Coupe à décor d’Émaux Champlevés, attribuée à Eugène CORNU (1827- 1899)

ornemaniste

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  • Coupe à décor d’Émaux Champlevés, attribuée à Eugène CORNU (1827- 1899)

    Coupe en Marbre-Onyx d’Algérie, monture en bronze doré et émaux polychromes. Décoré d’un large bandeau de bronze doré orné d’un décor floral en émaux champlevés aux dominantes bleues. Coupe reposant sur une base tripode de style Louis XIV en bronze doré à décor de masque d’hommes barbus et de pieds griffes. Cette coupe est un modèle attribué au dessinateur-créateur et fabricant Eugène Cornu.

     

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  • Émile Colin & Cie, d’après le modèle créé par Frédéric-Eugène Piat (1827-1903), figures modelées par Léopold Steiner (1853-1899)

    3500,00

    Encrier « l’amour fraternel » d’ Émile Colin & Cie, d’après le modèle créé par Frédéric-Eugène Piat (1827-1903), figures modelées par Léopold Steiner (1853-1899).  Difficile à trouver en raison de sa nature unique, cet encrier résulte d’une recherche savante des détails et d’un fini merveilleux d’ exécution. Cet objet est caractéristique de l’historicisme et de l’électisme stylistique qui dominent le goût public et les arts décoratifs de cet époque. Cette œuvre appartient à la série des objets de petites dimensions que composa Eugène Piat pour la maison Colin. La collaboration entre Piat et la maison Colin se déploie notamment à l’occasion de l’Exposition universelle de 1889, on peut aisément imaginer que c’est dans cette période artistiquement féconde que le modèle de notre encrier fut créé.

    Provenance : collection particulière

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  • Garniture de Cheminée Néogothique par la Maison Blot et Drouard, Paris

    3500,00

    Rare garniture de cheminée de style néogothique composée d’une pendule et de deux candélabres symbolisant la fête de la bière. Cet ensemble est en régule polychrome, caractérisé  par un choix de modèle dirigé par le goût le plus éclairé. La netteté des détails et la pureté des lignes sont parfaites. La pendule est animée d’un moine hilarant tenant une aiguillère dans ses bras dans laquelle est insérée la mécanique. Les candélabres sont représentés par deux personnages festifs, brandissant des chopes de bière qui servent de support à une bougie.  Blot et Drouard, ont obtenu à l’Exposition universelle de 1867 la médaille d’argent, la plus haute récompense qui ait été accordée au zinc dart.

    Litérature : J. Meyer, Great Exhibitions London – Paris – New York – Philiadelphia, 1851 – 1900, Londres, 2006

     

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  • Importante pendule « Les deux Parques » de Ferdinand Barbedienne (1810-1892) et Louis-Constant Sévin (1821-1888)

    Importante pendule en bronze à patine médaille, surmontée deux femmes drapées à l’Antique représentant Les Deux Parques, qui selon la mythologie romaine, sont associées aux divinités du destin. Attitude identique des personnages, Aphrodite et Dioné, rythmées par une infinie variété de drapés. Qualité des rendus des modelés due à la très belle fonte du bronze effectuée par Barbedienne, qui comptait parmi les meilleurs ateliers européens au XIXe siècle. Sculpture signée F. Barbedienne, fondeur  et caché « réduction mécanique A. Collas ».  La base est en marbre noir de Belgique enrichie de décors en bronze néoclassique. Piètement balustre terminé en toupie. Le cadran en laiton à chiffres romains. Les motifs de la base sont remarquables, elles sont l’interprétation de l’ornemaniste Louis-Constant Sévin (1821-1888), qui donne ici à voir sa parfaite connaissance des sujets antiques, traitement des décors avec une rigueur néoclassique du plus bel effet.

    Provenance : collection particulière

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  • Pendule de style Louis XV attribuée à Léon Messagé (1842-1901)

    Exceptionnelle pendule de style Louis XV  en bronze doré réalisée par le sculpteur et ornemaniste, Léon Messagé (1842-1901). Cette pendule adopte les formes du XVIIIè siècle. En effet, les arabesques, ainsi que le vocabulaire ornemental, sont caractéristiques du style rocaille. Le décor est d’une grande richesse, fait de courbes très mouvementées. La partie inférieure est quant à elle consacrée au thème marin avec des coquilles et deux dauphins de chaque côté, mascaron d’homme barbu, motifs fréquemment utilisés par Léon Messagé. Un putto ailé à l’arc et au carquois trône au sommet de l’horloge. Le cadran de l’horloge est signé « Emile Colin & Cie et  Paris 29, rue Sévigné », maison avec qui Messagé, mais aussi Linke, travaillèrent. Notre pendule est le fruit de la collaboration avec la Maison Colin et Léon Méssagé qui fit de cette esthétique originale sa signature. Bien que cette pendule ne soit pas signée par Léon Méssagé, il ne fait aucun doute sur son attribution. Dans son Cahier des dessins et croquis Style Louis XV, publié en 1890, Rue Sédaine à Paris, on retrouve deux dessins de pendules, très proches de celle que nous vous présentons ici. Dans l’ouvrage de Christopher Payne consacré à François Linke, une pendule extrêmement similaire à celle-ci est illustrée page 93. On retrouve le même vocabulaire ornemental, la même composition d’ensemble couronnée par un putto et un travail similaire de la sculpture.

    Bibliographie
    Christopher Payne, François Linke, 1855 – 1946, La Belle Époque du meuble français. Club des collectionneurs d’antiquités, Woodbridge, Royaume-Uni 2003, p. 71–95

    Provenance : Collection privée

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