Nymphe descendant au bain, dite La Baigneuse de Falconet, époque fin XIXè siècle

Style Néo-Classique

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  • Nymphe descendant au bain, dite La Baigneuse de Falconet, époque fin XIXè siècle

    2800,00

    Importante sculpture en albâtre représentant une nymphe descendant au bain. La féminité naissante de la nymphe, sa sensualité discrète fait référence à l’Antique, notamment dans son drappé. La Nymphe au bain est inspirée d’un tableau de François Lemoyne. Un marbre se trouve au Victoria and Albert Museum (81 cm de haut, inv. no. 1131-1882). Cette sculpture est en bon état et d’une remaquable qualité d’exécution.

    Note
    L’albâtre est une pierre naturelle tendre qui a également la particularité d’être translucide. Elle laisse donc passer la lumière, ce qui donne cette aura si particulière aux sculptures.

    Historique de l’œuvre
    Répétition de la statuette du Salon de 1757, n° 131 Nymphe qui descend au bain. Collection de Mme Du Barry (1743-1793) à Louveciennes (n° inv. M. 1846). Saisie révolutionnaire, 10 janvier 1794. Inventoriée en 1824 au Grand Trianon à Versailles. Entrée au Louvre avant 1855.

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  • Paire de colonnes de style Néo-classique en onyx et bronze doré époque fin XIXème siècle

    4800,00

    Importante paire de colonnes de présentation d’époque fin XIXème en marbre-onyx d’Algérie et bronze doré. Elles sont à décors de chapiteau corinthien, plateau de présentation tournant.

    HISTOIRE
    Marbre-onyx d’Algérie est un matériau translucide, compromis entre le marbre et l’albâtre. Il existe en de nombreuses teintes et variantes (blanc, jaune, rouge, vert) . Mines de marbre, exploitées par les Romains, dans la province d’Oran. En 1849, Jean Baptiste Delmonte, un marbrier italien , découvre cette carrière et l’exploite . Jean Batiste Delmonte cède ses droits en 1858 à la Compagnie des Marbres-Onyx d’Algerie fondée par Alphonse Pallu. Ce matériau est à l’honneur sous le Second Empire et récompensé par une médaille lors de l’Exposition Universelle de 1862.

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  • Paire de lampes néo-classiques en porcelaine et bronze XIXe siècle

    3800,00

    Grande paire de lampes de style néoclassique inspiré de l’art de la Grèce antique, en porcelaine blanche et décors polychrome. Le corps de la lampe est délicatement orné de cartouches représentant des Putti dans les airs, parmi des motifs architecturaux antiques. Les contours des motifs sont décorés à l’or mat. Munies d’anses en bronze doré représentant des lions (le lion est une représentation de la puissance protectrice dans la Grèce antique) et reposant sur des bases en bronze doré décorées de palmettes et de visages Grecs. La paire de lampes a été soigneusement montée à l’électricité et elles sont surmontées de globes éclairant en verre gravés.

    HISTOIRE
    Sous le Second Empire, ce style que l’on qualifiait indifféremment de néo-grec, de néo-pompéien ou encore d’estruco-grec se manifesta surtout dans le domaine de la porcelaine et dans celui des arts du métal, et tout particulièrement sur les bronzes d’ameublement.

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  • SOLD OUT

    Pendule en bronze doré de Robert & Courvoisier, « Protection maternelle »

    Rare pendule à poser d’époque Consulat en bronze doré représentant la « Protection maternelle ». La pendule de forme borne est surmontée d’une femme agenouillée qui protège des jeunes enfants dans un drapé. Le cadran est signé Robert & Courvoisier. Vendu en l’état, mécanique à restaurer. Dorure au mercure d’époque, dans un bel état de conservation.

    Robert & Courvoisier (La Chaud de Fonds, Suisse) sont des maîtres horlogers suisses. L’entreprise a été fondée en 1795.

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  • Sculpture en bronze « Danseur de saltarelle » de Justin Chrysostôme Sanson (1833 – 1910)

    2300,00

    Belle sculpture en bronze à patine médaille représentant un jeune éphèbe munit d’un tambourin dansant une danse joyeuse nommée « La Saltarelle ». L’esprit du génie baroque florentin du XVIe siècle est rendu avec éclat et virtuosité. Sanson restitue dans cette sculpture, la grâce, le naturel, le mouvement et la légèreté de la danse. Signature du sculpteur sur le bord du socle : J. Sanson.
    Fonte d’atelier d’époque, légère usure de la patine et manque deux  petites cymbalettes sur le tambourin.

    Historique et provenance :
    1867, acquis par l’Etat
    Attribué au musée du Louvre
    Jusqu’en 1876, au musée du Luxembourg
    Déposé au musée national du château de Fontainebleau
    1986, affecté au musée d’Orsay, Paris

    Exposition :
    Exposition Universelle – Champ-de-Mars – France, Paris, 1867
    Exposition Universelle – Autriche, Vienne, 1873

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