albâtre
3 résultats affichés
-
Grande Sculpture en Albâtre « Tzigane »de Emmanuel VILLANIS (1858-1914), école française
3500,00€Grande et belle épreuve en albâtre représentant un buste de jeune femme nomade d’origine Indou et d’inspiration Art Nouveau. Elle est représentée les cheveux enveloppés dans un foulard, en robe à épaules dénudées, positionnée la tête tournée de trois quart, avec un air doux, légèrement absente et rêveuse. Sculpture signée sur l’épaule E.Villanis et titrée sur la terrasse Tzigane, un terme européen pour Gypsy – ce travail capture certainement la femme libre d’esprit, sombre et aventureuse reflétée par son titre.
Bibliographie : Pierre Kjelberg, les bronzes du XIXe siècle, les Editions de l’Amateur, Paris 1989, page 641 à 644
-
Nymphe descendant au bain, dite La Baigneuse de Falconet, époque fin XIXè siècle
2800,00€Importante sculpture en albâtre représentant une nymphe descendant au bain. La féminité naissante de la nymphe, sa sensualité discrète fait référence à l’Antique, notamment dans son drappé. La Nymphe au bain est inspirée d’un tableau de François Lemoyne. Un marbre se trouve au Victoria and Albert Museum (81 cm de haut, inv. no. 1131-1882). Cette sculpture est en bon état et d’une remaquable qualité d’exécution.
Note
L’albâtre est une pierre naturelle tendre qui a également la particularité d’être translucide. Elle laisse donc passer la lumière, ce qui donne cette aura si particulière aux sculptures.Historique de l’œuvre
Répétition de la statuette du Salon de 1757, n° 131 Nymphe qui descend au bain. Collection de Mme Du Barry (1743-1793) à Louveciennes (n° inv. M. 1846). Saisie révolutionnaire, 10 janvier 1794. Inventoriée en 1824 au Grand Trianon à Versailles. Entrée au Louvre avant 1855. -
SOLD OUT
Sculpture en albâtre du XIXème siècle de style néo-gothique, « La Passion »
Grande sculpture en albâtre du XIXème siècle de style néo-gothique, représentant une jeune fille pensive, tenant dans ses mains un coffret surmonté de deux petit oiseaux. Selon une iconographie bien connue, la jeune fille représentée avec des oiseaux, sans doute des chardonnerets, mais l’accent sur la tradition médiévale symbole de la Passion. Le sculpteur mais en valeur les étoffes lourdes de la robe aux plis creusés, très marqués qui contribue à donner à son œuvre une présence physique exceptionnelle. Le choix de la matière, l’albâtre, est bien représentative de l’époque Gothique, le sculpteur présente un grand sens de la mise en espace et, surtout, un intérêt remarquable pour le décor, dans le soin apporté au détail de la robe et au coffret surmonté de ces deux petits chardonnerets.