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SOLD OUTImportante pendule « Les deux Parques » de Ferdinand Barbedienne (1810-1892) et Louis-Constant Sévin (1821-1888)
Vue RapideImportante pendule en bronze à patine médaille, surmontée deux femmes drapées à l’Antique représentant Les Deux Parques, qui selon la mythologie romaine, sont associées aux divinités du destin. Attitude identique des personnages, Aphrodite et Dioné, rythmées par une infinie variété de drapés. Qualité des rendus des modelés due à la très belle fonte du bronze effectuée par Barbedienne, qui comptait parmi les meilleurs ateliers européens au XIXe siècle. Sculpture signée F. Barbedienne, fondeur et caché « réduction mécanique A. Collas ». La base est en marbre noir de Belgique enrichie de décors en bronze néoclassique. Piètement balustre terminé en toupie. Le cadran en laiton à chiffres romains. Les motifs de la base sont remarquables, elles sont l’interprétation de l’ornemaniste Louis-Constant Sévin (1821-1888), qui donne ici à voir sa parfaite connaissance des sujets antiques, traitement des décors avec une rigueur néoclassique du plus bel effet.
Provenance : collection particulière
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Importante pendule en bronze doré et porcelaine d’Imari, d’époque XIXème
5500,00€Vue RapideGrande pendule formée d’un vase couvert de forme ovoïde en porcelaine d’Imari, ère Meiji période historique du Japon entre 1868 et 1912. Riche monture en bronze ciselé et doré à décor d’animaux fantastiques, chien de Fô à l’amortissement qui symbolise la richesse. Cette pendule est caractéristique d’une pratique en vogue à la fin du XIXe siècle, issue du goût alors très prononcé pour l’Extrême-Orient, destinées à prendre place dans les intérieurs les plus somptueux.
HISTOIRE
Le Japon s’ouvre au monde extérieur en 1868, les artistes japonais influencèrent fortement les artistes européens. Cet emballement pour le japonisme commence alors avec des collectionneurs parisiens et des connaisseurs qui apprécient la qualité et l’élégance de ces objets d’art.Le japonisme, qui n’a cessé de croître dans la deuxième moitié des années 1870, atteint son apogée à l’Exposition Universelle de Paris en 1878, où le Japon est exceptionnellement bien représenté. Les critiques d’art européens, et surtout français, considèrent le Japon comme un paradis inviolé et c’est cette approche qu’ils livrent au public.
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Importante sculpture « Le chanteur florentin » de Paul Dubois (1827-1905), école française
5000,00€Vue RapideImportante sculpture en bronze à patine médaille représentant le chanteur florentin du XVème siècle récompensé par une médaille d’honneur au Salon de 1865. Cette sculpture est de mouvement artistique classique, elle porte l’accent sur la silhouette gracieuse et élégante d’un jeune garçon aux formes lisses et épurées, contrastée avec la grande finesse du détail de l’habillement et des accessoires. Épreuve ancienne signée et datée sur la terrasse, P. Dubois 1865 et porte la marque du fondeur F.Barbedienne avec le cachet « Réduction mécanique A. Collas »
Histoire
Le Chanteur Florentin
Lieu de conservation : musée d’Orsay, Paris, France
Historique 1865, commandé 1866, acquis après commande à partir de 1866 au musée du Louvre, dans les appartements du comte de Nieuwerkerke à partir de 1871, au musée du Luxembourg 1920, attribué au musée du Louvre (reversement du musée du Luxembourg) 1986, affecté au musée d’Orsay
Expositions Exposition Universelle : Paris, France, 1867
Exposition Universelle : Welt-Ausstellung 1873 in Wien, Vienne, Autriche, 1873
Exposition Universelle : Paris, France, 1889 -


Importante sculpture en bronze de Charles Octave Levy (1820-1899), « Salomé »
4800,00€Vue RapideGrande sculpture orientaliste en bronze à patine brune nuancée représentant Salomé, fille d’Hérodiade et d’Hérode fils d’Hérode (appelé Philippe dans les évangiles). Personnage de tentatrice sensuelle qui inspire les artistes du XIXème et XXème siècle. Signé Ch.Levy sur la terrasse, titré dans un cartouche sur le devant « SALOMÉ PAR CH. LEVY (Sc)»
Bibliographie : Pierre Kjellberg – Les bronzes du XIXème siècle, les éditions de l’amateur, Paris 1989, page 439 & 440
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SOLD OUTImportante torchère en régule à décors de femme de style néoclassique
Vue RapideImportante torchère en régule à sujet d’une femme de style néoclassique tenant dans ses mains une torche enflammée faisant éclairage. Ces statues sont trés représentatives des porte-luminaires que l’on pouvait trouver dans les grandes demeures bourgeoises sous le règne de Napoléon III où le sensualisme, l’abondance des formes, la démesure et l’étude du mouvement dominent.