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Ecole Italienne du XVIIIème siècle, dans le goût de RAPHAEL
Gouache sur papier dans son cadre en bois doré d’époque XVIIIème siècle, représentant la Vierge à l’Enfant avec saint Jean Baptiste. La composition est fluide et en forme pyramidale avec les personnages liés par des échanges de regards et de gestes. Très belle qualité d’exécution.
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Edouard DROUOT (1859-1945) « La nuit », grande épreuve en bronze symboliste
Très grande épreuve symboliste en bronze représentant l’allégorie de la nuit par Edouard Drouot (1859-1945). Sculpture à patine brune, signée sur la terrasse E.Drouot. La nuit est représentée comme une personnification féminine nue. Les yeux sont clos, ses cheveux sont longs, elle porte un croissant de lune dans ses bras avec des étoiles à ses pieds.
Référence littéraire : Les bronzes du XIXe siècle Pierre Kjellberg cf. p291 à 295
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Énorme pendule de cheminée époque fin XIXème siècle
Pendule de cheminée en marbre noir de Belgique surmontée d’un important groupe en bronze à patine médaille représentant un palefrenier retenant un cheval, dit « Cheval de Marly », d’après Guillaume Coustou (1677-1746). Le cheval est puissant , il a une encolure large et il montre tous les signes de l’affolement et de la colère : corps cabré, tête nerveuse, bouche hennissante, naseaux et yeux dilatés, crinière agitée. Cette sculpture représente une interprétation de la nature primitive et une lutte entre deux forces sauvages, un cheval indompté et un homme nu, aux muscles d’athlète bandés par l’effort. Mécanique d’époque en état de marche. Petits éclats sur le marbre noir de Belgique.
HISTOIRE
Les Chevaux de Marly sont deux groupes sculptés représentant des chevaux cabrés et leurs palefreniers. En marbre de Carrare, ils ont été exécutés entre 1743 et 1745 par Guillaume Coustou. Il furent commandés par le roi Louis XV pour orner l’abreuvoir situé à l’entrée du parc du château de Marly, afin de remplacer deux sculptures d’Antoine Coysevox, Mercure et la Renommée à Cheval sur Pégase. En 1794, à l’initiative du peintre David, ils sont transférés place de la Concorde à Paris et sont érigés sur de hauts piédestaux à l’entrée des Champs-Élysées. En 1984 elles sont transférées au musée du Louvre dans une ancienne cour de l’aile Richelieu transformée en patio, appelée la cour Marly. -
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Grand bronze représentant « David vainqueur » de Marius Jean Antonin Mercié (1845-1916)
Grand bronze représentant « David vainqueur » de Marius Jean Antonin Mercié (1845-1916) à patine médaille signé A.Mercié et F. Barbedienne Fondeur Paris N°391 avec le cachet « Réduction mécanique A. Collas ». Le héros de la bible est montré avec la tête de Goliath à ses pieds, comme le David de Donatello, il rengaine son épée. Le » David Vainqueur » de Marius Jean Antonin Mercié illustre la tendance au syncrétisme stylistique qui caractérise tout un courant d’artistes du XIXème siècle, qui, en rupture à la fois avec le néo-classicisme et le romantisme, se tournèrent vers le passé pour puiser leur inspiration.
Historique :
Le modèle en plâtre fut exposé au Salon de Paris en 1872 et à l’Exposition Universelle de Paris en 1900
Un exemplaire en marbre fut exposé à l’Exposition Universelle de Paris en 1889. -
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Grande horloge de Jean-François-Théodore Gechter (1796-1844) « Charles le Téméraire »
Horloge d’époque 1840, en bronze doré et marbre noir de Belgique, surmontée d’un groupe en bronze de Jean-François-Théodore Gechter. Base en marbre de M.Mudesse à Paris, marbrier, 6 rue Losses du Temples, il obtient le 24 Septembre 1839 un brevet pour le placage du marbre sur bois et sur métal. Groupe en bronze à thème de combat, représentant « Charles le Téméraire » sur son cheval terrassant un ennemi, sculpture à patine brune nuancée. Bronze de très grande qualité, finesse de la ciselure, quantité de détails et d’ornements, mouvements fougueux, caractéristiques de ce sculpteur romantique qui affectionnait particulièrement ce genre de composition où un cavalier cherche à terrasser un autre cavalier désarçonné. A signaler, une petite réparation sur le marbre, quasiment invisible.
Bibliographie : Pierre Kjelberg, les bronzes du XIXe siècle, les Editions de l’Amateur, Paris 1989, pages 355, 356
Provenance : colection privée