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Japon époque Meiji (1868-1912), Important Okimono en bronze
Vue RapideImportant Okimono en bronze de patine brune, représentant un paysan assis en tailleur, préparant sa pipe qu’il tient dans une main, son tabako-ire dans l’autre. Vraisemblablement une école de Tokyo, finesse du travail, lègèreté de la fonte, précision des détails et expression du visage de très belle facture. Signature de l’artiste sur la jambe arrière du paysan.
Provenance : collection privée
HISTOIRE
C’est à partir de de 1873, lors de l’Exposition Orientale des Champs-Elysées, organisée par Cernuschi, présente au public Parisien des sculptures en bronze rapportées de son voyage en Chine et au Japon et l’impact des collectionneurs privés est foudroyant . Il fallut attendre l’Exposition Universelle de 1878 pour que Paris pût se faire une idée du gout Japonais. Hayashi fut, dés lors, avec Bing, le plus intelligent intermédiaire entre le Japon et Paris; ce sont eux qui nous révèlent l’art véritable du Japon, qui formèrent notre goût et on les retrouve à l’origine de toutes nos belles collections, dont celles des écrivains Edmont de Goncourt et Emile Zola ou des peintres comme James Mc Neill Whistler et Edgar Degas. -
Okimono « Ours voyageurs », Japon, période Meiji (1868-1912)
1200,00€Vue RapideImportant Okimono en ivoire finement sculpté, représentant un groupe d’ours des neiges marchant en file indienne, le plus gros devant avec au centre un ours grognant et le plus petit derrière. Le chemin en pente reprenant la courbe de la défense, le tout sur un socle en bois de racine sculpté. Signature de l’artiste à trois caractères en dessous.
Vraisemblablement une école de Tokyo, finesse du travail, fourrure finement incisée, socle de très belle facture. A signaler, défense cassée et recollée, ours en très bon état, voir photos de détails. Un minime éclat en embout de défense et une petite cale en bois collée sous le socle en bois pour maintenir l’ensemble droit.TRÈS IMPORTANT pour les acheteurs hors UE
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C’est à partir de de 1873, lors de l’Exposition Orientale des Champs-Elysées, organisée par Cernuschi, présente au public Parisien des sculptures en bronze rapportées de son voyage en Chine et au Japon et l’impact des collectionneurs privés est foudroyant . Il fallut attendre l’Exposition Universelle de 1878 pour que Paris pût se faire une idée du gout Japonais. Hayashi fut, dés lors, avec Bing, le plus intelligent intermédiaire entre le Japon et Paris; ce sont eux qui nous révèlent l’art véritable du Japon, qui formèrent notre goût et on les retrouve à l’origine de toutes nos belles collections, dont celles des écrivains Edmond de Goncourt et Emile Zola ou des peintres comme James Mc Neill Whistler et Edgar Degas.
