Immense pendule en régule d’Albert-Ernest Carrier-Belleuse (1824-1887)

émail

5 résultats affichés

  • Immense pendule en régule d’Albert-Ernest Carrier-Belleuse (1824-1887)

    12000,00

    Sculpture néo-classique en régule à patine noire nuancée représentant une femme vêtue dans un drapé à l’antique et supportant une pendule à bout de bras. Cadran en émail blanc indiquant les heures en chiffres romains. Signature de l’artiste A.Carrier dans un plis de la robe. Socle en bois doré mouluré d’époque et mécanique d’origine.

    Vue Rapide
  • L.C. Sévin & F.Barbedienne, garniture de style néoclassique en onyx et émail

    Garniture de cheminée comprenant une pendule et deux candélabres à quatre feux, réalisée en onyx, bronze doré, plaque émaillée, cabochons de marqueterie de pierre dure, et émaux champlevés polychromes. Le style de cette splendide garniture est caractéristique des plus belles réalisations de Ferdinand Barbedienne en collaboration avec le célèbre ornemaniste Louis Constant Sévin. Son répertoire décoratif y mêle avec beaucoup d’harmonie les motifs d’inspiration néoclassique, la combinaison du bronze et de l’émail est très colorée et sublime le marbre onyx d’Algérie. Signature sur le cadran de la pendule du fabricant, éditeur et fondeur F.Barbedienne Paris, Bd Poissonnière 30. La Maison Barbedienne lors de l’Exposition Universelle de Londres en 1862, est récompensée par trois médailles pour Excellence, en vedette et pionner à Londres pour sa technique de l’émail dit « cloisonné » de fonte sur les objets d’art.

    Provenance : collection particulière

    HISTOIRE : L’émail
    Dés l’Exposition Universelle de Londres en 1851, puis de Paris en 1855, l’émail, dans la multiplicité de ses techniques et de ses effets polychromes, sort de l’oubli et connaît sous le Second Empire une réhabilitation dans les arts décoratifs parisiens. Il devient un domaine d’études des ornemanistes et de nombreuses personnalités artistiques.

    Vue Rapide
  • Paire de vases de style Persan – Ferdinand Barbedienne (1810-1892) et Louis-Constant Sévin (1821-1888)

    4500,00

    Belle paire de vases piriformes de style Persan en bronze doré à décors d’émaux champlevés polychromes, sur des bases en marbre rouge Africain supportée par des pieds griffes, avec un rare décor Persan orné d’entrelacs, arabesques et rinceaux feuillagés. Les deux vases portent la signature du fabricant, éditeur et fondeur F.BARBEDIENNE et sont attribués au dessinateur-ornemaniste Louis-Constant Sévin. La Maison Barbedienne lors de l’Exposition Universelle de Londres en 1862, est récompensée par trois médailles pour Excellence, en vedette et pionner à Londres pour sa technique de l’émail dit « cloisonné » de fonte sur les objets d’art.

    Provenance : collection particulière

    Vue Rapide
  • Tableau émaillé sur plaque en porcelaine de la fin du XIXème siècle

    2800,00

    Très grande plaque émaillée sur porcelaine représentant une scène d’intérieur du Moyen Âge.  Technique précieuse d’émaux en relief destinée principalement au décors de la robe de la dame de qualité. Ce tableau symbolise l’exaltation de la beauté féminine. De très grande qualité d’exécution, la femme est dans un écrin de broderies et de parures d’une telle richesse que la carnation, la pureté des traits, prend par contraste une intensité saisissante. En parfait état. Signé Taillandier d’après E.Villa.

    Vue Rapide
  • Vase en émail de limoges époque XIXe siècle, monture en argent

    Vase en émail de limoges intitulé « Pureté » représentant une jeune fille dans un décors de roses luxuriant. Monture en argent de style rocaille, poinçon tête de chien. On atteint içi dans l’exécution de cet émail peint, l’excellence. Objet d’art délicat, de grande qualité technique, maîtrise des coloris et de sa facture, en parfait état.

    A la fin du XIXe siècle, la valeur marchande l’œuvre émaillée semble dépendre d’un critère absolu : la compétence technique de l’émailleur. Elle se mesure, pour le public et la critique, notamment à la quantité de travail qu’elle paraît avoir nécessitée. Elle s’apprécie également dans une illusoire fidélité de l’œuvre copiée, souvent d’après des maîtres anciens ou dans des créations personnelles. En raison de la mise en œuvre de technique jugées complexes, proches de la mythification, l’objet fini aboutit à un prix de vente accessible seulement à une parte de la population.

    Vue Rapide
X