Sculpture en bronze, « Berger et Sylvain » de Léopold Steiner (1853-1899)

XIX e siècle

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  • Sculpture en bronze, « Berger et Sylvain » de Léopold Steiner (1853-1899)

    5500,00

    Très belle et grande épreuve en bronze de Léopold Steiner (1853-1899), à patine brune nuancée, représentant un berger barbu qui porte à bout de bras un Sylvain, petite divinité protectrice des bois et des champs. Cette sculpture d’inspiration néo-classique, puise ses origines dans la mythologie romaine. Signature sur la terrasse L.Steiner et cachet de fondeur Thiébaut Frères à Paris

    Historique : 1884 : Steiner obtient une bourse de voyage grâce au modèle en plâtre de Berger et sylvain
    1885 : 15 janvier, l’Etat commande sa réalisation en bronze à Eugène Gonon pour 5 500 F.
    1893 : 29 mars, arrêté d’attribution au musée du Luxembourg, placé sur la terrasse (inventorié  LUX 117 et RF 4081).
    1931 : envoi au dépôt des marbres.
    1931 : juin dépôt à Briançon
    1986 : affecté au musée d’Orsay, Paris.
    2016 : retour définitif de dépôt, réserves du musée d’Orsay
    Description : H. 2,45 ; L. 1 ; P. 0,8 m
    Expositions : 1887, Paris, Salon (SAF), n° 4506
    Oeuvres en rapport : 1881 : 15 octobre commande du plâtre par l’Etat 1884, Paris, Salon, n° 3916 1889, Paris, Exposition universelle, n° 2153 ; musée de Semur-en-Auxois Réductions éditées en bronze par Thiébaut en deux tailles
    Source : Fonds Debuisson
    Documentation du musée d’Orsay, dossier LUX 117-RF 4081
    Bibliographie : 1901, Inventaire Général des richesses d’art de la France. Paris monuments civils, T. III, p. 404
    1921, Lami, Stanislas, Dictionnaire des sculpteurs de l’Ecole française au dix-neuvième siècle, quatre volumes, t. IV, p. 275

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  • Sellette de salle d’armes attribuée à la firme Miroy Frères à Paris, époque Napoléon III

    1400,00

    Rare sellette de salle d’armes de style troubadour en régule patiné à plateau tournant et chaines en bronze, représentant trois lances de joutes croisées et réunies par un bouclier, attribuée à la Maison Miroy Frères à Paris qui était l’une des entreprises leader de Paris au milieu du XIXe siècle.

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  • Table pagode Japonisante attribué à la société parisienne d’inspiration extrême-orientale, Daï-Nippon

    3800,00

    Table pagode d’inspiration japonisante en bois naturel teinté acajou à décors de frise de bois ajouré, d’éléments de panneaux Japonais période Meiji (1868-1912) en marqueterie géométrique faite de bois divers. Piétement quadripode à ressauts animés de têtes d’éléphants avec leurs défenses en nacre. Le plateau inférieur supporte une tablette asymétrique découvrant un tiroir avec un motif de tortue en bronze doré pour l’ouvrir. La tortue en bronze doré employée comme bouton de tiroir semble être un symbole iconographique très caractéristique des productions de la Daï-Nippon. Cette table japonisante s’inscrit bien dans le registre de la production de cette société parisienne, avec son décor, le réemploi des panneaux Japonais prélevés sur des meubles en provenance du Tonkin, selon une pratique qui lui était alors familière, en lui changeant son utilité première.

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  • Tableau émaillé sur plaque en porcelaine de la fin du XIXème siècle

    2800,00

    Très grande plaque émaillée sur porcelaine représentant une scène d’intérieur du Moyen Âge.  Technique précieuse d’émaux en relief destinée principalement au décors de la robe de la dame de qualité. Ce tableau symbolise l’exaltation de la beauté féminine. De très grande qualité d’exécution, la femme est dans un écrin de broderies et de parures d’une telle richesse que la carnation, la pureté des traits, prend par contraste une intensité saisissante. En parfait état. Signé Taillandier d’après E.Villa.

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  • SOLD OUT

    Vase en émail de limoges époque XIXe siècle, monture en argent

    Vase en émail de limoges intitulé « Pureté » représentant une jeune fille dans un décors de roses luxuriant. Monture en argent de style rocaille, poinçon tête de chien. On atteint içi dans l’exécution de cet émail peint, l’excellence. Objet d’art délicat, de grande qualité technique, maîtrise des coloris et de sa facture, en parfait état.

    A la fin du XIXe siècle, la valeur marchande l’œuvre émaillée semble dépendre d’un critère absolu : la compétence technique de l’émailleur. Elle se mesure, pour le public et la critique, notamment à la quantité de travail qu’elle paraît avoir nécessitée. Elle s’apprécie également dans une illusoire fidélité de l’œuvre copiée, souvent d’après des maîtres anciens ou dans des créations personnelles. En raison de la mise en œuvre de technique jugées complexes, proches de la mythification, l’objet fini aboutit à un prix de vente accessible seulement à une parte de la population.

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