Nouveautés
Affichage de 26–30 sur 41 résultats
-
SOLD OUT
Importante torchère en régule à décors de femme de style néoclassique
Importante torchère en régule à sujet d’une femme de style néoclassique tenant dans ses mains une torche enflammée faisant éclairage. Ces statues sont trés représentatives des porte-luminaires que l’on pouvait trouver dans les grandes demeures bourgeoises sous le règne de Napoléon III où le sensualisme, l’abondance des formes, la démesure et l’étude du mouvement dominent.
-
Imposante sculpture d’après Antoine-Denis CHAUDET Paris, (1763 – 1810) L’Amour prenant un papillon
12500,00€Imposante sculpture d’après Antoine-Denis CHAUDET (1763-1810) « L’Amour prenant un papillon », sujet en bronze à patine vert-brun sur une base de marbre portor agrémenté de quatre petits pieds en bronze dit pattes de lions et de deux bas-reliefs en bronze doré figurant des amours musiciens . Modèle d’époque conservé au Musée du Louvres depuis 1817 d’après le modèle en plâtre de 1802, époque fin XIXème siècle. Fonte posthume de très grande qualité, cachet de la Maison Colin à Paris, fondeur-éditeur.
Littérature : Alcouffe, Daniel ; Amiet, Pierre ; Baratte, François, Louvre : Guide des collections, Paris, Réunion des musées nationaux, 1989, p. 324, n° 335
Historique : Salon de 1817, Paris
Marbre terminé par Pierre Cartellier (1757-1831). Salon de 1817, n° 805 (modèle en plâtre au Salon de 1802, n° 409). Acquis de la veuve du sculpteur par le ministère de la Maison du roi, et placé le 20 juin 1817 au Grand Trianon à Versailles. Entré au Louvre en 1847.Provenance : collection privée
-
Nymphe descendant au bain, dite La Baigneuse de Falconet, époque fin XIXè siècle
2800,00€Importante sculpture en albâtre représentant une nymphe descendant au bain. La féminité naissante de la nymphe, sa sensualité discrète fait référence à l’Antique, notamment dans son drappé. La Nymphe au bain est inspirée d’un tableau de François Lemoyne. Un marbre se trouve au Victoria and Albert Museum (81 cm de haut, inv. no. 1131-1882). Cette sculpture est en bon état et d’une remaquable qualité d’exécution.
Note
L’albâtre est une pierre naturelle tendre qui a également la particularité d’être translucide. Elle laisse donc passer la lumière, ce qui donne cette aura si particulière aux sculptures.Historique de l’œuvre
Répétition de la statuette du Salon de 1757, n° 131 Nymphe qui descend au bain. Collection de Mme Du Barry (1743-1793) à Louveciennes (n° inv. M. 1846). Saisie révolutionnaire, 10 janvier 1794. Inventoriée en 1824 au Grand Trianon à Versailles. Entrée au Louvre avant 1855. -
Orfèvre TETARD FRÈRES – Paire de Candélabres en Argent Massif Époque 1930
4200,00€Paire de candélabres bas de style Louis XIV, en argent massif d’époque Art Déco, à quatre bras de lumière plus une lumière centrale. Époque 1930, argent 1er titre, poinçon minerve et poinçon d’orfèvre TETARD Frères.
Famille d’orfèvres et maison d’orfèvrerie française à Paris, réputée aux XIXe siècle et XXe siècle, une des dernières françaises consacrées à la production d’argent massif et de vermeil, sans décliner de produit en métal argenté. Située dans le quartier du Marais, 4 rue Béranger, au moins entre 1881 et 1978 puis aussi pour l’atelier 12 rue Portefoin, et le siège social 4 rue Montesquieu
Œuvres: Paris, Musée d’Orsay, service à thé dessiné par Jean Tétard, 1930, en or, argent, ivoire, OAO 1290.1 à 5 (vu aux salon d’automne 1930 et exposition coloniale internationale de 1931 à Paris).
Expositions :
1889, Paris, Exposition Universelle, Exposition Universelle Internationale de 1889 à Paris. Catalogue Général Officiel. Tome troisième. Groupe III. Mobilier et accessoires. Classes 17 à 29, Lille, 1889. A. Picard, (dir.), Exposition Universelle Internationale de 1889 à Paris. Rapports du jury international. Groupe III. Mobilier et accessoires. Classes 17 à 29, Paris, 1891, vol. 12.
1925, Paris, exposition internationale des arts décoratifs et industriels.
1931, Paris, exposition coloniale internationale.
1936, Milan, VIe exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes.
1936, XXVIe salon des artistes décorateurs.
1991, Rueil-Malmaison, La mesure du temps: dans les collections du Musée de Malmaison(Raingo).Bibliographie : Jared Goss, French Art Deco, New York, 2014.
-
SOLD OUT
Pendule de style Louis XV attribuée à Léon Messagé (1842-1901)
Exceptionnelle pendule de style Louis XV en bronze doré réalisée par le sculpteur et ornemaniste, Léon Messagé (1842-1901). Cette pendule adopte les formes du XVIIIè siècle. En effet, les arabesques, ainsi que le vocabulaire ornemental, sont caractéristiques du style rocaille. Le décor est d’une grande richesse, fait de courbes très mouvementées. La partie inférieure est quant à elle consacrée au thème marin avec des coquilles et deux dauphins de chaque côté, mascaron d’homme barbu, motifs fréquemment utilisés par Léon Messagé. Un putto ailé à l’arc et au carquois trône au sommet de l’horloge. Le cadran de l’horloge est signé « Emile Colin & Cie et Paris 29, rue Sévigné », maison avec qui Messagé, mais aussi Linke, travaillèrent. Notre pendule est le fruit de la collaboration avec la Maison Colin et Léon Méssagé qui fit de cette esthétique originale sa signature. Bien que cette pendule ne soit pas signée par Léon Méssagé, il ne fait aucun doute sur son attribution. Dans son Cahier des dessins et croquis Style Louis XV, publié en 1890, Rue Sédaine à Paris, on retrouve deux dessins de pendules, très proches de celle que nous vous présentons ici. Dans l’ouvrage de Christopher Payne consacré à François Linke, une pendule extrêmement similaire à celle-ci est illustrée page 93. On retrouve le même vocabulaire ornemental, la même composition d’ensemble couronnée par un putto et un travail similaire de la sculpture.
Bibliographie
Christopher Payne, François Linke, 1855 – 1946, La Belle Époque du meuble français. Club des collectionneurs d’antiquités, Woodbridge, Royaume-Uni 2003, p. 71–95Provenance : Collection privée