« Cérès moquée par Ascalabos  » de Eugène Ernest HILLEMACHER (1818-1887)

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  • « Cérès moquée par Ascalabos  » de Eugène Ernest HILLEMACHER (1818-1887)

    Huile sur toile représentant une scène à l’Antique, signée en bas à gauche et daté 1877. Cadre en bois sculpté et doré d’époque. Cérès est représentée assise et portant une gerbe d’épis de blé tressés. Ascalabos se moque de Cérès qui boit le breuvage que sa mère Mismé en arrière plan lui à donné. Ce tableau est une peinture académique représentant une histoire tirée des textes antiques.

    La mère de Proserpine, alarmée sur le sort de sa fille, la cherche en vain par toute la terre et sur toutes les mers. Ni l’Aurore, déployant à son lever sa radieuse chevelure, ni Vesper ne l’ont vue s’arrêter ; elle allume deux torches de pin aux flammes de l’Etna, et les porte sans relâche au milieu des froides ténèbres. Quant la clarté bienfaisante du jour a fait pâlir les étoiles, elle cherche sa fille depuis l’heure où le soleil se lève jusqu’à celle où le soleil se couche. Un jour qu’épuisée de fatigue et dévorée par une soif ardente, elle ne trouvait aucune source pour se désaltérer, le hasard découvre à ses yeux une cabane couverte de chaume ; elle frappe à son humble porte ; une vieille paraît et voit la déesse qui lui demande à boire ; elle lui présente un doux breuvage, composé d’orge et de miel, qu’elle venait de faire bouillir. Tandis que Cérès boit à longs traits, un enfant, au regard dur et insolent, s’arrête devant elle, et rit de son avidité. La déesse offensée jette le reste du breuvage sur le front de l’enfant, qui parle encore. Pénétré de cette liqueur, son visage se couvre aussitôt de mille taches, ses bras font place à deux pattes, une queue achève la métamorphose et termine son corps, qui conserve à peine, en se rapetissant, la faculté de nuire ; réduit à des formes chétives, il n’est plus qu’un lézard : la vieille en pleurs s’étonne de ce prodige, elle veut le toucher ; mais il fuit et court se cacher ; il tire son nom de la couleur de sa peau, où les gouttes du fatal breuvage sont parsemées comme autant d’étoiles.

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  • Ecole Italienne du XVIIIème siècle, dans le goût de RAPHAEL

    Gouache sur papier dans son cadre en bois doré d’époque XVIIIème siècle, représentant la Vierge à l’Enfant avec saint Jean Baptiste. La composition est fluide et en forme pyramidale avec les personnages liés par des échanges de regards et de gestes. Très belle qualité d’exécution.

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  • Huile Sur Toile De Francisco MOLES (XIX-XX), « Une soirée musicale »

    2500,00

    Huile sur toile représentant une scène de musique dans un salon avec plusieurs personnage. La sensualité du tableau est renforcée par la représentation, en premier plan, d’une jeune femme en train de danser. La musique symbolise l’instant qui passe et souligne le caractère éphémère de l’existence. Tableau signé en bas à gauche M.Molès et daté 1904. Un tout petit trou à signaler dans le bas de la toile, à droite, voir photo N°5

    Fransisco Molès, peintre de genre, né à Ségovie, Castille-Léon. XIX – XXème Espagnol.

    Provenance : Etiquette d’une ancienne galerie de tableau à Milan

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  • Huile sur toile de Johannes Weiland (1856-1909), « Jeune mère et son bébé »

    Huile sur toile représentant une scène d’intérieur avec une jeune mère faisant de la couture à côté de son bébé endormie dans son berceau. Le jeux de lumière est subtil et ne manque pas de charme. Signé Weiland en bas à gauche. Bel état de conservation, traces de salissures mineures en surface, craquelures cohérentes avec l’âge.

    Musée : Dordrechts Museum
    Littérature: Dutch Art Lexicon P. Scheen, 1969, vol.2, page 573

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  • Tableau émaillé sur plaque en porcelaine de la fin du XIXème siècle

    2800,00

    Très grande plaque émaillée sur porcelaine représentant une scène d’intérieur du Moyen Âge.  Technique précieuse d’émaux en relief destinée principalement au décors de la robe de la dame de qualité. Ce tableau symbolise l’exaltation de la beauté féminine. De très grande qualité d’exécution, la femme est dans un écrin de broderies et de parures d’une telle richesse que la carnation, la pureté des traits, prend par contraste une intensité saisissante. En parfait état. Signé Taillandier d’après E.Villa.

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