Coupe en onyx-marbre d’Algérie et bronze doré, de style néo-grec

Objets d'art

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  • Coupe en onyx-marbre d’Algérie et bronze doré, de style néo-grec

    850,00

    Coupe sur piédouche à deux anses en marbre onyx d’Algérie et monture en bronze doré, agrémentée de motifs à l’Antique avec une base à pieds griffe. Cette coupe est remarquable à plusieurs titres. Il s’agit tout d’abord d’un magnifique objet de la production de bronzes d’art dont Paris est dans la seconde moitié du XIXe siècle la capitale incontestée. Il convient sur cette pièce de noter l’exceptionnelle qualité de la dorure au mercure. Cette coupe est un exemple caractéristique de production de cette union de l’art et de l’industrie tant recherchée à cette époque.

    HISTOIRE
    Sous le Second Empire, ce style que l’on qualifiait indifféremment de néo-grec, , de néo-pompéien ou encore d’estruco-grec se manifesta surtout dans le domaine de la porcelaine et dans celui des arts du métal, et tout particulièrement sur les bronzes d’ameublement.

     

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  • Émile Colin & Cie, d’après le modèle créé par Frédéric-Eugène Piat (1827-1903), figures modelées par Léopold Steiner (1853-1899)

    3500,00

    Encrier « l’amour fraternel » d’ Émile Colin & Cie, d’après le modèle créé par Frédéric-Eugène Piat (1827-1903), figures modelées par Léopold Steiner (1853-1899).  Difficile à trouver en raison de sa nature unique, cet encrier résulte d’une recherche savante des détails et d’un fini merveilleux d’ exécution. Cet objet est caractéristique de l’historicisme et de l’électisme stylistique qui dominent le goût public et les arts décoratifs de cet époque. Cette œuvre appartient à la série des objets de petites dimensions que composa Eugène Piat pour la maison Colin. La collaboration entre Piat et la maison Colin se déploie notamment à l’occasion de l’Exposition universelle de 1889, on peut aisément imaginer que c’est dans cette période artistiquement féconde que le modèle de notre encrier fut créé.

    Provenance : collection particulière

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  • Encrier de bureau représentant « Le penseur » d’ Emile-Louis Picault (1833-1915)

    1100,00

    Important encrier de bureau en bronze à patine polychrome sur un contre socle en marbre vert de mer. Bronze allégorique titré et signé sur la terrasse. Le jeune homme est assis sur un rocher en compagnie d’un aigle, et tient un livre marqué : « C’est sur les hauts sommets que le penseur médite ». Le jeune homme avec son attrait héroïque est captivée par une expression pensive et semble faire face à une décision difficile. Fonte d’édition ancienne avec marque de fondeur BD en creux au revers. Le récipient pour les accessoires de l’écriture comme la plume se loge dans une terrasse en marbre évidée, les godets destinés à l’encre sont en bronze doré et ciselé à décors de feuillages.

    Bibliographie : Harold Berman , Bronzes Sculptors and Founders , 1800-1930 , Abage Publishers , Chicago 1974
    Pierre Kjellberg , les bronzes du XIXe siècle , les Editions de l’Amateur , Paris 1989

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  • Paire d’Aiguières En Bronze De Style Néo-grec Attribuées à Ferdinand Levillain (1837-1905 )

    1200,00

    Paire d’aiguières à patine médaille avec une base en marbre noir de Belgique de style néo-grec, attribuées à Ferdinand Levillain ( Paris,1837- Paris, 1905 )

    HISTOIRE
    Sous le Second Empire, ce style que l’on qualifiait indifféremment de néo-grec, de néo-pompéien ou encore d’estruco-grec se manifesta surtout dans le domaine de la porcelaine et dans celui des arts du métal, et tout particulièrement sur les bronzes d’ameublement. Un artiste comme Ferdinand Levillain demeura toute sa vie passionné de l’Antiquité classique.

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  • Paire de vases de style Persan – Ferdinand Barbedienne (1810-1892) et Louis-Constant Sévin (1821-1888)

    4500,00

    Belle paire de vases piriformes de style Persan en bronze doré à décors d’émaux champlevés polychromes, sur des bases en marbre rouge Africain supportée par des pieds griffes, avec un rare décor Persan orné d’entrelacs, arabesques et rinceaux feuillagés. Les deux vases portent la signature du fabricant, éditeur et fondeur F.BARBEDIENNE et sont attribués au dessinateur-ornemaniste Louis-Constant Sévin. La Maison Barbedienne lors de l’Exposition Universelle de Londres en 1862, est récompensée par trois médailles pour Excellence, en vedette et pionner à Londres pour sa technique de l’émail dit « cloisonné » de fonte sur les objets d’art.

    Provenance : collection particulière

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