Victor Peter (1840-1918)
Peter Victor (Paris, 20 Décembre 1840-29 Mars 1918)
Sculpteur animalier, peintre et médailleur, il étudie notamment avec Falguière. Il produit principalement des statuettes, des petits groupes et beaucoup de plaquettes, médaillons et médailles.
Il travaille aussi, en plus grand format, pour l’Hôtel de Ville et le Grand Palais. Pour ce dernier monument, il réalise l’un des deux groupes équestres en bronze qui flanquent l’entrée sur l’avenue Franklin-Roosvelt : La Science en marche en dépit de l’Ignorance. Toujours à Paris, dans le square Saint-Lambert, se trouve deux de ses œuvres : un Chien en pierre et le groupe en bronze des oursons.
Victor Peter a travaillé comme praticien chez Dubois, Falguière, Mercié et Rodin. Il participe au Salon des artistes français de 1873 à 1914, avec une interruption entre 1891 et 1898, période au cours de laquelle il expose au Salon de la Société nationale des beaux-arts.
Il remporte une médaille de troisième classe en 1879, une de bronze à l’Exposition universelle de 1889, une de deuxième classe en 1898 et une
médaille d’or à l’Exposition universelle de 1900.
Voici le seul résultat
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SOLD OUT
Groupe en bronze « Oursons Jouant » de Peter Victor (1840-1918)
Groupe en bronze doré représentant deux jeunes oursons jouant sur un base au naturel, signé du sculpteur V.Peter et portant le cachet de la maison Susse Frères editeurs à Paris. Cette sculpture est réalisée selon la technique de la fonte au sable, justesse des proportions, effets de profondeur et précision de la ciselure sont à l’honneur. Le choix pertinent du marbre rouge Levanto conjugué avec la dorure du bronze en font une sculpture somptueuse.
Localisation : Les oursons – sulpture en bronze de Victor Peter (1848-1918) Dans le Parc Saint-Lambert, XVéme arrondissement de Paris.
Belfort : Chambre interdépartementale d’Agriculture : Jeunes ours jouant, dit aussi Les Oursons, vers 1901, groupe en marbre gris. Le plâtre est exposé au Salon de 1900.Bibliographie : Pierre Kjelberg, les bronzes du XIXe siècle, les Editions de l’Amateur, Paris 1989, page 538-539