Japon époque Meiji (1868-1912), Important Okimono en bronze

Sculptures

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  • Japon époque Meiji (1868-1912), Important Okimono en bronze

    Important Okimono en bronze de patine brune, représentant un paysan assis en tailleur, préparant sa pipe qu’il tient dans une main, son tabako-ire dans l’autre. Vraisemblablement une école de Tokyo, finesse du travail, lègèreté de la fonte, précision des détails et expression du visage de très belle facture. Signature de l’artiste sur la jambe arrière du paysan.

    Provenance : collection privée

    HISTOIRE
    C’est à partir de de 1873, lors de l’Exposition Orientale des Champs-Elysées, organisée par Cernuschi, présente au public Parisien des sculptures en bronze rapportées de son voyage en Chine et au Japon et l’impact des collectionneurs privés est foudroyant . Il fallut attendre l’Exposition Universelle de 1878 pour que Paris pût se faire une idée du gout Japonais. Hayashi fut, dés lors, avec Bing, le plus intelligent intermédiaire entre le Japon et Paris; ce sont eux qui nous révèlent l’art véritable du Japon, qui formèrent notre goût et on les retrouve à l’origine de toutes nos belles collections, dont celles des écrivains Edmont de Goncourt et Emile Zola ou des peintres comme James Mc Neill Whistler et Edgar Degas.

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  • Jeune Pêcheur dansant la Tarentelle et Danseur au Tambourin, sculptures en Bronze de Francisque Joseph DURET (1804-1865)

    Épreuves en bronze à patine brune représentant le Jeune Pêcheur dansant la Tarentelle et le Danseur au Tambourin, Signées en creux sur la base F.Duret et Delafontaine

    . Ces deux sculptures évoquent le style « troubadour » chers aux romantiques et mettent en avant les souvenirs d’antiquité recueillis en Italie.
    Duret a passé un contrat d’édition avec le fondeur Quesnel pour les œuvres suivantes :
    Jeune pêcheur dansant la tarentelle, l’Improvisateur, Mercure inventant la lyre, Danseur napolitain.
    Les droits d’édition relatifs à ce contrat précise C.B. Mettman (la petite sculpture d’édition 1944),
    seront cédés par Quesnel à Delafontaine vers 1855.

    Référence littéraire : Les bronzes du XIXe siècle Pierre Kjellberg cf. p,304-305

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  • Leroux Gaston Veuvenot (1854-1942) & Eugène Blot, fondeur, éditeur – Le charmeur de serpent

    3900,00

    Importante sculpture orientaliste en régule polychrome, représentant un jeune charmeur de serpent près d’un figuier de barbarie, assis sur un rocher, jouant de la flûte avec un serpent à ses pieds. Socle tournant décoré de motifs orientaux à l’imitation du bronze. Signature sur la terrasse du sculpteur G.Leroux et E.Blot fondeur.
    Bibliographie : S. Richemond, Les Orientalistes , 2008, p.138, 139, 140, 141, 142

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  • Nymphe descendant au bain, dite La Baigneuse de Falconet, époque fin XIXè siècle

    2800,00

    Importante sculpture en albâtre représentant une nymphe descendant au bain. La féminité naissante de la nymphe, sa sensualité discrète fait référence à l’Antique, notamment dans son drappé. La Nymphe au bain est inspirée d’un tableau de François Lemoyne. Un marbre se trouve au Victoria and Albert Museum (81 cm de haut, inv. no. 1131-1882). Cette sculpture est en bon état et d’une remaquable qualité d’exécution.

    Note
    L’albâtre est une pierre naturelle tendre qui a également la particularité d’être translucide. Elle laisse donc passer la lumière, ce qui donne cette aura si particulière aux sculptures.

    Historique de l’œuvre
    Répétition de la statuette du Salon de 1757, n° 131 Nymphe qui descend au bain. Collection de Mme Du Barry (1743-1793) à Louveciennes (n° inv. M. 1846). Saisie révolutionnaire, 10 janvier 1794. Inventoriée en 1824 au Grand Trianon à Versailles. Entrée au Louvre avant 1855.

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  • Paire de sculptures à l’Antique représentant Atalante et Hippomène, XIXème siècle

    Paire de sculptures en bronze à patine brune inspirées de la mythologie grecque montées chacune avec une base en onyx, forment un groupe dynamique. L’envolée du drapé dans leurs dos comme l’ampleur de leurs enjambées suggèrent la rapidité de la course.

    HISTOIRE
    Dans la mythologie grecque, Atalante a des performances physiques hors du commun pour une femme. Son père souhaitant la marier, elle ne voulut prendre pour époux que celui qui pourrait la battre à la course, ceux qui échoueraient seraient mis à mort. De nombreux prétendants moururent ainsi, jusqu’à ce que se présente Hippomène, qui aidé d’Aphrodite, laissa tomber trois pommes d’or, provenant du jardin des Hespérides, données par la déesse dans sa course, curieuse, la jeune fille s’arrêta pour les ramasser, et fut ainsi devancée à l’arrivée.

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