Importante sculpture « Le chanteur florentin » de Paul Dubois (1827-1905), école française

Expositions universelles

  • Importante sculpture "Le chanteur florentin" de Paul Dubois (1827-1905), école française

    Importante sculpture « Le chanteur florentin » de Paul Dubois (1827-1905), école française

    5000,00

    Importante sculpture en bronze à patine médaille représentant le chanteur florentin du XVème siècle récompensé par une médaille d’honneur au Salon de 1865. Cette sculpture est de mouvement artistique classique, elle porte l’accent sur la silhouette gracieuse et élégante d’un jeune garçon aux formes lisses et épurées, contrastée avec la grande finesse du détail de l’habillement et des accessoires. Épreuve ancienne signée et datée sur la terrasse, P. Dubois 1865 et porte la marque du fondeur F.Barbedienne avec le cachet « Réduction mécanique A. Collas »

    Histoire

    Le Chanteur Florentin
    Lieu de conservation : musée d’Orsay, Paris, France
    Historique 1865, commandé 1866, acquis après commande à partir de 1866 au musée du Louvre, dans les appartements du comte de Nieuwerkerke à partir de 1871, au musée du Luxembourg 1920, attribué au musée du Louvre (reversement du musée du Luxembourg) 1986, affecté au musée d’Orsay
    Expositions Exposition Universelle : Paris, France, 1867
    Exposition Universelle : Welt-Ausstellung 1873 in Wien, Vienne, Autriche, 1873
    Exposition Universelle : Paris, France, 1889

    Vue Rapide
  • Japon époque Meiji (1868-1912), Important Okimono en bronze
    SOLD OUT

    Japon époque Meiji (1868-1912), Important Okimono en bronze

    Important Okimono en bronze de patine brune, représentant un paysan assis en tailleur, préparant sa pipe qu’il tient dans une main, son tabako-ire dans l’autre. Vraisemblablement une école de Tokyo, finesse du travail, lègèreté de la fonte, précision des détails et expression du visage de très belle facture. Signature de l’artiste sur la jambe arrière du paysan.

    Provenance : collection privée

    HISTOIRE
    C’est à partir de de 1873, lors de l’Exposition Orientale des Champs-Elysées, organisée par Cernuschi, présente au public Parisien des sculptures en bronze rapportées de son voyage en Chine et au Japon et l’impact des collectionneurs privés est foudroyant . Il fallut attendre l’Exposition Universelle de 1878 pour que Paris pût se faire une idée du gout Japonais. Hayashi fut, dés lors, avec Bing, le plus intelligent intermédiaire entre le Japon et Paris; ce sont eux qui nous révèlent l’art véritable du Japon, qui formèrent notre goût et on les retrouve à l’origine de toutes nos belles collections, dont celles des écrivains Edmont de Goncourt et Emile Zola ou des peintres comme James Mc Neill Whistler et Edgar Degas.

    Vue Rapide
  • L.C. Sévin & F.Barbedienne, garniture de style néoclassique en onyx et émail
    SOLD OUT

    L.C. Sévin & F.Barbedienne, garniture de style néoclassique en onyx et émail

    Garniture de cheminée comprenant une pendule et deux candélabres à quatre feux, réalisée en onyx, bronze doré, plaque émaillée, cabochons de marqueterie de pierre dure, et émaux champlevés polychromes. Le style de cette splendide garniture est caractéristique des plus belles réalisations de Ferdinand Barbedienne en collaboration avec le célèbre ornemaniste Louis Constant Sévin. Son répertoire décoratif y mêle avec beaucoup d’harmonie les motifs d’inspiration néoclassique, la combinaison du bronze et de l’émail est très colorée et sublime le marbre onyx d’Algérie. Signature sur le cadran de la pendule du fabricant, éditeur et fondeur F.Barbedienne Paris, Bd Poissonnière 30. La Maison Barbedienne lors de l’Exposition Universelle de Londres en 1862, est récompensée par trois médailles pour Excellence, en vedette et pionner à Londres pour sa technique de l’émail dit « cloisonné » de fonte sur les objets d’art.

    Provenance : collection particulière

    HISTOIRE : L’émail
    Dés l’Exposition Universelle de Londres en 1851, puis de Paris en 1855, l’émail, dans la multiplicité de ses techniques et de ses effets polychromes, sort de l’oubli et connaît sous le Second Empire une réhabilitation dans les arts décoratifs parisiens. Il devient un domaine d’études des ornemanistes et de nombreuses personnalités artistiques.

    Vue Rapide
  • Orfèvre TETARD FRÈRES - Paire de Candélabres en Argent Massif Époque 1930

    Orfèvre TETARD FRÈRES – Paire de Candélabres en Argent Massif Époque 1930

    4200,00

    Paire de candélabres bas de style Louis XIV, en argent massif d’époque Art Déco, à quatre bras de lumière plus une lumière centrale. Époque 1930, argent 1er titre, poinçon minerve et poinçon d’orfèvre TETARD Frères.

    Famille d’orfèvres et maison d’orfèvrerie française à Paris, réputée aux XIXe siècle et XXe siècle, une des dernières françaises consacrées à la production d’argent massif et de vermeil, sans décliner de produit en métal argenté. Située dans le quartier du Marais, 4 rue Béranger, au moins entre 1881 et 1978 puis aussi pour l’atelier 12 rue Portefoin, et le siège social 4 rue Montesquieu

    Œuvres: Paris, Musée d’Orsay, service à thé dessiné par Jean Tétard, 1930, en or, argent, ivoire, OAO 1290.1 à 5 (vu aux salon d’automne 1930 et exposition coloniale internationale de 1931 à Paris).
    Expositions :
    1889, Paris, Exposition Universelle, Exposition Universelle Internationale de 1889 à Paris. Catalogue Général Officiel. Tome troisième. Groupe III. Mobilier et accessoires. Classes 17 à 29, Lille, 1889. A. Picard, (dir.), Exposition Universelle Internationale de 1889 à Paris. Rapports du jury international. Groupe III. Mobilier et accessoires. Classes 17 à 29, Paris, 1891, vol. 12.
    1925, Paris, exposition internationale des arts décoratifs et industriels.
    1931, Paris, exposition coloniale internationale.
    1936, Milan, VIe exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes.
    1936, XXVIe salon des artistes décorateurs.
    1991, Rueil-Malmaison, La mesure du temps: dans les collections du Musée de Malmaison(Raingo).

    Bibliographie : Jared Goss, French Art Deco, New York, 2014.

     

    Vue Rapide
  • Pendule de style Louis XV attribuée à Léon Messagé (1842-1901)
    SOLD OUT

    Pendule de style Louis XV attribuée à Léon Messagé (1842-1901)

    Exceptionnelle pendule de style Louis XV  en bronze doré réalisée par le sculpteur et ornemaniste, Léon Messagé (1842-1901). Cette pendule adopte les formes du XVIIIè siècle. En effet, les arabesques, ainsi que le vocabulaire ornemental, sont caractéristiques du style rocaille. Le décor est d’une grande richesse, fait de courbes très mouvementées. La partie inférieure est quant à elle consacrée au thème marin avec des coquilles et deux dauphins de chaque côté, mascaron d’homme barbu, motifs fréquemment utilisés par Léon Messagé. Un putto ailé à l’arc et au carquois trône au sommet de l’horloge. Le cadran de l’horloge est signé « Emile Colin & Cie et  Paris 29, rue Sévigné », maison avec qui Messagé, mais aussi Linke, travaillèrent. Notre pendule est le fruit de la collaboration avec la Maison Colin et Léon Méssagé qui fit de cette esthétique originale sa signature. Bien que cette pendule ne soit pas signée par Léon Méssagé, il ne fait aucun doute sur son attribution. Dans son Cahier des dessins et croquis Style Louis XV, publié en 1890, Rue Sédaine à Paris, on retrouve deux dessins de pendules, très proches de celle que nous vous présentons ici. Dans l’ouvrage de Christopher Payne consacré à François Linke, une pendule extrêmement similaire à celle-ci est illustrée page 93. On retrouve le même vocabulaire ornemental, la même composition d’ensemble couronnée par un putto et un travail similaire de la sculpture.

    Bibliographie
    Christopher Payne, François Linke, 1855 – 1946, La Belle Époque du meuble français. Club des collectionneurs d’antiquités, Woodbridge, Royaume-Uni 2003, p. 71–95

    Provenance : Collection privée

    Vue Rapide

Select at least 2 products
to compare