Antonin Carlès (1851-1919) « La Jeunesse » Sculpture en Bronze Doré

exposition universelle

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  • Antonin Carlès (1851-1919) « La Jeunesse » Sculpture en Bronze Doré

    1600,00

    Épreuve en bronze doré représentant une jeune femme nue avec une fleur d’églantine à ses pieds. Signé sur la terrasse Antonin Carles et titré « La Jeunesse ». Marque de fondeur Siot-Decauville Fondeur, Paris et numéroté D347. Socle en marbre-onyx d’Algérie de couleur verte, toute petite réparation suite à un léger éclat sur un angle.

    Historique
    Le Plâtre acquis au Salon de 1883 (NO 3426) , placé en 1886 au dépot des marbres, a été déposé en 1889 au musée des Beaux-arts de Grenoble ; des réductions ont été éditées en marbre, en  biscuit par la manufacture de Sèvres en trois grandeurs, en bronze et bronze doré par Siot-Decauville en deux grandeurs; commande par l’état en 1883 ; statue commandée au Salon

    Expositions

    • Salon de la Société des artistes français (salon 103) – palais des Champs Elysées – France, Paris, 1885
    • Préfiguration du musée d’Orsay – Le Post-Impressionnisme – palais de Tokyo – musée d’Art et d’Essai – France, Paris, 1977 – 1986
  • Garniture de Cheminée Néogothique par la Maison Blot et Drouard, Paris

    3500,00

    Rare garniture de cheminée de style néogothique composée d’une pendule et de deux candélabres symbolisant la fête de la bière. Cet ensemble est en régule polychrome, caractérisé  par un choix de modèle dirigé par le goût le plus éclairé. La netteté des détails et la pureté des lignes sont parfaites. La pendule est animée d’un moine hilarant tenant une aiguillère dans ses bras dans laquelle est insérée la mécanique. Les candélabres sont représentés par deux personnages festifs, brandissant des chopes de bière qui servent de support à une bougie.  Blot et Drouard, ont obtenu à l’Exposition universelle de 1867 la médaille d’argent, la plus haute récompense qui ait été accordée au zinc dart.

    Litérature : J. Meyer, Great Exhibitions London – Paris – New York – Philiadelphia, 1851 – 1900, Londres, 2006

     

  • Grande Sculpture En Bronze « LA Renommée » de Barrias Louis Ernest (1841-1905)

    Grande sculpture en bronze et marbre d’époque 1890 intitulée « La Renommée » de Barrias Louis Ernest (1841-1905), éditée par la maison Susse. Sculpture représentant une divinité ailée représentée  avec une trompe, se tenant sur une sphère et brandissant une couronne de laurier dans une main. Signée « E. Barrias » et signature du fondeur et éditeur « SUSSE Frs Edts Paris » sur la sphère. Patine médaille d’époque somptueuse.

    Bibliographie : Pierre Kjelberg, les bronzes du XIXe siècle, les Editions de l’Amateur, Paris 1989, pages 48-51
    Provenance : colection privée du sud de la France

  • Important Vase de Daum, époque Art Déco

    Important vase d’époque Art Déco de la maison Daum en cristal de couleur ambré dégagé à l’acide. Le décors est géométrique, dérivé du thème naturaliste et de couleur monochrome, ce vase est un exemple de conception nouvelle et de décoration typique de l’Art Déco. La simplicité de la forme et la sobriété de la couleur est la première préoccupation des pièces avant-gardistes à cette époque. Signature à la pointe en bas Daum Nancy France avec la croix de Lorraine. Très bon état.

  • Importante pendule « Les deux Parques » de Ferdinand Barbedienne (1810-1892) et Louis-Constant Sévin (1821-1888)

    Importante pendule en bronze à patine médaille, surmontée deux femmes drapées à l’Antique représentant Les Deux Parques, qui selon la mythologie romaine, sont associées aux divinités du destin. Attitude identique des personnages, Aphrodite et Dioné, rythmées par une infinie variété de drapés. Qualité des rendus des modelés due à la très belle fonte du bronze effectuée par Barbedienne, qui comptait parmi les meilleurs ateliers européens au XIXe siècle. Sculpture signée F. Barbedienne, fondeur  et caché « réduction mécanique A. Collas ».  La base est en marbre noir de Belgique enrichie de décors en bronze néoclassique. Piètement balustre terminé en toupie. Le cadran en laiton à chiffres romains. Les motifs de la base sont remarquables, elles sont l’interprétation de l’ornemaniste Louis-Constant Sévin (1821-1888), qui donne ici à voir sa parfaite connaissance des sujets antiques, traitement des décors avec une rigueur néoclassique du plus bel effet.

    Provenance : collection particulière