Grand bronze représentant « David vainqueur » de Marius Jean Antonin Mercié (1845-1916)

Ferdinand Barbedienne (1810-1892)

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    Grand bronze représentant « David vainqueur » de Marius Jean Antonin Mercié (1845-1916)

    Grand bronze représentant « David vainqueur » de Marius Jean Antonin Mercié (1845-1916) à patine médaille signé A.Mercié et F. Barbedienne Fondeur Paris N°391 avec le cachet « Réduction mécanique A. Collas ». Le héros de la bible est montré avec la tête de Goliath à ses pieds, comme le David de Donatello, il rengaine son épée. Le » David Vainqueur » de Marius Jean Antonin Mercié illustre la tendance au syncrétisme stylistique qui caractérise tout un courant d’artistes du XIXème siècle, qui, en rupture à la fois avec le néo-classicisme et le romantisme, se tournèrent vers le passé pour puiser leur inspiration.

     

    Historique :
    Le modèle en plâtre fut exposé au Salon de Paris en 1872 et à l’Exposition Universelle de Paris en 1900
    Un exemplaire en marbre fut exposé à l’Exposition Universelle de Paris en 1889.

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    Immense sculpture en bronze représentant Mercure, F.Barbedienne fondeur (1810-1892)

    Immense sculpture en bronze représentant Mercure à patine médaille, base cylindrique en marbre. Signature du fondeur et éditeur F.Barbedienne (1810-1892) et cachet réduction mécanique Achille Collas (1795-159). Mercure était le dieu messager et le dieu des commerçants. Poussé par le vent depuis la bouche d’Éole avec des sandales ailées et un casque pour faciliter son vol rapide. Son doigt pointé vers le haut en direction de Jupiter.
    La statue originale a été réalisée en 1563 par le sculpteur Giambologna, et peut toujours être vue au musée Nazionale del Bargello à Florence.

    Jean de Bologne (Giambologna en italien), sculpteur maniériste d’origine Flamande, né à Douai Flandre romane en 1529 et mort à Florence en 1608.

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    Importante pendule « Les deux Parques » de Ferdinand Barbedienne (1810-1892) et Louis-Constant Sévin (1821-1888)

    Importante pendule en bronze à patine médaille, surmontée deux femmes drapées à l’Antique représentant Les Deux Parques, qui selon la mythologie romaine, sont associées aux divinités du destin. Attitude identique des personnages, Aphrodite et Dioné, rythmées par une infinie variété de drapés. Qualité des rendus des modelés due à la très belle fonte du bronze effectuée par Barbedienne, qui comptait parmi les meilleurs ateliers européens au XIXe siècle. Sculpture signée F. Barbedienne, fondeur  et caché « réduction mécanique A. Collas ».  La base est en marbre noir de Belgique enrichie de décors en bronze néoclassique. Piètement balustre terminé en toupie. Le cadran en laiton à chiffres romains. Les motifs de la base sont remarquables, elles sont l’interprétation de l’ornemaniste Louis-Constant Sévin (1821-1888), qui donne ici à voir sa parfaite connaissance des sujets antiques, traitement des décors avec une rigueur néoclassique du plus bel effet.

    Provenance : collection particulière

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    L.C. Sévin & F.Barbedienne, garniture de style néoclassique en onyx et émail

    Garniture de cheminée comprenant une pendule et deux candélabres à quatre feux, réalisée en onyx, bronze doré, plaque émaillée, cabochons de marqueterie de pierre dure, et émaux champlevés polychromes. Le style de cette splendide garniture est caractéristique des plus belles réalisations de Ferdinand Barbedienne en collaboration avec le célèbre ornemaniste Louis Constant Sévin. Son répertoire décoratif y mêle avec beaucoup d’harmonie les motifs d’inspiration néoclassique, la combinaison du bronze et de l’émail est très colorée et sublime le marbre onyx d’Algérie. Signature sur le cadran de la pendule du fabricant, éditeur et fondeur F.Barbedienne Paris, Bd Poissonnière 30. La Maison Barbedienne lors de l’Exposition Universelle de Londres en 1862, est récompensée par trois médailles pour Excellence, en vedette et pionner à Londres pour sa technique de l’émail dit « cloisonné » de fonte sur les objets d’art.

    Provenance : collection particulière

    HISTOIRE : L’émail
    Dés l’Exposition Universelle de Londres en 1851, puis de Paris en 1855, l’émail, dans la multiplicité de ses techniques et de ses effets polychromes, sort de l’oubli et connaît sous le Second Empire une réhabilitation dans les arts décoratifs parisiens. Il devient un domaine d’études des ornemanistes et de nombreuses personnalités artistiques.

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    Paire de bougeoirs en émaux champlevés de Ferdinand Barbedienne (1810-1892)

    Très belle paire de bougeoirs estampillés de la prestigieuse Maison BARBEDIENNE, fabricant, éditeur et fondeur. Ces deux bougeoirs sont réalisés en bronze doré et en émail champlevé avec de beaux effets polychromes, ils sont à décor de rinceaux et de feuillages, le fût tourné, est orné d’une boule aplatie et d’une corolle. Les bougeoirs présentés ici, d’aspect des exemples champlevés médiévaux, sont tout à fait représentatifs de cette renaissance de l’émail, véritable innovation technique de cette maison parisienne et d’une grande précision. Ces objets de luxe étaient destinés à un usage quotidien et décoraient les plus belles demeures. La Maison BARBEDIENNE accumulera les récompenses et sera présente à toutes les grandes Expositions Universelles du XIXème siècle.

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