « Porteur d’eau Tunisien par Debut – 1er Prix de Rome »

    Historique : Sculpture présentée à l’exposition Universelle de Paris en 1889
    Bibliographie : Pierre Kjellberg – Les bronzes du XIXème siècle, les éditions de l’amateur, Paris 1989, page 266

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  • Centre de table en trompe l’œil en faïence émaillée de Malicorne

    650,00

    Centre de table représentant un assortiment réaliste de fruits et de fleurs en haut-relief à l’intérieur d’un panier blanc en forme de tresse. A signaler quelques éclats. Travail de la Faïencerie de Malicorne de la première moitié du XXème siècle.

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  • Bronze d’Antoine-Louis BARYE (1795-1875) Panthère de Tunis N°1

    2500,00

    Très belle épreuve en bronze à patine brune nuancée de noir représentant une panthère observant, tapie sur un rocher.  Épreuve ancienne signée BARYE sur le côté de la terrasse, à l’avant, à gauche, éditée et signée F.Barbedienne Fondeur. Qualité de la patine et de la ciselure remarquable.

    Première édition : vers 1860
    Modèle en plâtre : Paris, collection Fabius
    Bibliographie : Poletti & Richarme, Antoine Louis BARYE Catalogue raisonné, Paris, édition Gallimard, page 221

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  • SOLD OUT

    Sculpture en albâtre du XIXème siècle de style néo-gothique, « La Passion »

    Grande sculpture en albâtre du XIXème siècle de style néo-gothique, représentant une jeune fille pensive, tenant dans ses mains un coffret surmonté de deux petit oiseaux. Selon une iconographie bien connue, la jeune fille représentée avec des oiseaux, sans doute des chardonnerets, mais l’accent sur la tradition médiévale symbole de la Passion. Le sculpteur mais en valeur les étoffes lourdes de la robe aux plis creusés, très marqués qui contribue à donner à son œuvre une présence physique exceptionnelle. Le choix de la matière, l’albâtre, est bien représentative de l’époque Gothique, le sculpteur présente un grand sens de la mise en espace et, surtout, un intérêt remarquable pour le décor, dans le soin apporté au détail de la robe et au coffret surmonté de ces deux petits chardonnerets.

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  • Dürer et Rembrandt, paire de sculptures en bronze d’Albert-Ernest Carrier-Belleuse (1824-1887)

    4500,00

    Paire de sculpture en bronze à patine nuancée représentant de grandes figures artistiques, Albrecht Dürer (dessinateur, graveur et peintre allemand) et Van Rijn Rembrandt (peintre néerlandais ) Respectivement, ils ont une quantité démesurée de détails, les mains sont finement réalisées, les visages sont net et en mouvement, les vêtements sont exécutés avec le plus grand réalisme. Rembrandt est intitulé sur son portfolio d’artiste, carnet de croquis sous le bras, palette et pinceau sur le sol, il est signé dans la base naturaliste «A.Carrier», la figure de Dürer est titrée sur son livre de dessin et signée également dans la base naturaliste « A.Carrier ». Légères usures de la patine à quelques endroits.

    Référence littéraire : Les bronzes du XIXe siècle Pierre Kjellberg cf. p. 189 à 192
    Distinctions : Carrier-Belleuse a fait partie du comité de la Société Nationale des Beaux Arts dès 1861. Chevalier de l’Ordre de Léopold en 1869, Officier de la Légion d’honneur en 1885.

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  • Bronze d’Antoine Louis BARYE (1796-1875) Taureau cabré

    2800,00

    Antoine Louis BARYE (1796-1875) Taureau cabré. Épreuve en bronze à patine nuancée brun-vert, signée sur la terrasse, marque F. Barbedienne fondeur, sur la tranche de la terrasse. À l’intérieur : annotation à l’encre 1726. Tirage de très belle qualité, de fonte légère et fine avec une belle patine d’époque.

    Modèle : 1841
    Historique : vente Barye, 1876, n° 674, en lot avec le n° 673 (modèle en bronze avec son plâtre ) acquis par Goupil pour être édité par F. Barbedienne

    Littérature : Poletti & Richarme, Antoine Louis BARYE, Catalogue raisonné, Paris, édition Gallimard, modèle ill. p324

     

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  • Rare paire de girandoles de la Maison Baguès à Paris

    3800,00

    Très belle paire de girandoles en fer forgé et doré ornées de pampilles en cristal de roche et améthyste. La base est de forme tripode, la structure est en métal doré et polychrome, animée de branchages fleuris. Travail de la Maison Baguès à Paris.

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  • Grande Sculpture en Albâtre « Tzigane »de Emmanuel VILLANIS (1858-1914), école française

    3500,00

    Grande et belle épreuve en albâtre représentant un buste de jeune femme nomade d’origine Indou et d’inspiration Art Nouveau. Elle est représentée les cheveux enveloppés dans un foulard, en robe à épaules dénudées, positionnée la tête tournée de trois quart, avec un air doux, légèrement absente et rêveuse. Sculpture signée sur l’épaule E.Villanis et titrée sur la terrasse Tzigane, un terme européen pour Gypsy – ce travail capture certainement la femme libre d’esprit, sombre et aventureuse reflétée par son titre.

    Bibliographie : Pierre Kjelberg, les bronzes du XIXe siècle, les Editions de l’Amateur, Paris 1989, page 641 à 644

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  • Très grande paire de candélabres en bronze doré de style Louis XV par Robert Frères à Paris et Susse Frères éditeurs

    7500,00

    Très grande paire de candélabres à six lumières en bronze doré de style Louis XV signés sur la base de Robert Frères et cachet de la maison Susse à Paris. L’iconographie de ces luminaires est influencée par le mouvement artistique de l’art nouveau. Elle résulte de l’étude de la signification stylistique inspirée de la nature qui se caractérise par sa légèreté, combinée avec l’empreinte du style rococo du XVIIIè siècle. Riche décor de rinceaux feuillagés et binets en forme de trompette stylisée. Très belle qualité de ciselure, dorure légèrement usée à certain endroit.

    Provenance : collection privée

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    Pendule d’Arthur Waagen (1833-1898), « Time is Money »

    Imposante et rare pendule en métal patiné couleur bronze d‘Arthur Waagen (1833-1898), titrée dans un cartouche « Time is Money ». La pendule est composée d’une jeune femme souriante décorée de pièces de monnaies et de cornes d’abondance. Ce proverbe « Time is money » est présent dans l’œuvre de Benjamin Franklin, paru dans le livre de 1748 de George Fisher, The American Instructor, dans lequel Franklin a écrit : « N’oubliez pas que le temps, c’est de l’argent ». Mécanique en état de marche, ressort de la sonnerie a réparer.

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  • Orfèvre TETARD FRÈRES – Paire de Candélabres en Argent Massif Époque 1930

    4200,00

    Paire de candélabres bas de style Louis XIV, en argent massif d’époque Art Déco, à quatre bras de lumière plus une lumière centrale. Époque 1930, argent 1er titre, poinçon minerve et poinçon d’orfèvre TETARD Frères.

    Famille d’orfèvres et maison d’orfèvrerie française à Paris, réputée aux XIXe siècle et XXe siècle, une des dernières françaises consacrées à la production d’argent massif et de vermeil, sans décliner de produit en métal argenté. Située dans le quartier du Marais, 4 rue Béranger, au moins entre 1881 et 1978 puis aussi pour l’atelier 12 rue Portefoin, et le siège social 4 rue Montesquieu

    Œuvres: Paris, Musée d’Orsay, service à thé dessiné par Jean Tétard, 1930, en or, argent, ivoire, OAO 1290.1 à 5 (vu aux salon d’automne 1930 et exposition coloniale internationale de 1931 à Paris).
    Expositions :
    1889, Paris, Exposition Universelle, Exposition Universelle Internationale de 1889 à Paris. Catalogue Général Officiel. Tome troisième. Groupe III. Mobilier et accessoires. Classes 17 à 29, Lille, 1889. A. Picard, (dir.), Exposition Universelle Internationale de 1889 à Paris. Rapports du jury international. Groupe III. Mobilier et accessoires. Classes 17 à 29, Paris, 1891, vol. 12.
    1925, Paris, exposition internationale des arts décoratifs et industriels.
    1931, Paris, exposition coloniale internationale.
    1936, Milan, VIe exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes.
    1936, XXVIe salon des artistes décorateurs.
    1991, Rueil-Malmaison, La mesure du temps: dans les collections du Musée de Malmaison(Raingo).

    Bibliographie : Jared Goss, French Art Deco, New York, 2014.

     

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  • CHINE XIXème siècle, Coupe en porcelaine de Canton

    1000,00

    Coupe en porcelaine polychrome à décor de scènes animées dans des réserves agrémentée d’une monture en bronze. Décor d’oiseaux, papillons, pivoines et scènes d’intérieur de palais. Base ajourée, piétement tripode à décor de tête de lion. Quelques usures à la dorure, porcelaine en parfait état.

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    Bronze de Jean Antoine INJALBERT (1845-1933), « L’enfant Rieur »

    Sculpture en bronze représentant un enfant rieur et espiègle à patine brune, sur un piedouche à bague. en marbre rouge griotte. Épreuve de trois-quarts face, la tête tournée vers la gauche, signée à l’épaule Injalbert, avec cachet de fondeur Siot-Decauville Paris.

    Bibliographie : Pierre Kjellberg – Les bronzes du XIXème siècle, les éditions de l’amateur, Paris 1989, page 385-386

    Provenance : Collection particulière Rhône-Alpes

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  • Sculpture en bronze, « Berger et Sylvain » de Léopold Steiner (1853-1899)

    5500,00

    Très belle et grande épreuve en bronze de Léopold Steiner (1853-1899), à patine brune nuancée, représentant un berger barbu qui porte à bout de bras un Sylvain, petite divinité protectrice des bois et des champs. Cette sculpture d’inspiration néo-classique, puise ses origines dans la mythologie romaine. Signature sur la terrasse L.Steiner et cachet de fondeur Thiébaut Frères à Paris

    Historique : 1884 : Steiner obtient une bourse de voyage grâce au modèle en plâtre de Berger et sylvain
    1885 : 15 janvier, l’Etat commande sa réalisation en bronze à Eugène Gonon pour 5 500 F.
    1893 : 29 mars, arrêté d’attribution au musée du Luxembourg, placé sur la terrasse (inventorié  LUX 117 et RF 4081).
    1931 : envoi au dépôt des marbres.
    1931 : juin dépôt à Briançon
    1986 : affecté au musée d’Orsay, Paris.
    2016 : retour définitif de dépôt, réserves du musée d’Orsay
    Description : H. 2,45 ; L. 1 ; P. 0,8 m
    Expositions : 1887, Paris, Salon (SAF), n° 4506
    Oeuvres en rapport : 1881 : 15 octobre commande du plâtre par l’Etat 1884, Paris, Salon, n° 3916 1889, Paris, Exposition universelle, n° 2153 ; musée de Semur-en-Auxois Réductions éditées en bronze par Thiébaut en deux tailles
    Source : Fonds Debuisson
    Documentation du musée d’Orsay, dossier LUX 117-RF 4081
    Bibliographie : 1901, Inventaire Général des richesses d’art de la France. Paris monuments civils, T. III, p. 404
    1921, Lami, Stanislas, Dictionnaire des sculpteurs de l’Ecole française au dix-neuvième siècle, quatre volumes, t. IV, p. 275

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    Pendule de style Louis XV attribuée à Léon Messagé (1842-1901)

    Exceptionnelle pendule de style Louis XV  en bronze doré réalisée par le sculpteur et ornemaniste, Léon Messagé (1842-1901). Cette pendule adopte les formes du XVIIIè siècle. En effet, les arabesques, ainsi que le vocabulaire ornemental, sont caractéristiques du style rocaille. Le décor est d’une grande richesse, fait de courbes très mouvementées. La partie inférieure est quant à elle consacrée au thème marin avec des coquilles et deux dauphins de chaque côté, mascaron d’homme barbu, motifs fréquemment utilisés par Léon Messagé. Un putto ailé à l’arc et au carquois trône au sommet de l’horloge. Le cadran de l’horloge est signé « Emile Colin & Cie et  Paris 29, rue Sévigné », maison avec qui Messagé, mais aussi Linke, travaillèrent. Notre pendule est le fruit de la collaboration avec la Maison Colin et Léon Méssagé qui fit de cette esthétique originale sa signature. Bien que cette pendule ne soit pas signée par Léon Méssagé, il ne fait aucun doute sur son attribution. Dans son Cahier des dessins et croquis Style Louis XV, publié en 1890, Rue Sédaine à Paris, on retrouve deux dessins de pendules, très proches de celle que nous vous présentons ici. Dans l’ouvrage de Christopher Payne consacré à François Linke, une pendule extrêmement similaire à celle-ci est illustrée page 93. On retrouve le même vocabulaire ornemental, la même composition d’ensemble couronnée par un putto et un travail similaire de la sculpture.

    Bibliographie
    Christopher Payne, François Linke, 1855 – 1946, La Belle Époque du meuble français. Club des collectionneurs d’antiquités, Woodbridge, Royaume-Uni 2003, p. 71–95

    Provenance : Collection privée

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    Japon époque Meiji (1868-1912), Important Okimono en bronze

    Important Okimono en bronze de patine brune, représentant un paysan assis en tailleur, préparant sa pipe qu’il tient dans une main, son tabako-ire dans l’autre. Vraisemblablement une école de Tokyo, finesse du travail, lègèreté de la fonte, précision des détails et expression du visage de très belle facture. Signature de l’artiste sur la jambe arrière du paysan.

    Provenance : collection privée

    HISTOIRE
    C’est à partir de de 1873, lors de l’Exposition Orientale des Champs-Elysées, organisée par Cernuschi, présente au public Parisien des sculptures en bronze rapportées de son voyage en Chine et au Japon et l’impact des collectionneurs privés est foudroyant . Il fallut attendre l’Exposition Universelle de 1878 pour que Paris pût se faire une idée du gout Japonais. Hayashi fut, dés lors, avec Bing, le plus intelligent intermédiaire entre le Japon et Paris; ce sont eux qui nous révèlent l’art véritable du Japon, qui formèrent notre goût et on les retrouve à l’origine de toutes nos belles collections, dont celles des écrivains Edmont de Goncourt et Emile Zola ou des peintres comme James Mc Neill Whistler et Edgar Degas.

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  • Tableau émaillé sur plaque en porcelaine de la fin du XIXème siècle

    2800,00

    Très grande plaque émaillée sur porcelaine représentant une scène d’intérieur du Moyen Âge.  Technique précieuse d’émaux en relief destinée principalement au décors de la robe de la dame de qualité. Ce tableau symbolise l’exaltation de la beauté féminine. De très grande qualité d’exécution, la femme est dans un écrin de broderies et de parures d’une telle richesse que la carnation, la pureté des traits, prend par contraste une intensité saisissante. En parfait état. Signé Taillandier d’après E.Villa.

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    Grande horloge de Jean-François-Théodore Gechter (1796-1844) « Charles le Téméraire »

    Horloge d’époque 1840, en bronze doré et marbre noir de Belgique, surmontée d’un groupe en bronze de Jean-François-Théodore Gechter. Base en marbre de M.Mudesse à Paris, marbrier, 6 rue Losses du Temples, il obtient le 24 Septembre 1839 un brevet pour le placage du marbre sur bois et sur métal. Groupe en bronze à thème de combat, représentant « Charles le Téméraire » sur son cheval terrassant un ennemi, sculpture à patine brune nuancée. Bronze de très grande qualité, finesse de la ciselure, quantité de détails et d’ornements, mouvements fougueux, caractéristiques de ce sculpteur romantique qui affectionnait particulièrement ce genre de composition où un cavalier cherche à terrasser un autre cavalier désarçonné. A signaler, une petite réparation sur le marbre, quasiment invisible.

    Bibliographie : Pierre Kjelberg, les bronzes du XIXe siècle, les Editions de l’Amateur, Paris 1989, pages 355, 356
    Provenance : colection privée

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    Énorme pendule de cheminée époque fin XIXème siècle

    Pendule de cheminée en marbre noir de Belgique surmontée d’un important groupe en bronze à patine médaille représentant un palefrenier retenant un cheval, dit « Cheval de Marly », d’après Guillaume Coustou (1677-1746). Le cheval est puissant , il a une encolure large et il montre tous les signes de l’affolement et de la colère : corps cabré, tête nerveuse, bouche hennissante, naseaux et yeux dilatés, crinière agitée. Cette sculpture représente une interprétation de la nature primitive et une lutte entre deux forces sauvages, un cheval indompté et un homme nu, aux muscles d’athlète bandés par l’effort. Mécanique d’époque en état de marche. Petits éclats sur le marbre noir de Belgique.

    HISTOIRE
    Les Chevaux de Marly sont deux groupes sculptés représentant des chevaux cabrés et leurs palefreniers. En marbre de Carrare, ils ont été exécutés entre 1743 et 1745 par Guillaume Coustou. Il furent commandés par le roi Louis XV pour orner l’abreuvoir situé à l’entrée du parc du château de Marly, afin de remplacer deux sculptures d’Antoine Coysevox, Mercure et la Renommée à Cheval sur Pégase. En 1794, à l’initiative du peintre David, ils sont transférés place de la Concorde à Paris et sont érigés sur de hauts piédestaux à l’entrée des Champs-Élysées. En 1984 elles sont transférées au musée du Louvre dans une ancienne cour de l’aile Richelieu transformée en patio, appelée la cour Marly.

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    « Chasse au Canard » de Pierre-Jules Mêne (1810-1879)

    Sculpture en bronze à patine brune de Pierre-Jules Mêne (1810-1879) intitulée « Chasse au canard », représentant deux chiens épagneuls-griffons qui poursuivent un canard piégé dans un taillis. Le canard est encore au sol mais tente de s’échapper en esquissant une tantavive d’envol. Fonte d’époque d’atelier Mêne, signée en bas à gauche. Le tirage d’époque n’est pas abondant et ce sujet fait parti des six principaux envois de P.J. Mêne au Salon de 1850.

    Historique : Paris, Salon de 1850, bronze n°3515
    Littérature : Poletti & Richarme, Pierre-Jules Mêne ; Catalogue raisonné, Paris, 2007 page 54
    Provenance : Collection particulière du Sud de la France

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    Paire de fauteuils à la reine de style régence, époque XIXème siècle

    Paire de larges fauteuils d’apparat à dossier plat en bois sculpté et doré, ancienne garniture au petit point à décor polychrome de bouquets de fleurs et de personnages. Usures à la tapisserie, petits accidents et manques à la dorure.

    La qualité des assemblages et la virtuosité de la sculpture sont ici au service d’une architecture savante magnifiée par le travail du peintre doreur et du tapissier. Cette paire de fauteuils est un chef-d’œuvre de composition et de sculpture, ils illustrent aussi bien ce qu’était le style parisien destiné à l’exportation, où l’on voulait montrer à l’excès le savoir-faire et la maestria française

    ATTENTION
    Le prix ci-dessous ne comprend pas la livraison car l’objet est trop encombrant ou trop lourd pour être expédié par La Poste.
    Nous vous invitons à nous contacter pour obtenir un devis.

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  • Table de style Louis XVI en citronnier d’Honoré Dufin

    3800,00

    Précieuse table de style Louis XVI en citronnier massif richement sculptée sur toutes ses faces, à décors de guirlande de fleurs et feuillages. Elle est estampillée du célèbre ébéniste Lyonnais Honoré Dufin. La qualité de la sculpture est somptueuse et exceptionnelle, la multitude de petits détails soignées résultent d’un savoir-faire digne d’un grand ébéniste. L’emploie du bois en citronnier est également raffiné et rare, dessus de marbre.

    La Collection Fabius Frères possédaient deux meubles de Dufin Catalogue de vente : Sothebys, Collection Fabius Frères, vente n° PF 1124, Paris, octobre 2011, lots 64 et 123

    Bibliographie : Les Ateliers Lyonnais de menuiserie en meubles et d’ébénisterie, Bernard Deloche, Ed. Lyonnaises d’Art et d’Histoire, 1992, p 55

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  • JACQUEMART Henri Alfred (1824-1896) »Chien Assis Regardant une Tortue »

    2500,00

    Bronze à patine brune nuancée représentant un chien Saint-Hubert regardant une tortue, signé A.JACQUEMART. Fonte ancienne d’époque XIXe siècle. La composition de cette sculpture est symbolique entre la puissance de ce chien très lourd, massif et imposant et la tortue qui représente le témoin sage et silencieux de la scène.

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  • « Ocelot emportant un Héron », bronze d’Antoine Louis BARYE (1795-1875), école française

    4500,00

    Sculpture en bronze à patine brune nuancée de vert représentant un ocelot emportant un héron sur une terrasse naturaliste. Le chat tigre tient emprisonné dans ses griffes le héron qui balaie la terre de ses ailes et dont la mort est aussi prochaine que cruelle. Épreuve ancienne signée BARYE sur la terrasse, à l’arrière, près du postérieur gauche de l’ocelot, éditée et signée F.Barbedienne Fondeur. Tirage de très belle qualité, de fonte légère et fine avec une belle patine d’époque.

    Modèle : 1839
    Historique : vente Barye, 1876, n° 590 (modèle en bronze avec son plâtre), 500 F; acquis par Goupil pour être édité par F.Barbedienne

    Litterature : Poletti & Richarme, Antoine Louis BARYE Catalogue raisonné, Paris, édition Gallimard, page 241

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  • SOLD OUT

    Paire De Candélabres En Bronze XIXème « Enfants grimpant au nid d’oiseau »

    Paire de candélabres en bronze doré et patiné de style Louis XV. Chacun est composé de sept bras de lumière à décors de glands et de feuilles de chêne, dissimulant un petit oiseau avec son nid et l’autre, le nid déniché par un enfant. Base tripode à enroulements et feuilles d’acanthe. Les fûts sont animés par deux enfants grimpant et redescendant de l’arbre pour débusquer le nid. Très belle qualité de ciselure, dorure et patine irréprochable.

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  • Paire de lampes néo-classiques en porcelaine et bronze XIXe siècle

    3800,00

    Grande paire de lampes de style néoclassique inspiré de l’art de la Grèce antique, en porcelaine blanche et décors polychrome. Le corps de la lampe est délicatement orné de cartouches représentant des Putti dans les airs, parmi des motifs architecturaux antiques. Les contours des motifs sont décorés à l’or mat. Munies d’anses en bronze doré représentant des lions (le lion est une représentation de la puissance protectrice dans la Grèce antique) et reposant sur des bases en bronze doré décorées de palmettes et de visages Grecs. La paire de lampes a été soigneusement montée à l’électricité et elles sont surmontées de globes éclairant en verre gravés.

    HISTOIRE
    Sous le Second Empire, ce style que l’on qualifiait indifféremment de néo-grec, de néo-pompéien ou encore d’estruco-grec se manifesta surtout dans le domaine de la porcelaine et dans celui des arts du métal, et tout particulièrement sur les bronzes d’ameublement.

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  • SOLD OUT

    Groupe en bronze « Oursons Jouant » de Peter Victor (1840-1918)

    Groupe en bronze doré représentant deux jeunes oursons jouant sur un base au naturel, signé du sculpteur V.Peter et portant le cachet de la maison Susse Frères editeurs à Paris. Cette sculpture est réalisée selon la technique de la fonte au sable, justesse des proportions, effets de profondeur et précision de la ciselure sont à l’honneur. Le choix pertinent du marbre rouge Levanto conjugué avec la dorure du bronze en font une sculpture somptueuse.
    Localisation : Les oursons – sulpture en bronze de Victor Peter (1848-1918) Dans le Parc Saint-Lambert, XVéme arrondissement de Paris.
    Belfort : Chambre interdépartementale d’Agriculture : Jeunes ours jouant, dit aussi Les Oursons, vers 1901, groupe en marbre gris. Le plâtre est exposé au Salon de 1900.

    Bibliographie : Pierre Kjelberg, les bronzes du XIXe siècle, les Editions de l’Amateur, Paris 1989, page 538-539

     

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  • École du XIXe siècle, paire de natures mortes

    450,00

    Paire de pastels sur papier montés sur châssis dans leur cadre en bois de chêne de la fin du XIXème siècle. Nature morte formant pendants, l’un aux raisins et pêches, l’autre symbolisant le retour de la chasse. Pastel aux raisins et pêches signé (illisible) en haut à gauche.

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  • SOLD OUT

    Importante torchère en régule à décors de femme de style néoclassique

    Importante torchère en régule à sujet d’une femme de style néoclassique tenant dans ses mains une torche enflammée faisant éclairage. Ces statues sont trés représentatives des porte-luminaires que l’on pouvait trouver dans les grandes demeures bourgeoises sous le règne de Napoléon III où le sensualisme, l’abondance des formes, la démesure et l’étude du mouvement dominent.

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  • Encrier de bureau représentant « Le penseur » d’ Emile-Louis Picault (1833-1915)

    1100,00

    Important encrier de bureau en bronze à patine polychrome sur un contre socle en marbre vert de mer. Bronze allégorique titré et signé sur la terrasse. Le jeune homme est assis sur un rocher en compagnie d’un aigle, et tient un livre marqué : « C’est sur les hauts sommets que le penseur médite ». Le jeune homme avec son attrait héroïque est captivée par une expression pensive et semble faire face à une décision difficile. Fonte d’édition ancienne avec marque de fondeur BD en creux au revers. Le récipient pour les accessoires de l’écriture comme la plume se loge dans une terrasse en marbre évidée, les godets destinés à l’encre sont en bronze doré et ciselé à décors de feuillages.

    Bibliographie : Harold Berman , Bronzes Sculptors and Founders , 1800-1930 , Abage Publishers , Chicago 1974
    Pierre Kjellberg , les bronzes du XIXe siècle , les Editions de l’Amateur , Paris 1989

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  • Sculpture en bronze « Danseur de saltarelle » de Justin Chrysostôme Sanson (1833 – 1910)

    2300,00

    Belle sculpture en bronze à patine médaille représentant un jeune éphèbe munit d’un tambourin dansant une danse joyeuse nommée « La Saltarelle ». L’esprit du génie baroque florentin du XVIe siècle est rendu avec éclat et virtuosité. Sanson restitue dans cette sculpture, la grâce, le naturel, le mouvement et la légèreté de la danse. Signature du sculpteur sur le bord du socle : J. Sanson.
    Fonte d’atelier d’époque, légère usure de la patine et manque deux  petites cymbalettes sur le tambourin.

    Historique et provenance :
    1867, acquis par l’Etat
    Attribué au musée du Louvre
    Jusqu’en 1876, au musée du Luxembourg
    Déposé au musée national du château de Fontainebleau
    1986, affecté au musée d’Orsay, Paris

    Exposition :
    Exposition Universelle – Champ-de-Mars – France, Paris, 1867
    Exposition Universelle – Autriche, Vienne, 1873

    Vue Rapide
  • Paire de vases de style Persan – Ferdinand Barbedienne (1810-1892) et Louis-Constant Sévin (1821-1888)

    4500,00

    Belle paire de vases piriformes de style Persan en bronze doré à décors d’émaux champlevés polychromes, sur des bases en marbre rouge Africain supportée par des pieds griffes, avec un rare décor Persan orné d’entrelacs, arabesques et rinceaux feuillagés. Les deux vases portent la signature du fabricant, éditeur et fondeur F.BARBEDIENNE et sont attribués au dessinateur-ornemaniste Louis-Constant Sévin. La Maison Barbedienne lors de l’Exposition Universelle de Londres en 1862, est récompensée par trois médailles pour Excellence, en vedette et pionner à Londres pour sa technique de l’émail dit « cloisonné » de fonte sur les objets d’art.

    Provenance : collection particulière

    Vue Rapide
  • Paire de bougeoirs en émaux champlevés, marbre-onyx d’Algérie et bronze doré estampillés H.Journet

    1200,00

    Très belle paire de bougeoirs estampillés de la prestigieuse Compagnie des Marbres Onyx d’Algérie dirigée vers 1878 par H.Journet. Estampille sous les bougeoirs Sté des Onyx H.Journet & Cie 24 Bd des Italiens. Bon état, légère usure de dorure.

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  • Importante pendule en bronze doré et porcelaine d’Imari, d’époque XIXème

    5500,00

    Grande pendule formée d’un vase couvert  de forme ovoïde en porcelaine d’Imari, ère Meiji période historique du Japon entre 1868 et 1912. Riche monture en bronze ciselé et doré à décor d’animaux fantastiques, chien de Fô à l’amortissement qui symbolise la richesse. Cette pendule est caractéristique d’une pratique en vogue à la fin du XIXe siècle, issue du goût alors très prononcé pour l’Extrême-Orient, destinées à prendre place dans les intérieurs les plus somptueux.

    HISTOIRE
    Le Japon s’ouvre au monde extérieur en 1868, les artistes japonais influencèrent fortement les artistes européens. Cet emballement pour le japonisme commence alors avec des collectionneurs parisiens et des connaisseurs qui apprécient la qualité et l’élégance de ces objets d’art.

    Le japonisme, qui n’a cessé de croître dans la deuxième moitié des années 1870, atteint son apogée à l’Exposition Universelle de Paris en 1878, où le Japon est exceptionnellement bien représenté. Les critiques d’art européens, et surtout français, considèrent le Japon comme un paradis inviolé et c’est cette approche qu’ils livrent au public.

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  • SOLD OUT

    Paire de bougeoirs en émaux champlevés de Ferdinand Barbedienne (1810-1892)

    Très belle paire de bougeoirs estampillés de la prestigieuse Maison BARBEDIENNE, fabricant, éditeur et fondeur. Ces deux bougeoirs sont réalisés en bronze doré et en émail champlevé avec de beaux effets polychromes, ils sont à décor de rinceaux et de feuillages, le fût tourné, est orné d’une boule aplatie et d’une corolle. Les bougeoirs présentés ici, d’aspect des exemples champlevés médiévaux, sont tout à fait représentatifs de cette renaissance de l’émail, véritable innovation technique de cette maison parisienne et d’une grande précision. Ces objets de luxe étaient destinés à un usage quotidien et décoraient les plus belles demeures. La Maison BARBEDIENNE accumulera les récompenses et sera présente à toutes les grandes Expositions Universelles du XIXème siècle.

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  • Sellette de salle d’armes attribuée à la firme Miroy Frères à Paris, époque Napoléon III

    1400,00

    Rare sellette de salle d’armes de style troubadour en régule patiné à plateau tournant et chaines en bronze, représentant trois lances de joutes croisées et réunies par un bouclier, attribuée à la Maison Miroy Frères à Paris qui était l’une des entreprises leader de Paris au milieu du XIXe siècle.

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  • Leroux Gaston Veuvenot (1854-1942) & Eugène Blot, fondeur, éditeur – Le charmeur de serpent

    3900,00

    Importante sculpture orientaliste en régule polychrome, représentant un jeune charmeur de serpent près d’un figuier de barbarie, assis sur un rocher, jouant de la flûte avec un serpent à ses pieds. Socle tournant décoré de motifs orientaux à l’imitation du bronze. Signature sur la terrasse du sculpteur G.Leroux et E.Blot fondeur.
    Bibliographie : S. Richemond, Les Orientalistes , 2008, p.138, 139, 140, 141, 142

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  • SOLD OUT

    Immense sculpture en bronze représentant Mercure, F.Barbedienne fondeur (1810-1892)

    Immense sculpture en bronze représentant Mercure à patine médaille, base cylindrique en marbre. Signature du fondeur et éditeur F.Barbedienne (1810-1892) et cachet réduction mécanique Achille Collas (1795-159). Mercure était le dieu messager et le dieu des commerçants. Poussé par le vent depuis la bouche d’Éole avec des sandales ailées et un casque pour faciliter son vol rapide. Son doigt pointé vers le haut en direction de Jupiter.
    La statue originale a été réalisée en 1563 par le sculpteur Giambologna, et peut toujours être vue au musée Nazionale del Bargello à Florence.

    Jean de Bologne (Giambologna en italien), sculpteur maniériste d’origine Flamande, né à Douai Flandre romane en 1529 et mort à Florence en 1608.

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  • Commode de style transition d’après le modèle de Riesener, exécutée à la fin du XIXe siecle

    9000,00

    Grande commode à ressaut central de style transition Louis XV – Louis XVI, ouvrant en façade par deux rangs de tiroirs sans traverse apparente et un troisième rang comportant trois tiroirs se révèle en ceinture par un secret (bouton-poussoir). Bâti de chêne, marqueterie sur fond d’acajou à motif de fleurettes en sycomore de forme géométrique, l’ensemble est enrichi d’un décor de bronzes ciselés et dorés à ornementation d’entrelacs feuillagés, de fleurons, d’anneaux de tirage perlés, de chutes de feuilles d’acanthe. Elle repose sur quatre pieds cambrés terminés par un léger enroulement. Un plateau en marbre brèche de Saint-Maximin coiffe l’ensemble. Commode de grande qualité, bronzes finement ciselés, fabrication parisienne de la fin du XIXème siècle. Quelques petits accidents au placage, dorure usée pour les bronzes, deux petits éclats de marbre à l’arrière de chaque côté.

    Provenance : Collection particulière

    ATTENTION
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  • Paire De Lampes Japonisantes, époque fin XIXe siècle

    3000,00

    Importante paire de lampes réalisées à partir de vases en porcelaine d’Imari, montures en bronze à patine noire finement ciselés, surmontées de globes éclairant en verre gravés. Corps en porcelaine d’Imari, époque ère Meiji, période historique du Japon entre 1868 et 1912, décoré de fleurs et de dragons en haut relief. Monture d’époque au gaz. Globes d’origine, tubes en verre en réédition. Ces lampes sont caractéristiques d’une pratique en vogue à la fin du XIXe siècle, issue du goût alors très prononcé pour l’Extrême-Orient, destinées à prendre place dans les intérieurs les plus somptueux.

    HISTOIRE
    Le Japon s’ouvre au monde extérieur en 1868, les artistes japonais influencèrent fortement les artistes européens. Cet emballement pour le japonisme commence alors avec des collectionneurs parisiens et des connaisseurs qui apprécient la qualité et l’élégance de ces objets d’art.

    Le japonisme, qui n’a cessé de croître dans la deuxième moitié des années 1870, atteint son apogée à l’Exposition Universelle de Paris en 1878, où le Japon est exceptionnellement bien représenté. Les critiques d’art européens, et surtout français, considèrent le Japon comme un paradis inviolé et c’est cette approche qu’ils livrent au public.

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  • SOLD OUT

    Cheval « Angelo » surpris par un chien, bronze de PIERRE LENORDEZ (1815-1892)

    Très belle sculpture à patine brune nuancée représentant « Angelo » titré sur la terrase, cheval pur sang sellé, surpris par un chien. La finition de cette pièce est magnifique, on y voit de minuscules saillies, préexistantes dans le modèle du cheval dues à des reprises de ciselure après la fonte. Le cheval est splendidement rendu, très haut sur des jambes allongées, tête baissée, corps puissant. Les sabots sont bien marqués, son harnachement très détaillé.  Mais le chien n’a rien à lui envier, sa masse corporelle est aussi individualisée que celle du cheval, C’est un animal plutôt costaud, solide, son cou prouve assez sa puissance. Les deux animaux sont complémentaires, la découverte de l’autre. Ce n’est pas qu’une anecdote sous l’aspect d’un charmant sujet, c’est aussi un duo sculpté dont les protagonistes sont des partenaires. Signature sur la terrasse, P.Lenordez et signature du fondeur Boyer.

    Bibliographie : Pierre Kjellberg – Les bronzes du XIXème siècle, les éditions de l’amateur, Paris 1989, page 427,428

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  • SOLD OUT

    Jeune Pêcheur dansant la Tarentelle et Danseur au Tambourin, sculptures en Bronze de Francisque Joseph DURET (1804-1865)

    Épreuves en bronze à patine brune représentant le Jeune Pêcheur dansant la Tarentelle et le Danseur au Tambourin, Signées en creux sur la base F.Duret et Delafontaine

    . Ces deux sculptures évoquent le style « troubadour » chers aux romantiques et mettent en avant les souvenirs d’antiquité recueillis en Italie.
    Duret a passé un contrat d’édition avec le fondeur Quesnel pour les œuvres suivantes :
    Jeune pêcheur dansant la tarentelle, l’Improvisateur, Mercure inventant la lyre, Danseur napolitain.
    Les droits d’édition relatifs à ce contrat précise C.B. Mettman (la petite sculpture d’édition 1944),
    seront cédés par Quesnel à Delafontaine vers 1855.

    Référence littéraire : Les bronzes du XIXe siècle Pierre Kjellberg cf. p,304-305

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  • SOLD OUT

    Paire de bougeoirs en émaux champlevés de la Maison Henry-Normant et Auguste Moreau, Ornemaniste

    Paire de bougeoirs en émaux champlevés, bronze doré et argenté à décors de puttis, Paris vers 1870. Marques du fabricant en creux au revers des bronzes. Dorure et argenture d’époque.

     

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  • Important Groupe en bronze représentant « l’Innocence et le Plaisir » de Jean Jules B. SALMSON (1823-1902)

    8500,00

    Important groupe en bronze allégorique à patine brune nuancée représentant « l’Innocence et le Plaisir » de Jean Jules B. SALMSON (1823-1902). Groupe composé de deux jeunes filles et d’un enfant sur un socle tournant, base en marbre rouge griotte. Très belle qualité de ciselure, patine d’époque.
    Référence littéraire : Les bronzes du XIXe siècle Pierre Kjellberg cf. p 609,610

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  • SOLD OUT

    Paire de sculptures à l’Antique représentant Atalante et Hippomène, XIXème siècle

    Paire de sculptures en bronze à patine brune inspirées de la mythologie grecque montées chacune avec une base en onyx, forment un groupe dynamique. L’envolée du drapé dans leurs dos comme l’ampleur de leurs enjambées suggèrent la rapidité de la course.

    HISTOIRE
    Dans la mythologie grecque, Atalante a des performances physiques hors du commun pour une femme. Son père souhaitant la marier, elle ne voulut prendre pour époux que celui qui pourrait la battre à la course, ceux qui échoueraient seraient mis à mort. De nombreux prétendants moururent ainsi, jusqu’à ce que se présente Hippomène, qui aidé d’Aphrodite, laissa tomber trois pommes d’or, provenant du jardin des Hespérides, données par la déesse dans sa course, curieuse, la jeune fille s’arrêta pour les ramasser, et fut ainsi devancée à l’arrivée.

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  • SOLD OUT

    Coupe à décor d’Émaux Champlevés, attribuée à Eugène CORNU (1827- 1899)

    Coupe en Marbre-Onyx d’Algérie, monture en bronze doré et émaux polychromes. Décoré d’un large bandeau de bronze doré orné d’un décor floral en émaux champlevés aux dominantes bleues. Coupe reposant sur une base tripode de style Louis XIV en bronze doré à décor de masque d’hommes barbus et de pieds griffes. Cette coupe est un modèle attribué au dessinateur-créateur et fabricant Eugène Cornu.

     

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  • Sculpture en bronze « Conteur Arabe » de Charles PONSIN-ANDARAHY (1835 -1885)

    5000,00

    Sculpture en bronze à patine médaille représentant un vieil homme assis qui semble raconter, à un auditoire invisible, on ne sait quelle histoire. La posture harmonieuse du personnage, les courbes du corps – dos, bras, jambes presque croisées – lui font adopter une pose typiquement orientale, que viennent appuyer la présence et le détail du collier autour du cou du conteur et le tapis sur lequel il est assis. Cette œuvre s’inscrit dans le mouvement orientaliste qui a marqué le XIXe siècle, tant en littérature qu’en peinture et sculpture. Signature du sculpteur sur la base.

    Localisation : Musée des Augustins – Toulouse : Numéro d’inventaire 2004 1 211

    Historique : œuvre réalisée en 1873 par Charles Ponsin-Andarahy, exposé au Salon en 1876

    Littérature : Stéfane Richemond, Les Orientalistes , 2008, p. 177

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  • « Le chanteur florentin » de Paul Dubois (1827-1905), école française

    3200,00

    Sculpture en bronze à patine médaille représentant le chanteur florentin du XVème siècle récompensé par une médaille d’honneur au Salon de 1865. Cette sculpture est de mouvement artistique classique, elle porte l’accent sur la silhouette gracieuse et élégante d’un jeune garçon aux formes lisses et épurées, contrastée avec la grande finesse du détail de l’habillement et des accessoires. Épreuve ancienne signée et datée sur la terrasse, P. Dubois 1865 et porte la marque du fondeur F.Barbedienne avec le cachet « Réduction mécanique A. Collas ».

    Le Chanteur Florentin
    Lieu de conservation : musée d’Orsay, Paris, France
    Historique 1865, commandé 1866, acquis après commande à partir de 1866 au musée du Louvre, dans les appartements du comte de Nieuwerkerke à partir de 1871, au musée du Luxembourg 1920, attribué au musée du Louvre (reversement du musée du Luxembourg) 1986, affecté au musée d’Orsay
    Expositions
    Exposition Universelle : Paris, France, 1867
    Exposition Universelle : Welt-Ausstellung 1873 in Wien, Vienne, Autriche, 1873
    Exposition Universelle : Paris, France, 1889

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  • Pendule en bronze d’époque Restauration représentant « Eros et Psyché »

    3800,00

    Pendule de cheminée en bronze doré d’époque Restauration, avec représentation d’Eros enlevant Psyché sous des nuées surmontant un globe accosté de deux têtes de jeunes zéphyrs. Base rectangulaire à guirlande de fleurs, feuillages et course de palmettes.  Mécanique d’origine en état de marche, dorure d’époque et très belle ciselure.

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  • SOLD OUT

    Huile sur toile de Johannes Weiland (1856-1909), « Jeune mère et son bébé »

    Huile sur toile représentant une scène d’intérieur avec une jeune mère faisant de la couture à côté de son bébé endormie dans son berceau. Le jeux de lumière est subtil et ne manque pas de charme. Signé Weiland en bas à gauche. Bel état de conservation, traces de salissures mineures en surface, craquelures cohérentes avec l’âge.

    Musée : Dordrechts Museum
    Littérature: Dutch Art Lexicon P. Scheen, 1969, vol.2, page 573

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  • Miroir octogonal à parcloses d’époque Napoléon III

    3800,00

    Grand miroir de forme octogonale en stuc et bois doré à la feuille d’or, encadré de frises, de godrons stylisés et de perles. Glace ancienne biseautée, de forme octogonale. Il est couronné d’un trophée composé d’un carquois et d’une torche nouée à des rameaux de laurier d’où s’échappent des rinceaux rubanés. En partie haute, sur les cotés du miroir, deux petits oiseaux sont posés sur des jetées de fleurs. Il reçoit en partie basse des chutes de guirlandes fleuries. Seconde moitié du XIXe siècle, période Napoléon III. Parfait état, dorure d’origine.

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  • SOLD OUT

    Maison Christofle, jardinière de style Louis XV, époque Napoléon III

    Jardinière ovale quadripode en bronze galvanique argenté de style Louis XV. De forme mouvementée à décor de cartouche entouré de fleuron, palmes de chêne, godrons et rubans croisés sur la base. Pieds en céleri. Signée de la Maison Christofle et numérotée.

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  • Important miroir de Venise en verre gravé, fin XIXe siècle

    2900,00

    Miroir ovale dans un cadre rectangulaire, surmonté d’un fronton ajouré, formé de plaques à décor gravé et assemblées. Travail de gravure sur verre à décors de fleurs dans les réserves, miroir ovale biseauté, cabochons et fronton travaillés à la roue, Venise XIXe siècle . Parfait état.

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  • Porte-vases d’époque Napoléon III

    2000,00

    Rare et belle paire de porte-vases en bois laqué noir, à rehauts dorés figurant des volutes, à motifs d’arabesques de feuillages et de frises de pirouettes. Ces éléments décoratifs d’époque Napoléon III étaient destinés à prendre place dans les intérieurs les plus somptueux. Restaurations à prévoir.

     

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  • SOLD OUT

    Paire de consoles d’applique murale de style Régence, fin XIXe siècle

    Grande paire de consoles d’applique murale en noyer de style Régence époque fin XIXe siècle. Décors de visage féminin Régence coiffé d’une palmette, abondance de sculpture des volutes, feuillages et palmettes. Consoles de grande qualité de fabrication, sculpture riche et fine dans le détail. A rapprocher des meubles produits par les ateliers du Foubourg Saint-Antoine à Paris à la fin du XIXe siècle.

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  • SOLD OUT

    « Chanson d’Amour » de Costantino Barbella

    Très rare sculpture en bronze selon la technique de la cire perdue de Costantino BARBELLA (1852-1925) représentant deux jeunes femmes italienne chantant une chanson d’amour. Ce groupe en bronze à patine médaille est époustouflant de réalisme et de qualité de ciselure, signé sur la base C. Barbella, situé à Rome et portant le chiffre 23 dans un petit cartouche. Base en roche serpentinite appelé marbre rouge Levanto.

    Littérature : Exposition rétrospective de Costantino Barbella, Rome, 15 Décembre, 1934-6 Janvier, 1935, par Antonio Munoz, Rome, le Foreign Correspondents Club, 1934

    Provenance : Collection privée

    Liste des musées présentant des œuvres de l’artiste
    Musée d’ Art Costantino Barbella, Chieti
    Musée de la bataille, Ortona
    Musée Michelangiolesco, Caprese Michelangelo
    Galleria Nazionale d’Arte Moderna, Rome
    Musée national de Capodimonte, Naples

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  • SOLD OUT

    Ecole Italienne du XVIIIème siècle, dans le goût de RAPHAEL

    Gouache sur papier dans son cadre en bois doré d’époque XVIIIème siècle, représentant la Vierge à l’Enfant avec saint Jean Baptiste. La composition est fluide et en forme pyramidale avec les personnages liés par des échanges de regards et de gestes. Très belle qualité d’exécution.

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  • Très grande sculpture d’Etienne Adrien GAUDEZ (1845 – 1902), Forgeron

    6000,00

    Importante sculpture en bronze à patine médaille représentant un forgeron au travail munit de son enclume et de son marteau. Signé A.Gaudez sur la terrasse titré dans un cartouche « Forgeron par A.Gaudez, Hors Concours »

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  • SOLD OUT

    L.C. Sévin & F.Barbedienne, garniture de style néoclassique en onyx et émail

    Garniture de cheminée comprenant une pendule et deux candélabres à quatre feux, réalisée en onyx, bronze doré, plaque émaillée, cabochons de marqueterie de pierre dure, et émaux champlevés polychromes. Le style de cette splendide garniture est caractéristique des plus belles réalisations de Ferdinand Barbedienne en collaboration avec le célèbre ornemaniste Louis Constant Sévin. Son répertoire décoratif y mêle avec beaucoup d’harmonie les motifs d’inspiration néoclassique, la combinaison du bronze et de l’émail est très colorée et sublime le marbre onyx d’Algérie. Signature sur le cadran de la pendule du fabricant, éditeur et fondeur F.Barbedienne Paris, Bd Poissonnière 30. La Maison Barbedienne lors de l’Exposition Universelle de Londres en 1862, est récompensée par trois médailles pour Excellence, en vedette et pionner à Londres pour sa technique de l’émail dit « cloisonné » de fonte sur les objets d’art.

    Provenance : collection particulière

    HISTOIRE : L’émail
    Dés l’Exposition Universelle de Londres en 1851, puis de Paris en 1855, l’émail, dans la multiplicité de ses techniques et de ses effets polychromes, sort de l’oubli et connaît sous le Second Empire une réhabilitation dans les arts décoratifs parisiens. Il devient un domaine d’études des ornemanistes et de nombreuses personnalités artistiques.

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  • Nymphe descendant au bain, dite La Baigneuse de Falconet, époque fin XIXè siècle

    2800,00

    Importante sculpture en albâtre représentant une nymphe descendant au bain. La féminité naissante de la nymphe, sa sensualité discrète fait référence à l’Antique, notamment dans son drappé. La Nymphe au bain est inspirée d’un tableau de François Lemoyne. Un marbre se trouve au Victoria and Albert Museum (81 cm de haut, inv. no. 1131-1882). Cette sculpture est en bon état et d’une remaquable qualité d’exécution.

    Note
    L’albâtre est une pierre naturelle tendre qui a également la particularité d’être translucide. Elle laisse donc passer la lumière, ce qui donne cette aura si particulière aux sculptures.

    Historique de l’œuvre
    Répétition de la statuette du Salon de 1757, n° 131 Nymphe qui descend au bain. Collection de Mme Du Barry (1743-1793) à Louveciennes (n° inv. M. 1846). Saisie révolutionnaire, 10 janvier 1794. Inventoriée en 1824 au Grand Trianon à Versailles. Entrée au Louvre avant 1855.

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  • Sculpture en Bronze d’Etienne Adrien GAUDEZ (1845 – 1902), « Pastorale Watteau »

    2700,00

    Sculpture en bronze à patine brune nuancée représentant une jeune femme jouant de la mandoline. Belle épreuve d’édition ancienne, titré dans un cartouche « Pastorale Watteau par Adrien Gaudez  »
    Base en marbre Levanto.

    Bibliographie : Pierre Kjelberg, les bronzes du XIXe siècle, les Editions de l’Amateur, Paris 1989, pages 346 à 348

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  • Cheval de trait harnaché de Théodore GECHTER (1796-1844)

    1400,00

    Épreuve ancienne en bronze réalisée selon la technique de la fonte au sable, à patine brune représentant un cheval de trait harnaché. Signature de T. Gechter sur la terrasse et daté 1842. Sculpture en bronze à thème d’effigie équestre de grande qualité, finesse de la ciselure, quantité de détails et d’ornements, mouvements fougueux, caractéristique de ce sculpteur romantique qui affectionnait particulièrement le modelé des chevaux. Fonte d’époque, atelier du bronzier et fondeur-statuaire Jean-François-Théodore Gechter (1841-1844).

    Musées
    Le Musée de Versailles conserve de lui : Buste de maréchal de Saint André.
    Le Musée de Bordeaux : Soldat avec son fusil, 43 cm
    Paris, Arts décoratifs : Louis Philippe 1er debout, 41 cm
    Paris, Louvre : La mort de Tancrède, bronze argenté, 16,5 x 41 cm

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  • SOLD OUT

    Très grand vase orientaliste attribué à Friedrich GOLDSCHEIDER (1845-1897)

    Rare et spectaculaire vase en terre cuite polychrome à décor en haut-relief inspiré de l’Egypte antique, panse centrée d’un groupe figurant Cléopâtre et son serviteur accompagnés d’un ibis, col orné de scènes de guerre avec un char, divinités, scènes de cour et hiéroglyphes. La qualité de fabrication, la technique de la polychromie ainsi que la dimension exceptionnelle de ce vase est sans aucun doute issus des productions de Friedrich Goldscheider. Les couleurs de Goldscheider permettent une authentification en l’absence même de marque de fabrique. Petite restauration en dessous du vase.

    Provenance : collection particulière

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  • Vitrine de style chinoisant en acajou et laque de Pékin, d’époque fin XIXème

    3900,00

    Très belle vitrine de style chinoisant en acajou ouvrant par une porte en partie supérieure et deux portes en partie inférieure. Elle est munie d’une étagère en verre pour présenter des objets de collection.  La partie supérieure est incrustée de nacre à motifs chinoisant et surmontée d’un fronton ajouré. En partie basse, les deux portes sont garnies de plaques en laque de Pékin sculpté en bas relief de paysages aux temples animés de sages accompagnés d’animaux fantastiques, les arbres rehaussés de polychromie. Beau travail probablement parisien de la fin du XIXème siècle.

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  • SOLD OUT

    Grand bronze représentant « David vainqueur » de Marius Jean Antonin Mercié (1845-1916)

    Grand bronze représentant « David vainqueur » de Marius Jean Antonin Mercié (1845-1916) à patine médaille signé A.Mercié et F. Barbedienne Fondeur Paris N°391 avec le cachet « Réduction mécanique A. Collas ». Le héros de la bible est montré avec la tête de Goliath à ses pieds, comme le David de Donatello, il rengaine son épée. Le » David Vainqueur » de Marius Jean Antonin Mercié illustre la tendance au syncrétisme stylistique qui caractérise tout un courant d’artistes du XIXème siècle, qui, en rupture à la fois avec le néo-classicisme et le romantisme, se tournèrent vers le passé pour puiser leur inspiration.

     

    Historique :
    Le modèle en plâtre fut exposé au Salon de Paris en 1872 et à l’Exposition Universelle de Paris en 1900
    Un exemplaire en marbre fut exposé à l’Exposition Universelle de Paris en 1889.

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  • SOLD OUT

    Edouard DROUOT (1859-1945) « La nuit », grande épreuve en bronze symboliste

    Très grande épreuve symboliste en bronze représentant l’allégorie de la nuit par Edouard Drouot (1859-1945).  Sculpture à patine brune, signée sur la terrasse E.Drouot. La nuit est représentée comme une personnification féminine nue. Les yeux sont clos, ses cheveux sont longs, elle porte un croissant de lune dans ses bras avec des étoiles à ses pieds.

    Référence littéraire : Les bronzes du XIXe siècle Pierre Kjellberg cf. p291 à 295

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  • Important bronze « Chant de l’alouette » de Hippolyte MOREAU (1832-1927)

    5000,00

    Sculpture en bronze à patine brune figurant une jeune fille, assise sur un tronc d’arbre abritant à ses pieds un nid d’oisillons. Reposant sur une base circulaire ornée d’un cartouche intitulé  » Chant de l’alouette – Hippolyte Moreau – Médaille au Salon ». Signé sur la terrasse Hippolyte Moreau, fonte ancienne, édition des ateliers de l’artiste.

    Référence littéraire : Les bronzes du XIXe siècle Pierre Kjellberg cf. p 508, 509

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  • SOLD OUT

    Pendule de Lemerle-Charpentier à Paris « L’Amour Menaçant »

    Pendule d’époque XIXe siècle en marbre rouge griotte et sommée du groupe en bronze argenté intitulée « L’Amour Menaçant » d’après Etienne-Maurice Falconet. Pendule signée Lemerle-Charpentier à Paris composée d’une colonne cannelée portant un cadran rond à chiffres romains dorés sur fond de marbre, et une ornementation de bronzes dorés. Cette sculpture représente Cupidon, un ange ailé qui symbolise le dieu de l’Amour, assis sur un tertre et à l’air très malicieux. Son index droit est porté à sa bouche, il réclame le silence pendant qu’il extrait de son autre main une flèche de son carquois pour rendre amoureuse la personne qu’elle va atteindre.
    Le marbre commandé par Madame de Pompadour en 1757 pour les jardins de l’Hôtel d’Evreux, actuel Palais de l’Elysée, est aujourd’hui conservé au Musée du Louvre.

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  • Paire de colonnes de style Néo-classique en onyx et bronze doré époque fin XIXème siècle

    4800,00

    Importante paire de colonnes de présentation d’époque fin XIXème en marbre-onyx d’Algérie et bronze doré. Elles sont à décors de chapiteau corinthien, plateau de présentation tournant.

    HISTOIRE
    Marbre-onyx d’Algérie est un matériau translucide, compromis entre le marbre et l’albâtre. Il existe en de nombreuses teintes et variantes (blanc, jaune, rouge, vert) . Mines de marbre, exploitées par les Romains, dans la province d’Oran. En 1849, Jean Baptiste Delmonte, un marbrier italien , découvre cette carrière et l’exploite . Jean Batiste Delmonte cède ses droits en 1858 à la Compagnie des Marbres-Onyx d’Algerie fondée par Alphonse Pallu. Ce matériau est à l’honneur sous le Second Empire et récompensé par une médaille lors de l’Exposition Universelle de 1862.

    ATTENTION
    Le prix ci-dessous ne comprend pas la livraison car l’objet est trop encombrant ou trop lourd pour être expédié par La Poste.
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  • SOLD OUT

    Sculpture en marbre de Louis GOSSIN (1846-1928), Diane au bain

    Très belle sculpture en marbre blanc de carrare représentant Diane sortant du bain. Elle est assise sur un tronc d’arbre avec un carquois posé à ses pieds. Signé sur la terrasse, présence d’une pastille « ASP » numéroté 5. Marbre de taille directe en parfait état.
    Louis GOSSIN (Paris 6 Juin 1846 – 1928), sculpteur
    Le premier Sociétaire des Artistes Français. Elève de Mathurin MOREAU, il exposa régulièrement au Salon à partir de 1877.  Médailles de troisième classe en 1882, de deuxième classe en 1886, de bronze en 1889 et 1900 Exposition Universelle.

    Référence littéraire : Les bronzes du XIXe siècle Pierre Kjellberg cf. p365

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  • « Baigneuse Mauresque »de Tony Noël (1845-1909), école française

    Epreuve en bronze doré représentant une Odalisque sortant du bain et portant une paire de soques, signé sur la terrasse Tony Noël et éditée par Siot-Decauville, fondeur à Paris. Sujet orientaliste présenté à la Société nationale des Beaux-Arts en 1895.

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  • Garniture de Cheminée Néogothique par la Maison Blot et Drouard, Paris

    3500,00

    Rare garniture de cheminée de style néogothique composée d’une pendule et de deux candélabres symbolisant la fête de la bière. Cet ensemble est en régule polychrome, caractérisé  par un choix de modèle dirigé par le goût le plus éclairé. La netteté des détails et la pureté des lignes sont parfaites. La pendule est animée d’un moine hilarant tenant une aiguillère dans ses bras dans laquelle est insérée la mécanique. Les candélabres sont représentés par deux personnages festifs, brandissant des chopes de bière qui servent de support à une bougie.  Blot et Drouard, ont obtenu à l’Exposition universelle de 1867 la médaille d’argent, la plus haute récompense qui ait été accordée au zinc dart.

    Litérature : J. Meyer, Great Exhibitions London – Paris – New York – Philiadelphia, 1851 – 1900, Londres, 2006

     

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  • SOLD OUT

    Grande Sculpture En Bronze « LA Renommée » de Barrias Louis Ernest (1841-1905)

    Grande sculpture en bronze et marbre d’époque 1890 intitulée « La Renommée » de Barrias Louis Ernest (1841-1905), éditée par la maison Susse. Sculpture représentant une divinité ailée représentée  avec une trompe, se tenant sur une sphère et brandissant une couronne de laurier dans une main. Signée « E. Barrias » et signature du fondeur et éditeur « SUSSE Frs Edts Paris » sur la sphère. Patine médaille d’époque somptueuse.

    Bibliographie : Pierre Kjelberg, les bronzes du XIXe siècle, les Editions de l’Amateur, Paris 1989, pages 48-51
    Provenance : colection privée du sud de la France

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  • Huile Sur Toile De Francisco MOLES (XIX-XX), « Une soirée musicale »

    2500,00

    Huile sur toile représentant une scène de musique dans un salon avec plusieurs personnage. La sensualité du tableau est renforcée par la représentation, en premier plan, d’une jeune femme en train de danser. La musique symbolise l’instant qui passe et souligne le caractère éphémère de l’existence. Tableau signé en bas à gauche M.Molès et daté 1904. Un tout petit trou à signaler dans le bas de la toile, à droite, voir photo N°5

    Fransisco Molès, peintre de genre, né à Ségovie, Castille-Léon. XIX – XXème Espagnol.

    Provenance : Etiquette d’une ancienne galerie de tableau à Milan

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  • « Cérès moquée par Ascalabos  » de Eugène Ernest HILLEMACHER (1818-1887)

    Huile sur toile représentant une scène à l’Antique, signée en bas à gauche et daté 1877. Cadre en bois sculpté et doré d’époque. Cérès est représentée assise et portant une gerbe d’épis de blé tressés. Ascalabos se moque de Cérès qui boit le breuvage que sa mère Mismé en arrière plan lui à donné. Ce tableau est une peinture académique représentant une histoire tirée des textes antiques.

    La mère de Proserpine, alarmée sur le sort de sa fille, la cherche en vain par toute la terre et sur toutes les mers. Ni l’Aurore, déployant à son lever sa radieuse chevelure, ni Vesper ne l’ont vue s’arrêter ; elle allume deux torches de pin aux flammes de l’Etna, et les porte sans relâche au milieu des froides ténèbres. Quant la clarté bienfaisante du jour a fait pâlir les étoiles, elle cherche sa fille depuis l’heure où le soleil se lève jusqu’à celle où le soleil se couche. Un jour qu’épuisée de fatigue et dévorée par une soif ardente, elle ne trouvait aucune source pour se désaltérer, le hasard découvre à ses yeux une cabane couverte de chaume ; elle frappe à son humble porte ; une vieille paraît et voit la déesse qui lui demande à boire ; elle lui présente un doux breuvage, composé d’orge et de miel, qu’elle venait de faire bouillir. Tandis que Cérès boit à longs traits, un enfant, au regard dur et insolent, s’arrête devant elle, et rit de son avidité. La déesse offensée jette le reste du breuvage sur le front de l’enfant, qui parle encore. Pénétré de cette liqueur, son visage se couvre aussitôt de mille taches, ses bras font place à deux pattes, une queue achève la métamorphose et termine son corps, qui conserve à peine, en se rapetissant, la faculté de nuire ; réduit à des formes chétives, il n’est plus qu’un lézard : la vieille en pleurs s’étonne de ce prodige, elle veut le toucher ; mais il fuit et court se cacher ; il tire son nom de la couleur de sa peau, où les gouttes du fatal breuvage sont parsemées comme autant d’étoiles.

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  • BARYE ANTOINE-LOUIS (1795-1875), Lapin Oreilles Dressées

    2000,00

    Sculpture en bronze doré représentant un lapin, les oreilles dressées, le corps en boule, posé sur une terrasse naturaliste de forme ovale. Le socle est en marbre noir de Belgique. Épreuve ancienne signé  BARYE sur la terrasse à gauche du lapin, fonte atelier Barye. Sculpture redorée au milieu du XXe siècle. Légères engrenures sur le socle en marbre. Aucune édition posthume n’est attestée.
    Exemplaires :
    Bordeaux, musée des Arts décoratifs
    Cambridge (Mass), Fogg Art Museum
    Philadelphie, Philadelphia Museum of Art

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  • « Baigneuse Mauresque »de Tony Noël (1845-1909), école française

    Epreuve en bronze doré représentant une Odalisque sortant du bain et portant une paire de soques, signé sur la terrasse Tony Noël et éditée par Siot-Decauville, fondeur à Paris. Sujet orientaliste présenté à la Société nationale des Beaux-Arts en 1895.

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  • « Cérès moquée par Ascalabos  » de Eugène Ernest HILLEMACHER (1818-1887)

    Huile sur toile représentant une scène à l’Antique, signée en bas à gauche et daté 1877. Cadre en bois sculpté et doré d’époque. Cérès est représentée assise et portant une gerbe d’épis de blé tressés. Ascalabos se moque de Cérès qui boit le breuvage que sa mère Mismé en arrière plan lui à donné. Ce tableau est une peinture académique représentant une histoire tirée des textes antiques.

    La mère de Proserpine, alarmée sur le sort de sa fille, la cherche en vain par toute la terre et sur toutes les mers. Ni l’Aurore, déployant à son lever sa radieuse chevelure, ni Vesper ne l’ont vue s’arrêter ; elle allume deux torches de pin aux flammes de l’Etna, et les porte sans relâche au milieu des froides ténèbres. Quant la clarté bienfaisante du jour a fait pâlir les étoiles, elle cherche sa fille depuis l’heure où le soleil se lève jusqu’à celle où le soleil se couche. Un jour qu’épuisée de fatigue et dévorée par une soif ardente, elle ne trouvait aucune source pour se désaltérer, le hasard découvre à ses yeux une cabane couverte de chaume ; elle frappe à son humble porte ; une vieille paraît et voit la déesse qui lui demande à boire ; elle lui présente un doux breuvage, composé d’orge et de miel, qu’elle venait de faire bouillir. Tandis que Cérès boit à longs traits, un enfant, au regard dur et insolent, s’arrête devant elle, et rit de son avidité. La déesse offensée jette le reste du breuvage sur le front de l’enfant, qui parle encore. Pénétré de cette liqueur, son visage se couvre aussitôt de mille taches, ses bras font place à deux pattes, une queue achève la métamorphose et termine son corps, qui conserve à peine, en se rapetissant, la faculté de nuire ; réduit à des formes chétives, il n’est plus qu’un lézard : la vieille en pleurs s’étonne de ce prodige, elle veut le toucher ; mais il fuit et court se cacher ; il tire son nom de la couleur de sa peau, où les gouttes du fatal breuvage sont parsemées comme autant d’étoiles.

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  • SOLD OUT

    « Chanson d’Amour » de Costantino Barbella

    Très rare sculpture en bronze selon la technique de la cire perdue de Costantino BARBELLA (1852-1925) représentant deux jeunes femmes italienne chantant une chanson d’amour. Ce groupe en bronze à patine médaille est époustouflant de réalisme et de qualité de ciselure, signé sur la base C. Barbella, situé à Rome et portant le chiffre 23 dans un petit cartouche. Base en roche serpentinite appelé marbre rouge Levanto.

    Littérature : Exposition rétrospective de Costantino Barbella, Rome, 15 Décembre, 1934-6 Janvier, 1935, par Antonio Munoz, Rome, le Foreign Correspondents Club, 1934

    Provenance : Collection privée

    Liste des musées présentant des œuvres de l’artiste
    Musée d’ Art Costantino Barbella, Chieti
    Musée de la bataille, Ortona
    Musée Michelangiolesco, Caprese Michelangelo
    Galleria Nazionale d’Arte Moderna, Rome
    Musée national de Capodimonte, Naples

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  • SOLD OUT

    « Chasse au Canard » de Pierre-Jules Mêne (1810-1879)

    Sculpture en bronze à patine brune de Pierre-Jules Mêne (1810-1879) intitulée « Chasse au canard », représentant deux chiens épagneuls-griffons qui poursuivent un canard piégé dans un taillis. Le canard est encore au sol mais tente de s’échapper en esquissant une tantavive d’envol. Fonte d’époque d’atelier Mêne, signée en bas à gauche. Le tirage d’époque n’est pas abondant et ce sujet fait parti des six principaux envois de P.J. Mêne au Salon de 1850.

    Historique : Paris, Salon de 1850, bronze n°3515
    Littérature : Poletti & Richarme, Pierre-Jules Mêne ; Catalogue raisonné, Paris, 2007 page 54
    Provenance : Collection particulière du Sud de la France

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  • « Conducteur de char romain » par Emmanuel Frémiet (1824-1910)

    3900,00

    Sculpture en bronze d’un saisissant réalisme, à patine brune nuancée représentant un conducteur de char romain casqué maîtrisant deux chevaux fougueux . Fonte d’édition ancienne de la fin du XIXème siècle, signée du sculpteur Frémiet, fonte de Charles More, sur une base de forme ovale.
    Historique :
    Oeuvres d’art exposées au salon de 1866 et acquises par le ministère de la Maison de l’Empereur et des Beaux-Arts, au Palais des Champs-Elysées à Paris.
    Cavalier romain (1866) statue en bronze par Emmanuel Frémiet, No 2779, présentée hors concours, acquise ou commandée par le ministère de la Maison de l’Empereur et des beaux-arts.

    Référence littéraire : Les bronzes du XIXe siècle Pierre Kjellberg cf. p 327 à 337

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