Importante pendule en bronze doré et porcelaine d’Imari, d’époque XIXème

style japonisant

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  • Importante pendule en bronze doré et porcelaine d’Imari, d’époque XIXème

    5500,00

    Grande pendule formée d’un vase couvert  de forme ovoïde en porcelaine d’Imari, ère Meiji période historique du Japon entre 1868 et 1912. Riche monture en bronze ciselé et doré à décor d’animaux fantastiques, chien de Fô à l’amortissement qui symbolise la richesse. Cette pendule est caractéristique d’une pratique en vogue à la fin du XIXe siècle, issue du goût alors très prononcé pour l’Extrême-Orient, destinées à prendre place dans les intérieurs les plus somptueux.

    HISTOIRE
    Le Japon s’ouvre au monde extérieur en 1868, les artistes japonais influencèrent fortement les artistes européens. Cet emballement pour le japonisme commence alors avec des collectionneurs parisiens et des connaisseurs qui apprécient la qualité et l’élégance de ces objets d’art.

    Le japonisme, qui n’a cessé de croître dans la deuxième moitié des années 1870, atteint son apogée à l’Exposition Universelle de Paris en 1878, où le Japon est exceptionnellement bien représenté. Les critiques d’art européens, et surtout français, considèrent le Japon comme un paradis inviolé et c’est cette approche qu’ils livrent au public.

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  • Table pagode Japonisante attribué à la société parisienne d’inspiration extrême-orientale, Daï-Nippon

    3800,00

    Table pagode d’inspiration japonisante en bois naturel teinté acajou à décors de frise de bois ajouré, d’éléments de panneaux Japonais période Meiji (1868-1912) en marqueterie géométrique faite de bois divers. Piétement quadripode à ressauts animés de têtes d’éléphants avec leurs défenses en nacre. Le plateau inférieur supporte une tablette asymétrique découvrant un tiroir avec un motif de tortue en bronze doré pour l’ouvrir. La tortue en bronze doré employée comme bouton de tiroir semble être un symbole iconographique très caractéristique des productions de la Daï-Nippon. Cette table japonisante s’inscrit bien dans le registre de la production de cette société parisienne, avec son décor, le réemploi des panneaux Japonais prélevés sur des meubles en provenance du Tonkin, selon une pratique qui lui était alors familière, en lui changeant son utilité première.

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